Faut Il épargner Pour Investir Ou Investir Pour épargner

L EPARGNE ET LE FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS Attention, le sujet comporte une conjonction de coordination « ET ». Il ne s’agit pas de traiter une 1ère partie sur l’épargne, et une 2ème sur le financement des investissements. L’étendue du sujet est vaste. C’est donc l’importance des questions soulevées par le sujet qui doit guider la démarche. Définition des mots clés L’épargne : part du revenu disponible, c’est-à-dire, le revenu après paiement des impôts et cotisations sociales. C’est la part

de la production souhaité, et donc l'investissement et l'emploi, sur le niveau de la demande anticipé par les entreprises. Pour qu'une hausse des débouchés se traduise par une hausse de l'investissement, il faut que les capacités de production de l'entreprise ne soient pas à 100% ; il faut aussi que les débouchés soient estimés stables et bien sûr que l'investissement à réaliser soit rentable. -Le rôle du profit : le profit = bénéfice. Le bénéfice à tirer d'un investissement se calcule par le

de l’investissement qui sert à remplacer le capital usagé ou obsolète. Investissement net = Investissement brut – Amortissement. Ne pas confondre Investissement et Capital Investi : investissement : achat de biens qui vont servir plusieurs fois dans le processus de production (investissement en capital fixe). capital investi : matières premières détruites ou incorporées dans le processus de production. Ne pas confondre Investissement et Placements Financier : un placement financier est plus ou

(entreprises). 3- Les spécificités de l'investissement public II/ Les facteurs qui déterminent la décision d'investir (des entreprises) A/ Il faut pouvoir financer l'investissement 1- L'autofinancement (ou financements externes) 2- Le financement externe a- Le financement externe direct: b- Le financement externe indirect : B/ Il faut une volonté d'investir 1- Il faut que l'investissement soit rentable 2- L'existence d'une forte demande anticipée 3- La recherche d'une baisse du coût de production III/

y avoir de crise de débouchés car la demande est égale à l'offre au niveau macro-économique. Production = Offre Répartition et utilisation de la production = Demande Plein emploi des équipements Biens d'équipement Profits bruts Epargne = Investissement Plein emploi des travailleurs Biens de consommation Salaires bruts Consommation finale Marché des biens Marché du travail Marché des capitaux Prix courant des biens et services Salaire courant Intérêt

l’assurance vie est un mixe entre une assurance et un produit d’épargne puisque à la fin du contrat l’établissement bancaire ou d’assurance doit verser à l’assuré, ou au(x) bénéficiaire(s) nommé(s) en cas de décès de ce dernier, en plus du capital investi les intérêts générés durant la phase d’épargne. C’est un produit de long terme puisque pour être fiscalement intéressant le contrat doit être conservé au moins huit ans. L’assurance vie répond à plusieurs objectifs : * Se constituer un capital

La consommation et épargne Plan : * Définition * Classification * Les motifs de l'épargne * Les affectations possibles de l'épargne * Les proportions moyennes et marginales à consommer et à épargner * Elasticité prix de la consommation * la notion du coefficient budgétaire (statistiques sur consommation et l'épargne au Maroc) 1-définition de la consommation : La consommation désigne un ensemble de comportements réalisés par des individus, des entreprises ou un État

Sujet : Différences dans la détermination de l’Epargne chez les néoclassiques et Keynes et implications quant au bouclage macroéconomique. Introduction : […] Faut-il rendre l’Epargne plus efficace pour le bon fonctionnement de l’économie ou bien pousser à consommer pour des revenus futurs d’Epargne ? Dans cette perspective deux courants idéologiques s’opposent, d’une part les néoclassiques qui incitent à l’Epargne pour pourvoir aux besoins de l’activité économique, en stimulant du côté de l’offre

première démarche statistique. Pour dégager un excédent commercial : Il faut développer les activités à forte valeur ajoutée au sein des manufactures royales. (mercantilisme français de Colbert). Puis exporter ces productions « industrielles ». La richesse est donc issue du travail des hommes : artisans, marchands. Jean Bodin : « Il n’est de richesse que d’hommes ». 1.3) Les mercantilistes prônent le protectionnisme. Il faut protéger la production nationale par des mesures protectionnistes. Le

les capacités de production sont difficile à déterminer parce qu’elles correspondent à la production totale de l’économie, c’est-à-dire le plein emploi. Si l’investissement pousse a une hausse de la capacité de production, quelle sera la somme à investir pour que l’augmentation du revenu soit égal à celle de la capacité de production ? 1/ Le pleine emploi par l’investissement Nous faisons l’hypothèse que l’investissement s’établisse à un montant annuel de « I », que la capacité de production