Faut Il Renoncer Nature Humaine

des habitudes culturelles liées à la société dans laquelle je vis, et ne suis-je pas influencé par mon inconscient ? On peut alors se poser la question : à quel point suis-je impliqué dans mon identité ? Mais en me défendant avec ces arguments, je renonce à me poser comme sujet possédant ma propre expérience individuelle. Etre responsable de ce que je suis serait être la cause de mon identité. Pourtant je ne peux affirmer que je suis responsable d'être au monde puisque mes parents le sont. Mais sont-ils

qualité d’homme L’homme ne peut renoncer à sa liberté sans renoncer à lui-même --- aucun dédommagement la sécurité ne saurait donc être ici une monnaie d’échange et en cas de contrat dans cette configuration = contrat nul, non avenu car pour Rousseau « Un contrat pour être valide doit être conclut librement et non pas imposer par la force. » mais a partir du moment où il a été passé il parait légitime d’utiliser la force pour le faire respecter, si il le faut. Un contrat qui ne serait pas respecté

insatisfaction, une envie de quelque chose que l’on ne possède pas. Une règle est une formule ou une proposition indiquant une démarche ou une voie à suivre, une manière de se conduire. Une règle de vie est donc un précepte qui nous dit comment il faut vivre. Une « Bonne » règle de vie admet un double sens : une règle de vie peut être « bonne » au sens où elle nous est utile c'est-à-dire où elle nous conduit au bonheur, mais « bonne » est aussi ce qui est conforme au bien, aux normes éthiques,

plaisir, le contraire de la souffrance. Or un désir, avant d’être satisfait, se définit comme manque. On peut alors s’interroger sur la possibilité de tout mettre en œuvre pour dépasser ce manque. N’y a-t-il pas de désir moralement dangereux ? Faut-il alors y renoncer ? Mais le désir n’est-il pas au cœur de l’humanité ? Le plan Il s’agit d’abord de montrer en quoi désir et souffrance sont liés pour envisager ensuite la possibilité de désirer sans souffrir. On aborde alors la solution épicurienne, mais

l’idée humaine? Notion de nature humaine qui pose problème Définition nature: l’idée que l’homme possède une essence: une identité propre et figée -> définition de l’homme. Ensemble de détermination qui à la lumière des quelles ont peut mesurer la nature de l’homme. I) Le danger théorique et pratique En quoi pouvoir donner une essence à l’homme peut- il être dangereux? (point de vue théorique et pratique). Faut-il être méfiants à l’égard de l’idée de nature humaine? -> lié au mot nature -> renvoi

2) Renoncer à tous ses désirs Faut-il alors renoncer à tous ses désirs ? C'est cette solution que préconise Schopenhauer. Selon lui, tout dans l'univers (les êtres vivants comme les forces chimiques ou physiques) est animé de volonté. On pourrait rétorquer que la volonté n'est pas le désir, sauf que chez Schopenhauer la volonté n'a rien à voir avec le libre-arbitre mais est une puissance aveugle de vie, sans fondement et surtout sans finalité. L'homme est un jouet inconscient de ce qui l'anime.

communauté morale tous ceux qui y adhèrent, et manifestant sous des formes très diversifiées les rapports des hommes à Dieu, au divin ou au sacré. Quant à la philosophie, elle distingue la « religion intérieure », rapport individuel et direct de l’âme humaine avec Dieu ou avec le divin, axé donc sur la foi, et la « religion extérieure » c’est-à-dire l’ensemble des institutions ayant pour fonction de régler les rapports des croyants avec Dieu ou la sacré par des rites, des cérémonies et une liturgie

Démonstration/Interprétation. Concepts abordés : Opinion, Erreur, Expérience, Théorie, Hypothèse, Absolu/Relatif, Expliquer/comprendre, Nécessaire/contingent. Qu’est-ce que la vérité ? Question de l’essence de la vérité, circonscrire sa nature, sa définition-> A quoi la reconnaît-on, de quoi la distingue t’on ? Quels sont les critères permettant de la définir, sont-ils pour autant définitifs, absolus ? Autre problème-> La vérité- Elle apparaît de manière paradoxale, à la fois voilée

instance dominante, celui-ci ne se condamne-t-il pas à vivre seul en dehors de tout réseau social ? De plus, l'autorité peut désigner aussi une forme de puissance liée à un savoir, et en ce sens respecter une autorité c'est reconnaître les lois de la nature, c'est donc plutôt une manière de gagner sa liberté en se libérant de son ignorance. Finalement, être libre est-ce s'affranchir de toute autorité ou au contraire respecter ce qui fait autorité ? N'est-il pas utopique de vouloir se soustraire à toute

l’homme de pouvoir s’exprimer sur le futur de sa nation. Nous aurions de meilleurs dirigeants si les citoyens suivraient une formation sur l’actualité politique, économique et sociale afin d’avoir le droit de vote. Pour faire un choix judicieux, il faut posséder un certain savoir et pouvoir prendre conscience des besoins de sa société. Plusieurs décisions sans réflexions, l’homme se pose rarement de vraies questions. Il est certain que beaucoup de gens utilisent le droit de vote sans être renseigné