Faut Il Démontrer Pour Convaincre

Fiche Pascal : « De l’esprit géométrique » et « l’Art de persuader » On peut avoir trois principaux objets dans l’étude de la vérité : 1) la découvrir quand on la cherche ; 2) la démontrer quand on la possède ; 3) la discerner d’avec le faux quand on l’examine. Pascal s’intéresse au 2e : pour le traiter il veut s‘appuyer sur la méthode de la géométrie, qui consiste en deux choses principales : l’une, de prouver chaque proposition en particulier, l’autre, de disposer toutes les propositions dans

rhétoriciens qui sont gouvernés par le grand homme qu’est Gorgias. Il faut faire attention de ne pas confondre ces deux mouvements de pensés car ils sont quasiment l’opposé l’un de l’autre. Fait à noter, il ne fait surtout pas mettre les rhétoriciens et les sophistes « dans le même panier » sans aller dans le fin fond des choses car on peu remarquer qu’il y a une légère différence entre ces deux modes vies. Pour commencer, il faut savoir que les sophistes ressemblent beaucoup aux rhétoriciens car

forme de texte (narratif, descriptif, poétique, etc.) peut avoir, plus ou moins ouvertement, une visée argumentative. I. Mise au point terminologique 1. Démontrer et argumenter Il faut distinguer démonstration et argumentation. Le rapport à la vérité et la position occupée par le locuteur ne sont en effet pas les mêmes : - démontrer : prendre pour point de départ une vérité admise par tous pour conduire logiquement, par un raisonnement déductif, à la vérité de la conclusion. La démonstration

Démonstration - Etablir. Vérité: Parle-t-on de LA Vérité dans l'absolu, une vérité universelle? ou de la vérité concernant un état des choses à un moment donné? La Vérité ne se démontre pas, elle se suffit à elle même et on pourrait clore ici le débat. Cependant, la question parle d'établir UNE vérité... il faut en conclure que la question ne porte pas sur la Vérité mais simplement sur les méthodes permettant de faire adhérer d'autres personnes à une idée, en les convaincant que cette idée est

désigner de race-inférieure, ceux dont les mœurs divergeaient des leurs. L’Histoire en a été la témoin à plusieurs reprises. En effet, on peut remarquer que des auteurs, qui sont nés à avec des siècles d’écart, se sont servis de leur plume afin de convaincre, perduader ou délibérer sur un même sujet à savoir s’il existe au sein de la population humaine, des êtres supérieurs. C’est à cette thèse que Montaigne s’oppose radicalement et affirme que « Chacun appelle barbarie ce qui n’est pas de son usage »

imagination : ce qui correspond d’ailleurs à la définition même de la fiction. Mais les fictions remplissent-elles bien le rôle attendu par les auteurs auprès des lecteurs ? Ont-ils intérêt à l’utiliser pour soutenir leurs idées ? Je vais tout d’abord démontrer que le fiction est une forme de liberté pour l’auteur, puis que pour le lecteur elle possède une certaine force de persuasion et enfin que ce genre littéraire comporte toutefois des limites dans l’art d’argumenter et de soutenir une thèse.

les résistances * Montrer à l’interlocuteur qu’il peut accorder sa confiance * Arriver à un accord et une décision * Vendeur * Créer un climat favorable * Situer le client, rechercher ses freins, motivation, attitude * Convaincre l’acheteur de l’adaptation du produit à ses besoins * Surmonter les doutes et les résistances * Obtenir l’accord de l’acheteur * Tenter la vente d’un article supplémentaire * Sécuriser et rassurer l’acheteur sur la validité de son

vérité. Dans ce cas, la démonstration n’est non seulement pas suffisante, mais elle est même superflue, car ce n’est pas à travers elle que l’on sait si une chose est vraie ou non. Peut-on donc dire qu’absolument toute vérité est démontrable ? Ne faut-il pas distinguer plusieurs types de vérités, dont certaines sont démontrables et d’autres non ? De plus, n’y a-t-il pas pour la raison un autre moyen que la démonstration pour savoir si une chose est vraie ou non, et ce moyen n’est-il pas inévitable 

Un commentaire composé se présente un peu comme une dissertation, qui s'appuie sur un texte. Il faut donc rédiger une introduction, un développement (traditionnellement en trois parties), et une conclusion. Pour l'introduction, il faut présenter le texte d'une façon très courte, situer son auteur, dégager les idées principales, et indiquer le plan que tu envisages de suivre. Cela pourrait se présenter ainsi : Philosophe du siècle des "Lumières" qui s'acheva sur la Révolution française, Voltaire

thèmes dominants : L'amour et la science (l'expérience). Et voila la problématique : comment ces deux thèmes sont argumentés surtout le thème de l'amour et quelle est l'influence de ce dernier sur le lecteur? Et -ce –que voltaire aboutit à nous convaincre?? Tout d’abord, le thème de l'amour apparaît clairement dans ce texte d'après le champ lexical dominant baisa (l.16), une sensibilité (l.17), leurs bouches se rencontrèrent (l.18) s’enflammèrent (l.18)... Surtout à la fin du texte quand Cunégonde