Faut Il Augmenter Les Prelevements Obligatoires

plus qu’ils ne gagnent. Raisons multiples : * Hausse dépense (et plus particulièrement de la santé) * Hausse des charges des intérêts de la dette * Politique fiscale * Crise économique qui diminue les recettes et qui augmente les dépenses car il faut lutter contre la crise. Comment réduire les déficits ? Y a cinq principales périodes qui montrent la montée de l’endettement. * Année 60 : Forte croissance économique et taux d’intérêt faible qui a permis une baisse de la

détenue par les agents économiques (grâce aux crédits obtenus auprès des banques), va provoquer une hausse de la demande de biens aux entreprises. Si celles-ci n’ont pas augmenté leur offre, il en résulte une hausse des prix (ou inflation) par simple application de la loi de l’offre et de la demande : lorsque la demande augmente et que l’offre est inchangée, les prix augmentent. Mais on peut aussi envisager la hausse de la quantité de monnaie en possession des agents économiques comme le résultat

personnes de plus de 55 ans environ. Problème de sauvegarde d’emploi des seniors et d’insertion des seniors dans les entreprises. Quelques fois il y a des objectifs contradictoires : * Nettoyer les données de chômage du marché du travail * Augmenter la participation au marché du travail Les objectifs de chômage et de participation sont totalement contradictoires. 1- Population active, taux d’activité et taux d’emploi Population active = ceux qui occupent effectivement un emploi et les

Représentation graphique Droite de budget Une augmentation du prix du bien 2 entraîne une diminution de la pente de la droite de budget. Le prix relatif du bien 1 par rapport au bien 2 diminue. R/p1 Remarque x1 Si le prix des 2 biens augmente dans les mêmes proportions le prix relatif ne change pas. La pente reste donc inchangée. Cela est équivalent à une baisse du revenu. Exemple, si le prix des 2 biens double c’est comme si le revenu avait été divisé par 2. La droite de budget se déplace

que nous disposons pour mener une politique économique et surtout comment doit on les articuler, quel arbitrage faut-il faire pour un obtenir un résultat efficace ? Nous réfléchirons à la remise en cause des politiques économiques et nous auront une réflexion autour du Policy Mix. Faut-il abandonner le Policy mix sous prétexte que celui-ci n’est pas efficace en termes structurels ? Faut-il choisir entre une politique budgétaire et monétaire ou mettre en œuvre une nouvelle réflexion autour du Policy

Moins de dépenses publiques pour davantage de croissance, d'emplois et de liberté Yves Cannac - Mars 1996 Avec 55 % du P.I.B. la France est à la fois le pays du G.7 où le poids de la dépense publique est le plus élevé et celui où ce poids a augmenté le plus régulièrement au cours de ces cinq dernières années. En effet, contrairement aux autres pays de ce groupe, la France est le seul à ne pas s'être lancée dans une politique volontariste de réduction des dépenses publiques. Or, il ressort de cette

effets des dépenses publiques sur l’économie, que ce soit en terme conjoncturel et structurel (au long et court terme). Les économistes étudient également les impacts sur les prélèvements obligatoires (impôts, TVA, taxes…) sur l’économie. Pour distinguer l’approche économique de l’approche juridique, il faut considérer l’approche économique comme une matière d’économie financière. Les choix budgétaires et financiers sont bien-sûr politiques. Important : le problème vient du fait

la généralisation de la protection sociale, la création de l'assurance chômage puis celle des principales prestations d'assistance sociale (AAH, API, RMI,…). Le système de protection sociale en France est centré sur l'assurance professionnelle obligatoire, avec un financement majoritaire par des cotisations sociales et la gestion paritaire des organismes de sécurité sociale. Toutefois, peu à peu des principes beveridgiens sont introduits dans le système, comme la couverture maladie universelle, la

sont des produits matériels stockables, alors que les services sont des produits immatériels, ils ne sont pas stockables (comme le cours). Dans les 2 cas ils nécessitent un travail humain. Très peu de bien ne demande pas de travail humain: l'eau il faut la filtré, la pomper, une ballade en forêt nécessite un entretien … L'air et la lumière du soleil ne demande pas de travail humain. La production est modélisée par les économistes: combinaison productive. Pour produire on combine des facteurs

transfert – prélèvements obligatoires On peut estimer que le rôle redistributif de l'état a décru, en effet la part des prélèvements progressifs (comme l'impôt sur le revenu) a diminuer au profit des prélèvements proportionnels comme la CSG (Contribution Sociale Généralisée) ou le RDS (Remboursement Dette Sociale) ou encore de prélèvements portant sur la consommation comme la TVA, qui pèse davantage sur les plus démunis. Rappel : Un prélèvement est dit progressif lorsque son taux augmente avec le