Fécondité

que la fécondité est plus forte pour les jeunes femmes. Les démographes utilisent donc souvent des méthodes d’évaluation ne subissant pas l’influence de l’âge. Parmi les techniques communément utilisées, on distingue l’indice synthétique de fécondité et l’espérance de vie à la naissance. 3.3 Quelques indicateurs fondamentaux 3.3.1 Le taux de fécondité Le taux de fécondité est le nombre d’enfants que peut avoir une femme pendant sa période de reproduction. Les pays à forte fécondité peuvent

minimal d’épargne retraite. Comment peut-on assurer le système de financement des retraites ? Dans un premier temps nous analyserons l’évolution démographique (Etude quantitatif par rapport à des caractéristiques telles que la natalité, la fécondité, la mortalité…) en France et dans l’Union Européenne ainsi que les différentes solutions et dans un second temps l’évolution économique et sociale (Etude quantitatif du taux de croissance, d’emploie, de chômage…) en France et dans l’espace et nous

la même année, si la mortalité à chaque âge reste constante dans le futur. L'espérance de vie à la naissance est également une mesure de qualité de vie globale dans un pays et résume les taux de mortalité à tous les âges. 5 Indice de fécondité L’indice de fécondité, peut se définir comme le nombre moyen d'enfants par femme. 6 PIB par habitant Cet indicateur est parfois utilisé pour mesurer approximativement le revenu par tête. 7 Population (moins de 14 ans/15 à 65 ans/65 ans et plus) Cette

Le taux de natalité était en 1950 à 40 ‰ et en 1997, il est encore à 29 ‰. Le taux de mortalité qui était de 25 ‰ en 1950, il est de 10‰ en 1997. Les 10‰ de mortalité comparable aux 9‰ français s'explique par la jeunesse de la population. La fécondité est de 3,7 enfants par femme contre 5,2 il y a vingt ans. Aujourd’hui chaque année naissent 17 millions d’Indiens. . L'espérance de vie est passée de 30 ans vers 1950 à 60 ans aujourd'hui. . Le taux de croissance entre 1961 et 1996 était de 2

la France. Effectivement nous sommes actuellement avec l'Irlande, le pays le plus dynamique en matière de natalité. A l’inverse, l’Allemagne qui est depuis très longtemps la nation la plus peuplée de l’UE est confronté à de sérieux problèmes de fécondité puisque son taux de natalité fait actuellement partit des taux les plus faibles enregistrés au sein des pays membres. Pourtant les deux pays portent la politique familiale au cœur de leurs actions. Tant en France qu’en Allemagne, les investissements

de fait ? Bien que la population mondiale continue de croître ,cet accroissement ralentit en raison d'une baisse de la fécondité. En effet, Plus de la moitié de l'humanité vit dans une région du monde où le taux de fécondité est inférieur à 2,1 enfants par femme ; taux nécessaire au remplacement des générations dans les pays développés .Cette baisse de la fécondité est liée à l'augmentation de l'alphabétisation des femmes. Car, rendues plus indépendantes, elles fondent un couple plus tard

population se concentre dans les métropoles, dans les grandes vallées, sur les littoraux et dans certaines régions frontalières (voir croquis). B)L’évolution de la population La population française continue d’augmenter doucement : - car son indice de fécondité est l’un des plus élevé p246/247 Les dynaliques démographiqu es d’Europe (2,01 enfants par femme), - car la France est un pays d’immigration (5,3 millions d’immigrés, mais 4/10 sont devenus Français par naturalisation). C)L’évolution de la répartition

années 1920 et 1930, lorsque les pays européens ont un taux de fécondité élevé, la France a un faible taux de fécondité et devait ouvrir ses portes à l'immigration afin d'éviter la diminution de la population. Aujourd'hui, c'est le reste de l'Europe qui a un très faible taux de fécondité, et des pays comme l'Allemagne ou l'Espagne éviter la diminution de la population que par l'immigration. En France, en revanche, le taux de fécondité est encore assez élevé pour les normes européennes, en fait le

européenne, l’Europe connaît une transition démographique précoce puisque la natalité baisse dés les années 1980 .Au cours du 20 ème siècle le taux de natalité tombant à 11% en 2009 s ‘explique par la baisse généralisée du taux de fécondité européenne. Ces divergences de la fécondité selon les parties de l’Europe s’expliquent par des dynamiques démographiques contrastées entre les parties du contient .Entre 1946 et 1970 le Sud demeure prolifique mais le nord connaît un raide déclin de sa natalité .Ce processus

Paradoxe : Certaines idées sur la famille qui dépérit se developpes à un moment où tout les indices pour dire que la famille était positive : Mariages nombreux, divorces rares et taux de fécondité élevé. A la fin des années 70, jusqu’au années 90, on fait face à une période de baisse des mariages et hausse de la fécondité avec une hausse des divorces. ( le discours de la famille disparaît). Discours désormais sur l’importance « des liens familiaux et de la famille dans la société moderne, on célébre dans