Faut Il Vouloir Penser Par Soi Même

contraire tourmenter et déplaire ? Tout d’abord nous verrons qu’il paraît essentiel que l’Art plaise mais que ceci peut entraîner des problèmes et des questions. C’est pourquoi nous nous demanderons si l’Art ne peut pas aussi déplaire et provoquer quand un même un plaisir esthétique. Et enfin, « plaire » ou pas n’évoluent-ils pas dans le temps et ne dépendent-ils pas du contexte ? Dans un premier temps, l’Art doit-il nécessairement plaire au public, doit-il flatter les sens ? Nous verrons qu’il paraît

l’anthropologie et la démarche apologétique de Pascal ? Nous le savons, les Pensées de Pascal sont l’ébauche d’une Apologie de la religion chrétienne, par laquelle l’auteur du 17ème siècle voulait amener ses amis libertins à la foi. Il avait lui-même groupé des fragments selon un ordre subtil, pédagogique sans doute, sous des titres révélateurs de sa conception de l’homme : misère, grandeur, contrariétés, mais une notion récurrente, celle du bonheur, jalonne l'ouvrage tel un thème transversal.

le pouvoir de dire « je » puisque je me représente à moi-même et du même coup m’offre la possibilité de me connaître. Lorsque j’ai conscience je suis responsable de chacun de mes actes. « Ce dont je n’ai pas conscience » signifie ce que je n’ai pas la perception, ce qui est en moi inconscient. Dès lors il nous désinvesti de toute autonomie et de la maîtrise de nos pensées et de nos volontés. Lorsque je n’ai pas conscience en ai-je quand même la responsabilité ? Est-ce que la non-conscience inclut-elle

ce qui gène le philosophe de voir que l'étonnement qui est la source même de la philosophie1 peut aussi être la source de la plus grande stupeur qui comme son nom l'indique rend stupide. C'est la raison pour laquelle Descartes préfère parler d'admiration pour désigner notre surprise face à l'ordre d'un monde que nous voulons comprendre2 et réserver le terme d'étonnement à cet excès qui frappe l'esprit de paralysie3 (il ne faut pas oublier que le terme français -étonnement- vient du latin attonare

sur la population a des effets négatifs et même contre productifs sur beaucoup de choses mais quels sont ses effets sur la pensée ? Dans un premier temps nous allons voir pourquoi exprimer sa pensée est important puis en second temps on démontrera que lorsque la censure apparait alors la pensé disparait. Dans, Le Sophiste , Platon définit la pensée comme « discours intérieur que l'âme tient en silence avec elle-même ». La pensée est alors caractérisée comme la

pour d’autres tellement jolie. Pourquoi nous paraît elle si compliquée ? Si difficile à affronter ? Je ne veux plus connaître ces erreurs du passé qui m’ont fait tant douter, je cherche encore la fille qui est en moi, et dire que je ne la connais même pas, peut être que jamais je ne la connaîtrais. C’est si dur de se l’avouer. Nous sommes toujours confrontés à de nombreux choix, nous vivons dans un perpétuel combat sans jamais savoir ce qu’il adviendra… Il y a ces jours où je me lève le matin

société, il est caractérisé par ses normes (règles à suivre) et ses valeurs propres à l’endroit où il vit et la classe à laquelle il appartient. La culture change en fonction de l’individu, il peut avoir un jugement personnel car il est libre de penser par lui-même et peut avoir sa propre opinion. Mais la consommation actuelle change car les besoins et les habitudes des individus évoluent au fil du temps. Le pouvoir qu’exerce la communauté peut faire changer une personne d’avis car cette culture de consommation

soit le contenu, lorsqu’elle traduit un sentiment intérieur. Penser ne veut pas forcément dire que l’on adhère à une opinion, mais que l’on construit une logique pour établir la vérité ou, s’en rapprocher le plus possible. On ne parle pas de possession de la pensée, comme l’on pourrait parler de posséder un bien, on forme et travail cette pensée comme un menuisier travail son meuble et le bois pour aboutir à son idée de départ ou même peut être quelque chose de mieux formé, plus artistique. Cet aboutissement

son instinct. Il est libre. Tout d'abord, libre de ses choix mais aussi, libre dans ses pensées morales. La liberté est ici définie comme une échappatoire à la détermination, au fait d'être déterminé, là où la possibilité de faire des choix et de penser n'existe pas. De ce fait, nous pouvons nous intéresser de plus près à ce problème. L'homme est-il libre? Par sa thèse principale, Kant fait l'analyse de deux exemples se complétant, et qui donnent plusieurs réponses. D'abord à la question de savoir

ce qui n’est pas capable de penser et de se penser, et que l’on qualifiera alors d’objet. Le sujet est donc, par définition celui qui possède une conscience qui lui rend le monde présent. Cette conscience lui permet aussi de se reconnaître lui-même comme étant l’auteur, ou détenteur, de ses pensées. De ce fait, il est aussi capable de penser à ce qu’il va faire et d’orienter son comportement selon sa propre volonté. Le sujet semble donc être assez transparent à lui-même, avoir un accès à son intériorité