Faut Il Vivre Pour Autrui

Peut-on désirer sans souffrir ? Tout ce qui vit a des besoins, si tant est que vivre, ce n'est pas être autosuffisant, mais au contraire dépendre, pour sa propre survie, d'un milieu extérieur : la plante a besoin d'eau et de lumière ; l'animal de manger, de boire et de dormir. . Seulement, parce qu'il est doté de conscience et capable de se représenter lui-même, l'homme n'est pas qu'un être de besoins, c'est aussi et peut-être surtout un être de désirs. Le désir se distingue du besoin en ceci

Sartre, Descartes, Nietzsche, Hume ou encore Freud ont essayé à travers leur thèses bien que différentes à découvrir la source de la connaissance de l'homme. L'identité d'un l'individu peut être altéré par différents éléments comme nos relations avec autrui, notre volonté ou ce que nous ne pouvons percevoir soit l'inconscient. On peut exprimer l'idée que le temps nous fait sans cesse changer, en effet, on ne peut faire aucune similitude avec se que je fus lorsque j'était jeune, avec ce qui je suis aujourd'hui

d’humanité commune, je ne peux fraterniser avec autrui dans le fond parce quil ets toujours le même. On s’adonne à la quête de l’exotisme et du dépaysement avec d’autant plus d’insouciance qu’au fond on est assuré , d’avance, qu’ils ne sont que d’apparence d’une différence radicale. « L’enfer, c’est les autres » J.P.Sartre L’enfer désigne, dans l’imagerie religieuse, le lieu où l’existence est révélée à ses contradictions sans appel. Vivre en enfer ce n’est pas seulement souffrir, c’est

Toutefois, certaines expériences ou émotions sont impossible à partager car leur caractère singulier échappe à cet autre que moi qu’est autrui. Nous en venons donc à nous demander s’il nous est possible de comprendre l’autre au point de s’identifier à lui. Tout d’abord, il semblerait que le partage de cette nature humaine nous autorise à envisager autrui comme un autre moi-même, rendant donc légitime une démarche d’identification à lui. Mais ensuite, il apparait que c’est justement cette humanité

« Le monde est dangereux à vivre ! Non pas à cause de ceux qui font le mal mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire » Albert Einstein. * Présentation personnelle * Présentation du sujet : Il semble que le mal soit universel. Le comportement de l’homme envers autrui dépend de l’éducation qui lui est donné. Selon le contexte dans lequel il évolue, il acquière une certaine expérience et c’est ce qui déterminera la raison de ses agissements ou la raison pour laquelle il laisse

utile ? Sous entendu : ça ne sert à rien… o Utile pourquoi ?  Pour vivre et survivre ?  Dans le monde ? dans la société ?  Pour être heureux ? pour être libre ?  Pour connaître le réel ? o Pourquoi cela ne servirait-il à rien de la rechercher ? parce qu’elle est nuisible ? ou bien tout simplement parce qu’elle est inaccessible ? Introduction Depuis que nous sommes petits, nos parents nous disent qu’il ne faut pas mentir, parce que c’est mal. Par ailleurs, on n’a de cesse de décrier

« moi » on ne trouve rien. Il n’y a jamais que la pensée qui, dans son cours, puisse donner, en se prenant pour objet, consistance à l’idée du moi. On peut alors rattacher le sujet à Autrui , car il est un autre Moi. Autrui est indispensable à l’existence car il permet la connaissance de soi , donc du sujet. « Autrui, c’est l’autre, c’est à dire le moi qui n’est pas moi. ».. Sartre, l’être et le néant 1943. Il demeure étranger à moi même tout en étant pareil dans le concept. C’est ce qui constitue

socialisation va se faire par étapes : l’homme confronté aux obstacles de la nature va devoir s’adapter, c’est là que vont se développer les liens familiaux. Puis l’homme va prendre l’habitude de faire des comparaisons, d’abord avec les animaux, ensuite avec autrui ; enfin, apparaît la société agraire qui fixe, sédentarise l’homme : « ce sont le fer et le blé qui ont civilisé les hommes et perdu le genre humain » (op. cité). Cela débouche finalement sur la notion de propriété, qui est une réalité de la société

idée romantique (pas réel) Lévinas pense qu’on peut désirer ou vivre par moments l’unité, mais que la réalité c’est que la personne qu’in aime est autre L’idée d’unité est très présente dans l’homme, c’est l’idée idéale mais qui n’est pas possible La mort est la confirmation d’être autre car on meurt séparément J.-L. Marion : Le sens ne vie pas de nous-même, mais de l’autre Connaissance = L’autre n’est plus tout à faut autre ← Eros (altérité pure) échappe à la connaissance (altérité

contrainte qui viendrait entraver nos désirs. Être libre, ce serait pouvoir faire ce que l’on souhaite. Une première conception de la liberté consiste à la faire reposer sur la capacité à satisfaire ses désirs sans entrave. On est indépendant face à autrui. Pour le philosophe Platon, l’homme libre est celui qui comme un tyran détient tout les pouvoirs sur les autres hommes et obtient d’eux tout ce qu’il désire. Notre liberté s’obtient alors par le laisser-aller des désirs et repose sur la force. En