Fédération révolutionnaire arménienne

LA DIASPORA ARMENIENNE INTRO La diaspora désigne la dispersion d’une communauté, d’une ethnie à travers le monde. L’Arménie est une région située à l’est de l’Asie Mineure enclavée dans une forteresse naturelle : le Caucase (= région d'Eurasie constituée de montagnes partagée entre le Caucase du Sud, aussi appelé Transcaucasie, englobant la Géorgie, l'Arménie, l'Azerbaïdjan et la région de Kars (Turquie), et le Caucase du Nord, appelé Ciscaucasie, situé en Russie). Si seulement 3,5 millions d’Arméniens

L'histoire de l'Arménie se déploie sur plusieurs millénaires, depuis la Préhistoire. Les Arméniens, après s'y être fixés, développèrent une civilisation originale bien que située au carrefour de grands empires – perse, séleucide, parthe, romain, sassanide, byzantin, arabe, turc seldjoukide, mongol, turc ottoman, séfévide, russe – qui vont se disputer son territoire. Face aux invasions, les Arméniens ont toujours fait preuve dans leur histoire d'une volonté farouche de conserver leur identité nationale

 Introduction : Le génocide arménien a eu lieu d'avril 1915 à juillet 1916[1]. Les deux tiers[2] des Arméniens qui vivaient sur le territoire actuel de la Turquie ont été exterminés au cours des déportations et massacres de grande ampleur[3]. Il fut planifié et exécuté par le parti au pouvoir à l’époque, le comité Union et Progrès, plus connu sous le nom de « Jeunes-Turcs », dirigeant l'Empire ottoman et engagé dans la Première Guerre mondiale aux côtés des Empires centraux. Considéré comme

200 000 à 250 000 Arméniens. Vers 1915 la Turquie veut en finir avec le reste de la population Arménienne et décide l'exportation, et le deuxième massacre, les morts étaient de 1 200 000 à 1 500 000 habitants. Aujourd'hui, les livres, les films et les mémoires sûr le génocide Arménien se comptent par milliers mais même avec tout cela la politique Turque refuse de le reconnaître, ils ont même crée des lois qui interdisaient les habitants de Turquie de parler d'un génocide Arménien. L'arménie accède

culminant à 5165 mètres d’altitudes) Le peuple arménien est une civilisation à part entière et assez atypique par nombre d’aspects. Son passé remonte à la préhistoire, vers 1600 av. J.C avec le royaume de Mittani puis une confédération tribale de Naïri (vers 1300-900 av. J.-C). Mais c’est à partir du IXème siècle précédent notre ère qu’un peuple s’impose et qui peut être relié aux Arméniens : l’Ourartou. Au Ier siècle av. J.-C, le peuple arménien se dote d’un empire dirigé par Tigrane II le Grand

INTRODUCTION Le sujet du génocide Arménien s’inscrit dans le thème « Pouvoirs et société », puisqu’il traite d’une politique d’extermination d’une minorité de la société. De nombreux arméniens de religion chrétienne vivaient depuis plus de 2500 ans en Asie Mineure au nord-est de l’empire Ottoman majoritairement musulman. Cette terre appelée Arménie l’une des plus anciennes branches de la religion chrétienne (depuis 303 avec Saint Grégoire l’Illuminateur qui convertit le roi Tiridate III). Elle

Contestation de la qualification de génocide La reconnaissance du génocide arménien dans le mondeUn génocide désigne, par définition, la tentative d'extermination planifiée d'un peuple. C'est sur cette notion de planification que certains historiens remettent en cause le caractère génocidaire des massacres perpétrés envers les Arméniens. L'historien néerlandais Erik-Jan Zürcher pense, que les massacres ont été ordonnés non pas par le gouvernement ottoman lui-même, mais par un cercle restreint

japonaise Armée secrète arménienne de libération de l'Arménie Brigades internationales Brigades rouges Cellules communistes combattantes Comité de solidarité avec les prisonniers arabes et du Proche-Orient Mouvement de libération nationale Armée de libération populaire Front de libération national du Kurdistan Euskadi ta askatasuna Factions armées révolutionnaires colombiennes Forces armées révolutionnaires libanaises Fath-Commandement provisoire Fath-Commandement révolutionnaire Front démocratique de

promulguée, il est chargé de s'en occuper. En 1898, il est l'un des fondateurs de la « Ligue des droits de l'Homme » dont il sera le président par la suite. Il plaida la cause des Polonais, des révolutionnaires russes, des Slaves et des Italiens d'Autriche, et, après 1914, celle des Arméniens et des Juifs persécutés. En 1902, il soutient particulièrement la politique d'« action républicaine » et la création d'une république. Aux élections générales législatives d'avril-mai

administrative La France régionale La France d’outre-mer Les grandes villes Paris au fil des siècles a. L’origine de Paris b. Paris du Moyen Age c. Paris révolutionnaire d. Paris du XXe siècle La construction européenne La France et les organisations étrangères Les témoignages sur les relations francoarméniennes La communauté arménienne en France 7 8 10 12 15 18 41 48 53 53 55 59 62 65 69 70 74 II. LA CULTURE 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. La langue française La francophonie