Faut Il Se Mefier De Toute Nos Croyance

constance silencieuse et de l’ambiguïté ». Le mot « hésychisme » vient d’une secte de l’Eglise d’Orient née au XIIe siècle dans les monastères du Mont Athos, où on enseignait, d’après l’abbé Siméon, que, pour s’élever à la science des choses divines, il faut se recueillir dans la solitude, incliné la tête sur la poitrine et regarder attentivement son nombril, que là sont concentrées toutes les forces de l’âme, que d’abord on n’y trouve que les ténèbres, mais que peut à peut, la lumière naît, éclate et

la coexistence, impliquant des « faciès d’une réalité n’on pas sans doute statique mais soumise à des variations ». • On considère comme histoire cumulative toute culture qui se développe dans un sens analogue au nôtre, c’est-à-dire dont le développement est doté pour nous de signification. Et comme histoire stationnaire toute culture dont la ligne de développement ne signifie rien pour nous. Cette perspective est ethnocentrique. Il prend l’exemple du train avec lequel on comprend bien

son principe originel et autonome ( = ce qui est premier et inné ) qui détermine ses propriétés intrinsèques, incontournables, et son développement. – le mythe : 1/ le récit produisant une explication des choses au moyen de croyances imaginaires et mensongères ( par opposition au discours rationnel, logique, objectif et scientifique ) 2/ le préjugé dominant, la représentation collective stéréotypée ( trouver des exemples de stéréotypes et préjugés courants sur la

cherche à connaître. Mais il faut faire la différence entre la considération naïve sur le monde qui nous entoure, et la véritable volonté de connaître, c'est-à-dire de comprendre ce monde dans toutes ses dimensions. La première attitude nous pousse à une certaine passivité, à accepter tout ce que nous voyons comme étant vrai, car nous sommes soumis à l'habitude. La seconde au contraire nous amène vers l'idée que les apparences peuvent être trompeuses, illusoires, et qu'il faut s'interroger. C'est le début

pas les impressions subjectives de chacun. Tous les sujets doivent énoncer la même vérité sur l’objet. Il y a un lien étroit entre les notions de vérité et de réalité mais il ne faut pas les confondre. En effet, on dira qu’une maison est réelle, qu’elle existe mais on ne dira pas qu’elle est vraie. Une chose toute seule n’est pas vraie, ce qui est vrai est une pensée ou une phrase (par exemple, cette maison est blanche). La vérité réside donc dans le discours que les hommes portent sur les

l’hypothèse d’un certain Malin Génie. Pour commencer, Descartes dit ignorer si ses perceptions, dont il sait qu’elles sont des pensées, ont véritablement un correspondant matériel. Il lui faut donc se détourner des croyances aux choses matérielles. Naît donc une nouvelle affirmation ; il faut s’en tenir au connu et se méfier de l’inconnu. En revanche, il sait qu’il existe (cogito) et que sa pensée est plus aisée à connaître que toutes les choses extérieures. Il s’agit donc de considérer son intérieur afin

l’appartenance disciplinaire ont vocation a nous aider a comprendre le monde. Il faut se méfier des évidences car dans les sc sociales l’enjeu majeur est de faire comprendre a quel point que ce qui semble évident est un construit social, Girard René la diagonale des conjoints le coup de foudre va être dicté c’est a dire rencontrer quelqu’un issu de la même origine il y a une forte homogamie sociale. Bachelard disait toute connaissance nait d’une question. Il n’y a pas de vérité absolue car on a une

mais aussi de sortir des préjugés, des illusions du savoir spontané pour accumuler des vérités incontestables. Le grand outil est la Raison. Elle se caractérise par quatre éléments : La distanciation : le scientifique doit se détacher de toute préoccupation normative, de type philosophique, de type moral ou religieux, de tout jugement de valeur. Il ne doit pas se demander ce qui est souhaitable il doit juste se soumettre à étudier les faits. Il doit fonder ses démonstration sur l’observation

Être heureux est-ce satisfaire tous ses désirs ? Platon, Gorgias 492-493Ligne 1, être sous esclavage revient à ne pas avoir de liberté. Sous esclavage, on ne peut pas faire ce que l’on veut du coup, quand on manque de liberté on ne fait pas ce qu’on veut. L’indépendance c’est celui qui est contraint par rien, celui qui est entravé par rien. L’esclave est la propriété d’un autre homme, il n’est pas libre de faire ce qu’il veut. La liberté comme indépendance est le plus bas degré de la liberté, à

branche d'une religion, une école particulière. En ce sens, ce mot n'a rien de péjoratif. Cependant ce terme a pris une dimension polémique, et désigne de nos jours un groupe ou une organisation, le plus souvent à connotation religieuse, dont les croyances ou le comportement sont jugés obscurs ou malveillants par le reste de la société. Généralement, les responsables de ces groupes sont accusés d'une part de brimer les libertés individuelles au sein du groupe ou de manipuler mentalement leurs disciples