Faut Il Augmenter Les Prelevements Obligatoires

Les fondements de l’action des PP Les PP= administration publiques (représentées par l’Etat, les collectivités locales (Régions, Département communes), les organismes de sécurité sociales) Les fondements sociaux. Dans un souci de justice social il faut réduire les inégalités. Débat sur la notion de justice sociale. Le jeu du marché engendre des inégalités de revenu il est donc juste de chercher à les réduire. Pour les libéraux, un état juste est un état qui ne favorise ou ne défavorise personne

L'impôt s'ajuste en fonction de la capacité du citoyen concerné par la contribution à cet impôt. Un impôt doit servir à la juste participation des citoyens aux dépenses de l'état mais il ne doit être anti-économique. La taxe correspond à un prélèvement opéré par une collectivité publique en contrepartie d'une prestation individualisable fournie à un administré. La taxe se différencie de l'impôt qui lui est destiné à couvrir globalement les charges de fonctionnement des services publics. La taxe

production qui s’échangent sur le marché. Activités socialement organisées : activités qui supposent des droits et des devoirs. Activité légale. Quand on mesure la production, on va d’abord mesurer la production officielle (qui donne droit à des prélèvements comme les cotisations sociales). Les activités illégales sont peut être organisées, mais pas socialement. Productions marchandes et non marchandes : Production marchande = production destinée à être vendue sur le marché, au prix du marché.

ménages épargnent-ils ? pour financer des achats futurs, pour protéger contre un risque, un imprévu (risques de perdre son travail), pour préparer leur retraite, pour laisser de l’argent à leur enfant, pour le léguer.  L’épargne des ménages : augmente leur richesse, permet de répondre au besoin de financement des autres agents économiques. Les besoins de financement proviennent principalement des entreprises, elles doivent s’endetter pour investir. Circuit économique avec épargne et

Dépenses publiques Impôts Déficit public L’État peut utiliser son budget pour atteindre les « grands équilibres » macroéconomiques (croissance, emploi, stabilité des prix et équilibre extérieur). Toutefois, il ne faut pas oublier que l’intervention de l’État peut jouer dans les deux sens : dans un sens de relance de l’activité économique pour lutter notamment contre la récession et le chômage ou dans un sens de rigueur économique lorsque le pays est principalement

cité U, les prisons. C. Les administrations publiques Consiste à produire des services non marchands destinés a toutes les unités ou à effectuer des représentations de redistribution du revenu. Les ressources principales sont : les prélèvements obligatoires. Impôts+ Cotisations sociales. Ce secteur se décompose en 3 sous-secteurs : * Les administrations publiques centrales. Regroupe tout ce qui relève de l’état (ex : Pole emploi). * Les administrations publiques locales. Région, département

a. La crise financière et économique de 2008/2009  Les gouvernements ont laissé jouer les « stabilisateurs automatiques » qui, du fait de la crise, font diminuer les recettes fiscales et sociales (moins d’activités et de revenus taxables), et augmenter les dépenses, sociales notamment ;  Les plans de relance mis en place ont conduit à une augmentation des dépenses (aides ponctuelles à certains secteurs d’activité) et à des baisses d’impôts ciblées ;  Les déficits publics ont dépassé le seuil

justifier une intervention de l’État, celuici remplissant alors trois grandes fonctions économiques que sont l’allocation, la répartition et la stabilisation (chapitre 1). Pour agir sur l’économie, l’État applique un certain nombre de prélèvements obligatoires, qu’il réutilisera en tant que dépense publique. Plus globalement, c’est son budget qui permet à l’État d’intervenir (chapitre 2). Nous reviendrons sur la notion de déséquilibres, en abordant notamment la question du chômage et de l’inflation

: Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements – Sirene), 2012 Les chiffres clés de l’économie française : Source CGPME :    Taux global de prélèvements obligatoires : 46,3 % en France pour 20131 Taux de marge des entreprises au plus bas depuis 1985 : 28.2 % en 2013 Taux de prélèvements obligatoires sur les entreprises : 36,1 % en France, 23 % moyenne UE 1 La France se situe bien au-delà de la moyenne européenne (42,6 %), et de la moyenne mondiale (44,7 %)

redistribution, c’est à dire la manière dont elle doit être réalisée. L'état se porte garant comme les textes constitutionnels le montre, d'une redistribution juste et profitable à tous. L'état impose donc des prélèvements obligatoires à tous les agents économiques. L’impôt est une forme de prélèvement obligatoire parmi d'autres, mais il représente le principal outil de l'état dans sa politique fiscale, de nos jours. Ces impôts sont collectés, par principe, selon des valeurs d'équité sociale, c'est à dire qu'ils