Fauvette

Les foins (1877) scène de la vie rurale Son œuvre montre deux personnes ordinaires (des payants) dans un champ. Autre œuvres de Jules Bastien-Lepage : L’amour au village Pauvre fauvette Léon Augustin Lhermitte  (1844-1925) Léon Lhermitte né le 31 juillet 1844 à Mont saint père et meurt le 28 juillet 1925 à Paris. Il est un peintre naturaliste français. Il était apprécié de Van Gogh et était appelé «peintre des moissonneurs»

drapeau, Ou de ce qu'il faut de moire Au bavolet d'un chapeau ? Son intention fut-elle De troubler l'esprit voilé Que Dieu dans ma chair mortelle Et frémissante a mêlé ? Je ne sais. J'écoute encore. Etait-ce psaume ou chanson ? Les fauvettes de l'aurore Donnent le même frisson. J'étais comme en une fête ; J'essayais un vague essor ; J'eusse voulu sur ma tête Mettre une couronne d'or, Et voir sa beauté sans voiles, Et joindre à mes jours ses jours, Et prendre au ciel

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de réciprocité entre –je et –elle, « Elle me dit (v1) », jusqu’à aller à un union, dans le pronom seulement, « nous (v11) ». Le décor est favorable à l’action, d’abord parce qu’il est animé, coloré, mais aussi parce qu’il est vivant, « les fauvettes (v11) » participent à l’action. Le ciel bleu, et même la coccinelle ont une connotation de comte enfantin. L’action, elle, vient encore une fois du décor, des oiseaux, mais aussi essentiellement du –je : « je me courbais, je pris (v14-15) ». On

j'aperçus Son cou de neige, et, dessus, Un petit insecte rose. J'aurais dû - mais, sage ou fou, A seize ans on est farouche, Voir le baiser sur sa bouche Plus que l'insecte à son cou. On eût dit un coquillage ; Dos rose et taché de noir. Les fauvettes pour nous voir Se penchaient dans le feuillage. Sa bouche franche était là : Je me courbai sur la belle, Et je pris la coccinelle ; Mais le baiser s'envola. - Fils, apprends comme on me nomme, Dit l'insecte du ciel bleu, Les bêtes sont

Je t'implore et réclame ; Tu sais ; à quoi bon, hélas ! Ne fuis pas loin de mes maux, Rester là si tu me quittes, Ô fauvette de mon âme Et vivre si tu t'en vas ? Qui chantes dans mes rameaux ! A quoi bon vivre, étant l'ombre De quoi puis-je avoir

j’aperçus Son cou de neige, et, dessus, Un petit insecte rose. J’aurais dû, – mais, sage ou fou, À seize ans, on est farouche, – Voir le baiser sur sa bouche Plus que l’insecte à son cou. On eût dit un coquillage ; Dos rose et taché de noir. Les fauvettes pour nous voir Se penchaient dans le feuillage. Sa bouche fraîche était là ; Je me courbai sur la belle, Et je pris la coccinelle ; Mais le baiser s’envola. « Fils, apprends comme on me nomme », Dit l’insecte du ciel bleu, « Les bêtes sont au

adolescents : La jeune fille a un caractère vif et plus direct que traduit les vers 1 et2 « quelque chose me tourmente » et l’irrésolution du jeune homme est rendu au vers 9 et10. A l’appel de la jeune fille succède l’errance du jeune homme. Les fauvettes semblent complices de cette petite scène. Conclusion : S’il est vrais qu’au premier abord on a peine à reconnaitre le Victor Hugo des châtiments, de la légende des siècles, il est incontestable que c’est bien le même Victor Hugo qui s’exprime

mâle Pouillot véloce Dessus vert-brun Dessous & poitrine plus clairs Sourcils jaunâtres Ailes courtes Pattes sombres Bec fin Mésange noire Calotte noire, joues blanches Tache blanche derrière la tête Corps gris, deux petites barres alaires Fauvette à tête noire Mésange nonnette Apprécie les mangeoires Bavette noire, bec court Calotte noire, joues blanches Dos & ailes bruns, dessous beige Troglodyte mignon Tout petit oiseau & teinte générale brune Petite queue dressée Très actif

Ils se logeaient commodément au pied des arbres, sur les branches basses, dans les feuilles sèches, vivaient là comme chez eux, tranquillement et par droit de conquête. Ils avaient, d’ailleurs, en bonnes gens, abandonné les hautes branches aux fauvettes et aux rossignols.La forêt, qui chantait déjà par ses branches, par ses feuilles, par ses fleurs, chantait encore par ses insectes et par ses oiseaux.IIISimplice devint en peu de jours un vieil ami de la forêt. Ils bavardèrent si follement ensemble