Faut Il Vouloir Penser Par Soi Même

échappe au temps). Tout le monde n’est pas sage donc il donne des conseils. Le sage n’a pas peur de la mort (= LE signe de sagesse). - ≠ fou : il vit de ses désirs, de ses passions. Il s’écoute lui-même et est donc malheureux- ex : Marc-Aurèle : empereur Stoïcien (indifférent de tout, maître de lui-même) ; tu es malheureux quand tu es en désaccord avec le tout.I. la conscience est un nouveau point de repère1. la découverte du sujet par Descartes¤ Définir l’homme par la conscience est une idée neuve

« conscience», qu’il « sût » lui-même ce qui lui manquait, qu’il « sût » ce qu’il sentait, qu’il « sût » ce qu’il pensait. Car comme toute créature vivante, l’homme pense constamment, mais il l’ignore. La pensée qui devient consciente ne représente que la partie la plus infime, disons la plus superficielle, la plus mauvaise, de tout ce qu’il pense : car il n’y a que cette pensée qui s’exprime en paroles, c'est-à-dire en signes d’échanges, ce qui révèle l’origine même de la conscience. Nietzsche;

de notre vie aura des répercussions ( que nous ne pouvons imaginer sur le coup ) et c'est le fait d'ignorer celles ci qui fait que l'homme peut profiter pleinement et réaliser ses plus grands fantasmes, je dirai même surpasser ses limites; il est dit que « je peux vouloir le bien actuel en sacrifiant le bien futur », n'importe qui pourrait profiter pleinement de sa vie à sa manière et se dire qu'après tout, il n'en a qu'une seule; le but de la vie ( si il en existe vraiment un )

gâché. S'il y a bien une chose que j'ai retenue, c'est qu'il ne faut pas laisser le chagrin s'installer dans sa vie. Et le meilleur moyen pour le chasser, c'est de rire, de sourire et d'aimer, même trop, même si parfois ça peut sonner faux, mais on ne doit jamais baisser les bras, non, sinon on coule, on coule, on touche le fond, souvent même on finit par se noyer dans son malheur... Et après ça, pour remonter à la surface, il faut beaucoup trop de temps. Ne laissez pas le chagrin vous aveugler,

de sens qu'ils n'en méritent vraiment à des détails du comportement humain. Cette tendance est mise en relief dans le texte au travers des oppositions de termes utilisés : "homme/animal" et "redoutable/ordinaire". La psychanalyse pour Alain semble vouloir faire de l'homme un monstre. De plus, on retrouve aussi ce penchant de l'hyper sémantisation dans l'analyse des rêves. Freud a insisté sur l'importance des rêves, pour lui le rêve est un désir réalisé, et son travail sur l'interprétation des rêves

SALKOWSKY TS1 Maxime Philosophie Sujet : La liberté réside-t-elle dans le choix ? La société dans laquelle nous vivons et grandissons est un vrai exemple de liberté. Nous pouvons nous exprimer, penser sans être gêner, ni contester par qui que ce soit au sujet de ce que nous faisons. La liberté signifie que chaque homme est libre de faire ce qu'il veut, c'est à dire de n'avoir aucune limite fixée ou ordre. Un prisonnier, n'a pas de liberté car il est soumis continuellement à des directives

mort, comme cet horizon qui nous singularise en nous interpellant depuis notre avenir: d'où pour Heidegger le privilège de l'avenir sur le présent, de la temporalité extatique, propre à l'existence humaine. Le concept de temporalité est à traiter au même plan que le concept d’identité c'est-à-dire dans la recherche de cet être que l’on veut ou non atteindre. On peut se demander si l’identité personnelle est soumise au changement, au devenir ? Les deux problèmes qui sont à résoudre sont d’une part

Présentation: * a) Dans la lettre à Ménécée, Epicure relie, par le principe de causalité l'acte de philosopher et le bonheur: pour être heureux il faut pulvériser (réduire en poudre, atomisme) les opinions vaines qui, comme des fantômes nous font souffrir.   * b) Dans le préambule il insiste sur la nécessité d'accomplir l'acte de philosopher à tous les âges de la vie. Mouvement:  * Le texte commence par une affirmation et relie philosophie et santé de l'âme (1ère partie).  * La 2ème

bâtissons notre connaissance sur l'autorité d'autrui, nous ne nous rendons ainsi coupables d'aucun préjugé ; car, dans ce genre de choses, puisque nous ne pouvons faire nous-mêmes l'expérience de tout ni le comprendre par notre propre intelligence, il faut bien que l'autorité de la personne soit le fondement de nos jugements. - Mais lorsque nous faisons de l'autorité d'autrui le fondement de notre assentiment (*) à I'égard de connaissances rationnelles, alors nous admettons ces connaissances comme simple

à ne pas désirer l’impossible ». D’après Descartes, nous sommes les maîtres absolus de notre propre pensée. Et pour lui, c’est cette dernière qui alimente, contribue, voir crée le désir. Il laisse comprendre dans sa théorie qi le simple fait de penser et donc inconsciemment (plus ou moins) de se convaincre de ne pas désirer ce que l’on sait inaccessible, non acquiérissable dans le futur permet un certain contentement, un point positif à modifier ses désirs selon l’ordre du monde puisque selon sa