Faut Il Augmenter Les Salaires

article très complet de Thomas Piketty paru dans le journal Libération qui revient sur l'inflation des très hauts salaires qui expliquent le creusement des inégalités. Quelques uns de ces hauts salaires font d'ailleurs l'objet d'une forte médiatisation ; il s'agit des salaires des sportifs et plus particulièrement des footballeurs. Ainsi, Le Parisien révélait récemment les salaires perçus par les joueurs du PSG, une enquête reprise dans Le Figaro. Le secteur du spectacle assure donc à ses représentants

Monnaie et inflation : séance 7 Questions de réflexion : 1. Quelles sont les causes de l’inflation ? Quels sont les mécanismes à l’œuvre dans la boucle prix-salaires ? Les causes de l’inflation : Par la monnaie et les prix : théorie quantitative de la monnaie de Fischer. Mv = PY (l’équation de Cambridge) Avec : M est la masse monétaire, V est la vitesse de circulation de la monnaie, P est le prix, Y est le nombre de biens produits ; ->relation de causalité entre la quantité de monnaie

influencer une autre étape. Marx est plutôt matérialiste. Le matérialisme dialectique se fait indépendamment de la volonté des hommes. Feurebach est connu pour avoir écrit l’essence du christianisme. Pour lui faut se défaire de toutes les illusions. C’est pareil pour Marx, il faut se défaire des illusions économiques. Si on associe le matérialisme avec la méthode d’Hegel, on arrive à la proposition de Marx c’est le matérialisme historique. La société est une unité directique des contraintes

marché (ensemble de l’évolution des demandes des consommateurs). Il faut aussi avoir l’œil sur les marchés étrangers. La demande globale permet alors d’écouler les stocks Le revenu disponible : le revenu net moins les différentes formes de fiscalités (consommation et épargne) Le revenu permanent : une perception du consommateur, c’est dire que le consommateur a une ambition tout au long de sa vie pro, c’est de voir son revenu augmenter, et le revenu permanent est le revenu de base, plus le pourcentage

fait émerger la notion de marché comme la meilleure façon de faire fonctionner l’économie. Assez vite, Karl Marx va élaborer une virulente critique de ce système basé sur le capitalisme. Mais les néo-classiques vont moderniser la pensée classique. Il faut attendre Keynes pour remettre en cause la régulation par le marché et repenser le rôle de l’État dans l’économie. A. L’économie politique classique. Idée générale : marché = meilleur mécanisme d’allocation des ressources dans une économie. Le capital

le profit a, dans la pensée économique eu plusieurs définitions ce qui a soulevé plusieurs débats. Pour David Ricardo économiste libéral du 19ème siècle, le profit est dit résiduel au sens où il est fixé après le paiement de la rente ainsi que des salaires. Il est donc le reste de la valeur crée par l’activité productive et il revient au capitaliste. Pour Karl Heinrich Marx, fondateur de l’école marxiste avec Engels, le profit, dans le système capitaliste naît de la séparation entre les détenteurs

l’étranger, politique de soutien à la conso etc.) : Og hausse prix Par l’offre : hausse des coûts (due à hausse des salaires, choc pétrolier, hausse taxes et augmentation coût d’importation) Il s’agit d’un phénomène autoentretenu et cumulatif : hausse des coûts => hausse des prix => baisse pvr d’achat – une fois l’inflation constatée – revendication salariale => augmentation salaires = > augmentation des coûts => nvelle dégradation du pouvoir d’achat etc... Selon monétariste inflation résulterait

technique supprime des emplois mais à long terme il en crée davantage. Peut-on généraliser ce raisonnement à l'ensemble des gains de productivité : ne sont-ils pas une menace durable pour l'emploi, pour le travail rémunéré ? (: rappel du sujet ) Il faut, pour répondre à cette question, comparer les emplois supprimés à ceux créés (annonce du plan). I. Lorsque la production progresse moins que la productivité du travail, l'emploi diminue directement et indirectement . ( annonce du plan de la partie)

La contribution de Keynes 1) La théorie du salaire. C’est pour la théorie de l’emploi que l’analyse keynésienne présente l’alternative la mieux connue à la position néoclassique. Dans la “Théorie générale” Keynes se situe résolument dans le camp des opposants à la théorie “classique” qu’il résume en indiquant qu’elle est toute entière construite sur deux postulats [1] permettant d’assurer l’égalité de l’offre et de la demande de travail évitant ainsi l’apparition du chômage involontaire : - la

de création (distribution) : Y (production) = Consommation des ménages + Investissement des entreprises  Revenu = Y (production) = W (salaires) + Profits Analyse en termes d’utilisation du revenu Revenu = Y (production) = Consommations + S (épargne) Ménages Y (production) = Consommation + Investissement des entreprises Y (production) = W (salaire) + Profits Y (production = Consommation + S (épargne) Ménages Analyse de l’offre globale : Y (production) + M (importation) = Consommation