Faut Il Réduire Les Déficits Publics

Finances publiques : Introduction Chapitre 1 Section 1 : La question de la dette et du déficit : nos finances publiques face à la crise I - Quelle est la situation de nos finances publiques avant la crise (en 2008) ? A) Le déficit public En 2008, notre situation est relativement dégradée. Notre déficit (solde budgétaire = recettes – dépenses, qui peut être positif, égal à zéro ou négatif) est d’environ 66 milliards, soit 3,4 % du PIB. Il est causé par deux facteurs : Les dépenses

INTRODUCTION Depuis quelques années, l’économie mondiale semble porter une attention particulière à la situation économique de la Grèce. En effet, c’est en 2009 que le déficit de la dette publique du pays explose. Avec l’arrivée d’un nouveau parti politique à la tête de u gouvernement grec, tous les yeux sont tournés vers ce pays qui devra adopter des mesures radicales afin de redresser sa situation économique désastreuse. Afin de mieux comprendre l’ampleur de la crise économique du moment, trois

détailleront le contexte économique et financier de la Grèce. Tout d’abord, il faut savoir que cette crise a plusieurs origines, dont : - Les subprimes (prêts à hauts risque) qui ont entrainé l’endettement au niveau mondial des Etats. - Le déficit (12,7% du PIB) a surpris tous les membres du l’UE, car masqué par l’ancien 1er ministre. Il est du notamment aux fortes dépenses militaires, à l’ampleur du secteur public, et à la fraude fiscale. - Les agences de notations : Elles évaluent la situation

du travail et maladies professionnelles, assurance-chômage), mais pas les entreprises publiques du secteur marchand. La dette publique est l’ensemble des emprunts contractés par les administrations publiques. Si le déficit est un flux, la dette est un stock. Par ailleurs, il ne faut pas confondre dette publique et dette extérieure, la seconde représentant l’ensemble des emprunts des agents économiques à l’égard des prêteurs étrangers. Fin 2009 la dette publique française s’élevait à 1 489,0 milliards

? » Elle est intervenue dans le cadre d'une table ronde intitulée : " Épargne et croissance : Quels choix pour la France ?" Introduction : il n'y a pas de croissance sans épargne. Jean-Baptiste Say disait que pour soutenir la croissance, il faut soit des enfants, soit de l'épargne. La capacité d'un pays à épargner et la qualité de ses intermédiaires financiers sont pour lui des atouts économiques essentiels. Jamais la faiblesse de l'épargne n'a permis une croissance durable de l'économie

stabilise [..]. A partir du 20ème siècle, se met en place plusieurs phénomènes. II y a l’installation des lois sociales, l’état commence à intervenir pour mettre en place un système de retraite, de protection pour la maladie etc. Ce qui commence à réduire l’écart des revenus entre riches et pauvres. Il y a aussi l’autorisation des syndicats => hausse des salaires. Puis il y a la mise en place du taylorisme et du fordisme. Ils permettent d’augmenter la productivité ce qui entraine une hausse des salaires

Ils n’induisent pas en eux-mêmes une redistribution. Comme l’affirmait Proudon, l’impôt est la quote-part à payer par chaque citoyen pour la dépense des services publics. Les auteurs socialistes, dont Proudon, ne considèrent pas seulement le budget comme un moyen de financer les dépenses, mais aussi et surtout comme un moyen de réduire les inégalités dans la distribution des richesses. Autrement dit, dès le 19e, on a conscience du caractère d’allocation de ressource et de distribution des ressources

La réglementation de « credit default swaps » est faible Assez fort? Le budget, la relance, la fiscalité  Un programme de relance qui n’était pas à l’hauteur de la crise.  L’incapacité d’élever les impôts, même sur les plus riches.  Les déficit énormes sans une forte réduction du taux de chômage  La montée de la dette fédérale 2. Quatre explications largement répandues Une situation trop difficile: Obama comme victime et héro 2. Pas assez à gauche : Obama a trahi sa base progressiste

international. Par contre, les variations du dollar influencent les exportations et les importations mais les effets sur les volumes sont plus faibles qu’on le croit généralement et ils ne se matérialisent qu’après un long délai (entre 15 et 18 mois). Il faut donc retenir que la cause la plus importante des fluctuations des exportations est le PIB américain et non pas le taux de change du dollar canadien. Avant 1973, les économistes expliquaient les cycles essentiellement à partir des fluctuations de la

a)BIEN COLLECTIFS ET BIENS PUBLICS : *TYPOLOGIE DE BIENS : bien privé, bien mixte, bien public. Les propriétés de rivalités et d’exclusivité d’usage qui caractérisent les biens privés ne sont pas intrinsèquement absentes des biens dits publics. *BIENS PUBLICS ET ALLOCATION OPTIMALE DES RESSOURCES : -Bien publics et problème du  «  passager clandestin » : les biens publics soulèvent un problème de financement