Faut Il Mépriser Les Apparences

inacceptable tel quel. Un point de vue naïf Voltaire fait constamment ressortir la naïveté de Candide, son absence d’esprit critique et son incapacité à établir des critères de jugement. Candide et Cacambo sont seulement impressionnés par les apparences et on peut remarquer : - L’absence d’un réel émerveillement : Candide décrit tout sur le même plan, il ne fait pas de différence entre les moutons qui volent, les richesses… Il n’a aucun regard critique ou hiérarchique. A propos des bons mots du

billets de papier-monnaie → faillite en 1720 (bankrotirao) buorses (Paris, Londres) pourtant, grâce à l'inflation: chômage diminue, colonialisation en Louisiane encouragée, la croissance jusqu'à la Révolution en 1789 LE GOÛT DU LUXE il faut avoir du style, apparence plaisante, élégante (matérialisme), intérêt aux arts, conversations intelligentes, acquérir la richesse et le montrer le style Louis XV (mineur jusqu'à 1723) = plutôt le détail que l'ensemble, l'intimité que la grandeur et la pompe, les

l’inconnu ( des étrangers) ; 2) Faire que l’autre n’ait plus peur, quel que soit le sujet de sa peur ; en ce deuxième sens il faudrait s’interroger sur la possibilité ou non de rassurer les autres. Pouvons-nous par notre comportement rassurer l’autre ou faut-il toujours qu’il le veuille ? L'autre : « l'autre » en philosophie recouvre une pluralité de sens et n'est pas strictement réductible à « autrui ». C'est le contraire du même, du connu, du normal, du prévisible : tout ce qui fait éclater les

un mot qui appartient au champ lexical de l’argent et qui lui aussi suggère tout ce qui est sous-entendu dans ces interrogations faites à Marton : l’écart entre sa classe sociale et le portrait. On voit bien que ces interrogations anodines en apparence et qui marquent la surprise sont en réalité lourdes de sens et qu’elles opposent le spersonnages en fonction de leur statut social. ( L’enjeu social est d’ailleurs clairement perçu par Marton qui réplique énergiquement sur le même terrain :

rapport peut s'instaurer entre eux. A- Caractérisation de la notion d'art 1) Signification générale du terme d'art On notera tout d'abord que le terme d'art est ici pris dans toute sa généralité : il ne s'agit pas des beaux-arts à proprement parler. Il faut noter que le terme d'art n'a pas toujours signifié l'activité créatrice d'oeuvres belles. En effet, jusqu'au 18e, il a été synonyme de "technique", et a englobé le domaine de l'activité humaine capable de production. Ainsi pour Aristote l'art est le

militaire, pouvant conduire à l’existence de motifs inavoués. Il constate que l’oubli est dû dans tous les cas à l’intervention de motifs inconscients et inavoués, ou à l’intervention d’une contre-volonté. Pour se rendre maître du motif inconscient, il faut une opération psychique qui fasse entrer cet inconscient dans la sphère consciente. Freud constitue deux groupes d’erreurs. Les mépris et les actions symptomatiques accidentelles. L’acte manqué est un cas de non-conformité à l’intention, alors que

 Molière  place  aussi  Cléante  en  véritable  serviteur,  ce  dernier   se  plaint  à  son  valet  «  Que  veux-­‐tu  que  je  voie  ?  J’ai  besoin  d’argent  ;  et  il  faut  bien  que  je   consente  à  tout.  ».     Cette   puissance   sociale   est   aussi   atteinte   par   la   respectabilité   qui   peut   découler   du   possesseur   d’argent,

inacceptable tel quel. B. Un point de vue naïf Voltaire fait constamment ressortir la naïveté de Candide, son absence d’esprit critique et son incapacité à établir des critères de jugement. Candide et Cacambo sont seulement impressionnés par les apparences et on peut remarquer : - -L’absence d’un réel émerveillement : Candide décrit tout sur le même plan, il ne fait pas de différence entre les moutons qui volent, les richesses… Il n’a aucun regard critique ou hiérarchique. A propos desbons motsdu

l'ouvrage, comme s'il était le véritable enchanteur entouré des illusions de son art, Prospero, en s'y montrant à nous, semble le seul corps opaque et solide au milieu d'un peuple de légers fantômes revêtus des formes de la vie, mais dépourvus des apparences de la durée. Quelques minutes s'écouleront à peine que l'aimable Ariel, plus léger encore que lorsqu'il arrive avec la pensée, va échapper au contact même de la baguette magique, et, libre des formes qu'on lui prescrit, libre de toute forme sensible

particulièrement pessimiste, de la société. II Un monde à l’envers : Dès le début du passage, le lecteur a doit à une démonstration de cynisme, Rastignac nous expose sa vision négative de la société : « Dès son début à Paris, Rastignac fut conduit à mépriser la société tout entière ». On comprend que c’est la société qui est responsable des défauts de Rastignac et non l’inverse. Pour lui, « le monde est la réunion de toutes les corruptions, de toutes les friponneries ». (l. 2 et 3). Comme il a perdu