Faut Il Craindre Autrui

les religions sont des institutions où on trouve l’assurance par la foi. - l’organisation de l’État, les institutions politiques et juridiques sont des modèles d’assurance où l’observation scrupuleuse des règles communes doit permettre de ne plus craindre le comportement des autres. Les entreprises d’assurance ont dans la production de confiance une fonction comparable à la religion, à la science et au droit. Il s’agit d’un vaste programme pour les assureurs. Ce phénomène de civilisation est

: Weininger n’est ni “Nazi”, ni “Antisémite” ! - Ensuite, son témoignage sur le fossé entre les hommes et les femmes de notre époque, est d’une intelligence et d’une finesse peu communes. Otto est profondément blessé par cette impasse. - Enfin, il faut lire l’autrichien Otto Weininger EN COUPLE avec l’États-Unienne Valérie Solanas, son pendant féminin, qui hurle elle sa colère dans son SCUM Manifesto 1 (1967). L’un et l’autre, subissant la Barbarie Intégrale, décrivent le point de non-retour où sont

philosophiques concernés : Religion Existence - mort Identification du problème SI ON ME POSE LA QUESTION c’est qu’on suppose que………. 1 – la place et le rôle de la religion mérite d’être réfléchi ; peut-on vivre sans elle ? est-elle nécessaire ? 2 – il faut évaluer le caractère nécessaire de la religion Travail sur les axes argumentatifs Finalisation du plan : Plan A I – NECESSAIRE POUR DONNER UN SENS A L’EXISTENCE II – RELIGION ALIENANTE I La religion est nécessaire pour donner

que la mort c’est bien plus que la fin de la vie biologique : c’est la conscience du temps irrévolu (le plus jamais-never more d’Egard Poe) qui passe et donc du sens à donner à cette existence éphémère. Ce sont aussi les peurs liées à cela qu’il nous faut vaincre. P20 : Philosophie et religion : deux façons opposées d’approcher la question du salut. Le christianisme : par l’amour (l ‘amour plus fort que la mort) et la foi (si tu crois en Lui, Dieu te sauvera), nous pouvons gagner la vie éternelle,

inadéquat. Suite à une rencontre, les symptômes anxieux laissent la place aux sentiments de honte, de déception et d’échec. Ce type de phobie conduit souvent l’individu à l’isolement quasi-total car toute tâche nécessitant une interaction quelconque avec autrui peut sembler comme une montagne à surmonter. Causes des phobies Dans les cas de phobies spécifiques ou d’agoraphobie, la majorité des spécialistes s’entendent pour affirmer qu’elles résultent souvent d’un ou de plusieurs évènements traumatisants ou

de la valeur du désir. Le désir des uns n’est pas forcément le désir des autres. A cause de cela, les désirs peuvent créer des conflits. Mais, d’un autre côté, que serait une humanité sans désir ? Aurait-elle encore des motivations ? Pour vivre ne faut-il pas en avoir le désir ? On arrive donc à l’idée, le désir c’est la vie et la question de la valeur du désir c’est aussi une question de la valeur de la vie. I) Le désir comme expression d’un manque Pour répondre à la question : qu’est

refusant à symboliquement l’air libre et la lumière du jour à ses progénitures — doit répondre à la fin du cycle un amour rejeté dans la nature, en l’occurrence dans la mer sous la forme d’Aphrodite. Est-ce à dire que le mal est réductible au désir ? Il faut rendre sa place à celui qui dénoue la situation, même si dans les mythes ultérieurs, il adoptera l’attitude de son père en avalant ses progénitures avant d’être défait par son propre fils, Zeus : Cronos. Ce personnage retors est-il pour autant l’incarnation

être faits de la solidarité. L'ouvrage met notamment au jour une solidarité libérale et une solidarité interventionniste; une solidarité laïque et une solidarité religieuse; une solidarité républicaine et une solidarité contre-révolutionnaire. Faut-il dès lors y voir une simple formule plastique et incantatoire? Au-delà des réponses qu'elle tente d'apporter, ce sont plutôt les questions qu'elle pose qui semble faire son intérêt aux yeux de l'auteur, car elle est la manifestation de questions

directeur de l’existence est l’obéissance au devoir tel qu’il est immédiatement et clairement présent à ma conscience morale. Dans toute situation, je connais mon devoir car l’homme porte en lui la loi morale qui lui indique ce qu’il faut faire, même si ce qu’il faut faire est en conflit avec son avantage immédiat : par exemple, si un commerçant se trompe en me rendant la monnaie, je connais très clairement mon devoir qui est de lui rendre l’excédent, tandis que la quête de mon bonheur m’inciterait

logique du social », « Il est difficile de présenter la sociologie sans citer la boutade de Raymond Aron selon laquelle[1] les sociologues ne sont d'accord entre eux que sur un point : la difficulté de définir la sociologie », (Boudon, 1997, p 27). Il faut en effet admettre qu'entre la définition d'Auguste Comte l'inventeur du terme - du moins celui qui l'a popularisé -, celle d'Emile Durkheim, celle de Max Weber et celle des penseurs libéraux, il y a généralement un fossé qui peut paraître quasiment