Faut Il Mépriser Les Apparences

Anna. Dès six ans, elle se montre insupportable, notamment à l'école. A treize ans, elle devient apprentie fleuriste et continue d'avancer sur la pente glissante de la déchéance au contact des garçons de son quartier. Abhorrant le travail, elle méprise sa famille et devient ouvrière pour survivre. De plus en plus coquette, elle finit par se faire entretenir. ( voir aussi l'Assomomoir, de Zola). Elle est mère à seize ans, mais ne connaît pas le père de son enfant. C'est dans le roman Nana que nous

27/07/2010 L'Amant de Lady Chatterley de D.H. Lawrence Et, vaguement, elle percevait une des grandes lois de l'âme humaine: quand l'être réçoit un choc violent qui ne tue pas le corps, l'ême semble guérir en même temps que le corps. Mais ce n'est qu'une apparence. Il n'y a plus que le mécanisme de l'habitude reprise. Lentement, lentement, la blessure de l'âme commence à se manifester, comme une meurtrissure d'abord légère, mais qui, à la longue, enfonce toujours plus profondément sa douleur, jusqu'à remplir

à la barrière de la conscience, son cœur, mettre un masque, se jouer sans pitié des hommes et, comme à Lacédémone, saisir sa fortune sans être vu, pour mériter la couronne. » Lignes.4085-4088 Procédé : Explication : Rastignac apprend comment il faut se comporté pour bien réussir en société et profiter du jeu de la société. Même s’il n’est pas d’accord avec cette manière d’agir et de penser, il doit s’y plier s’il veut survivre dans le monde parisien. 2. Idée secondaire : Ils jouent un rôle

de l’âme, cela reste une idée immatérielle. Quant à Julien, lorsqu’il emploi le terme « sale fortune », il voit directement l’application du point de vue de l’abbé Chélan sur la fortune et la manière de faire fortune sous la Restauration. Julien méprise cette fortune, cette richesse obtenue par le mépris du misérable et du profit de la fortune d’autrui. Il la qualifie de « sale », car elle est non respectueuse et par conséquent empreinte d’une « perte éternelle ». Selon Julien, la fortune comprend

 Cette identification n’est t- elle pas une illusion ? Qu’est ce que le moi ? La conscience est elle souveraine ? La psychanalyse depuis FREUD considère que le psychisme n’est pas unitaire : il y a du conscient et de l’inconscient. Dès lors, ne faut-il pas envisager notre vie psychique comme « une dialectique du moi et de l’inconscient » (JUNG), comme un jeu dynamique au cours duquel l’être conscient et son inconscient s’affrontent et se concilient dans un processus créateur ? I/ LA CONSCIENCE

comportements déviants. Depuis le XVI siècle des lois sont mises en place ,en les interdisant de porter certains vêtements et les oblige à travers un décret à montrer une «attitude mesurée ». Dans la haute société, la mulâtresse est une femme perdue qu'il faut éviter d'épouser à cause de ses « dispositions à la transgression».Elle est l'antithèse de la femme espagnole: honnête, retenue, soumise et silencieuse. * les mulâtres naissaient libres ou esclaves selon le cas,ils avaient le même statut que leur

tempérament.   L’idée de nature est importante au XVIIIème siècle. Ici, la séduction de Cécile permet la remise en question d’une éducation fondée sur la répression du désir. Pour la religion de l’époque, la nature, le corps, la chair, sont mauvais et il faut réprimer les instincts. Les libertins érudits ont promu une nouvelle image de la nature, libérée de son interprétation moralisante. Les philosophes reconnaissent dans la nature un modèle mais ils la voudraient morale. Laclos suggère que la nature ignore

se sert de fais divers comme source d’aspiration (ex : les personnages ont assassinés leurs amours respectifs) Les personnages : * Julien Sorel : Jeune homme intelligent, beau, ambitieux, et maladroit avec les femmes. Fils d’un charpentier, méprisé par son père et ses frères pour sa faiblesse physique et son goût des livres, il se passionne pour Napoléon I, il rêve de gloire. Le curé du village, l'abbé Chélan, lui enseigne le latin. Il n’a aucune expérience sociale du monde de la noblesse. Il

ne partage pas cette fonction de l'objet technique. Elle est, selon Kant, la « belle représentation d'une chose ». Elle a donc pour but de plaire par sa beauté ; autrement dit, elle est faite pour être belle. Elle n'a alors pour finalité que son apparence qui lui est immanente, ce qui signifie qu'elle n'a pour finalité qu'elle-même. Elle ne semble donc pas pourvoir satisfaire les besoin matériels humains. Selon Hannah Arendt, c'est là même l'essence de l'art : « pour trouver sa place convenable dans

voyez comme le hasard me contrarie ! Moi qui allais l'aimer. OCTAVE. - En vérité ! MARIANNE. - Oui, sur mon âme, ce soir ou demain matin, dimanche au plus tard, je lui appartenais. Qui pourrait ne pas réussir avec un ambassadeur tel que vous ? Il faut croire que sa passion pour moi était quelque chose comme du chinois ou de l'arabe, puisqu'il lui fallait un interprète, et qu'elle ne pouvait s'expliquer tonte seule. OCTAVE. - Raillez, raillez, nous ne vous craignons plus. MARIANNE. - Ou peut-être