Faut Il Croire Pour Savoir

Introduction: Au XVIIé, les philosophes s'engagent dans la lutte contre l’intolérance, le pouvoir absolu et les croyances ; selon les Lumières, il faut avoir du courage contre ce pouvoir absolu et ces croyances : Mais pourquoi ? I) En premier lieu, à l'époque, la monarchie absolue est un système qui prive les sujets de liberté de façon arbitraire. C'est pourquoi à l'époque, le peuple était sous l'autorité du roi, et nul n'avait le droit d'exprimer ce qu'il voulait, et surtout pas son

« Pourquoi faut-il lire 1984 de George Orwell » L'œuvre 1984 a été publiée en anglais en 1949 par « Secker and Warburg », Une version française a été traduite en 1950 par Amélie Audiberti et éditée par Gallimard.  George Orwell est né en 1903 aux Indes et mort en 1950 à Londres, le roman 1984 devait s'appeler 1948 mais l'éditeur refusa, il a donc modifié son œuvre en situant l'action en 1984 et rendu futuriste son univers pour ne pas choquer et être accepté par son éditeur. Le roman se déroule

D'une famille aisé, il étudie au collège Jésuite de La Flèche. Célèbre surtout pour ses contributions au monde des mathématiques ainsi que de la philosophie, il révolutionne la façon de pensée de son époque avec son fameux “Cogito Ergo Sum”. Il faut d'abord savoir que Descartes considère l'homme comme étant composé de deux substances, le corps et l'âme. Pour lui, le corps cherche les passions, il cherche à faire ce qui lui semble agréable. L'âme quand à elle va plutôt utiliser la raison pour prendre ses

trancher net, l'ami du genre humain n'est point du tout mon fait". (Amitié) Choisir un ami (Amitié) Amitié et insuffisance de l'être (Amitié) "C'est con-jouir et non compatir qui fait l'ami". (Amitié) " Le don, voila ce qui donne l'amitié, voici ce qu'il faut pour qu'il y ait amitié". Derrida (Amitié) "Chaque amitié authentique est sorte de rébellion.." Dans quelle mesure les oeuvres d'Aristote et de Gide au programme illustrent-elles cette proposition? (Amitié) Alain écrit: "Les nigauds de moralistes disent

n’est pas simplement la récitation d’un cour appris par cœur on me demande plutôt a partir de quelque connaissance de produire une réflexion personnel et cohérente Philosophie est enfaite une réflexion ; une volonté de comprendre ; une volonté de savoir c’est donc une activité libre de la pensé mais libre ne signifie pas désordonné Donc puisque c’est une activité libre c’est une activité qui a de la responsabilité C’est une activité de questionnement. c’est par la question que l’on manifeste

’’nous conspirons avec nos illusions agréables pour en être plus longtemps abusés.’’. Il y aurait alors un aspect doux et chaleureux dans le monde illusoire qui vient, dans nos représentations, se substituer au réel en le rendant plus humain, moins dur. Faut-il vraiment alors systématiquement arracher toute illusion à l’homme ? A perdre ses illusions, est-on vraiment plus gagnant que perdant ? Est-ce à la portée de l’homme que perdre toutes ses illusions ? Si d’un coté l’on considère que l’illusion est

dialectique : avec une montée progressive vers le vrai. La pensée s'élève ainsi de l'opinion (la doxa), énoncé non justifié par un raisonnement rigoureux, mélange de vérité et d'erreur, sorte d'intermédiaire entre le néant total et ce qui est, jusqu'à un savoir d'ordre intelligible et justifié en raison. C'est ce qu'exprime le célèbre Mythe de la caverne : notre monde sensible n'est qu'apparence, par rapport aux vraies réalités. L opinion désigne une connaissance inférieure, portant sur les objets du monde

d’Enfer), d'autres se verront ouvrir les portes du paradis. L'Homme en effet, durant toute sa vie, doit essayer de suivre les commandements divins pour espérer se voir pardonner ses fautes à l'issue du jugement dernier et ainsi éviter l'enfer. Ainsi, il essayera d’être un « citoyen exemplaire », de ne pas commettre de fautes qui lui seraient rappelées lors de ce Jour fatidique. Il essayera de respecter les lois et n’osera aucune rébellion. Il ne fera rien, ni contre autrui, ni contre l’état. Il vit dans

§ 282 : « Nous connaissons la vérité non seulement par la raison, mais encore par le cœur ». La raison ne peut travailler que sur ce qui lui est donné. Non seulement parce qu’il faut bien qu’il y ait quelque chose et non pas plutôt rien, mais encore parce que ce quelque chose doit l’être dans l’évidence, ce sentiment invincible de la vérité donnée par le cœur. Ainsi compris, le cœur est aux antipodes des brumes de l’ineffable, il est un organe de la connaissance, une puissance noétique capable

cette nature. Il est donc nécessaire, pour bien comprendre la condition humaine, de se questionner à savoir si certaines réalités observables chez l’être humain relèvent plutôt de leur nature, ou plutôt de leur éducation. La liberté de conscience est sans doute une de ses réalités qui, comme le souligne Thomas de Koninck, est au cœur même de la culture de notre société actuelle . La question qu’il faut se poser est donc celle-ci : la liberté de conscience, vient-elle du fait que la nature de l’homme