Fée Clochette

.............................................................................................................. 21 III) La dégradation et rénovation des colonnes ................................................................................. 21 « Fée Electricité » de Dufy .......................................................................................................... 24 I) Composition de l’œuvre ..........................................................................................

Les différents genres LE CONTE Le conte comporte plusieurs étapes I. La situation initiales : 1. L’‘histoire est imaginaire et se passe à une époque imprécise, lointaine et dans un lieu indéterminé. Il commence en général par “Il était une fois”, “Jadis”, “Autrefois”... 2. Les personnages sont présentés de façon simplifiée (le roi, un homme...). Les bons sont souvent victimes des méchants. Les verbes sont à l’imparfait et au

réécrive en grande partie les contes, son souci est d'assurer une absence de travestissement du conte populaire : nous voyons disparaître la préciosité et la moralisation qui habillaient les contes de fées français. Par ailleurs, le personnage de la fée, fréquemment rajouté dans les réécritures françaises, disparaît presque totalement des 211 contes qui comprennent la première version écrite de Blanche-Neige, ainsi que la version du Petit Chaperon Rouge où le chasseur intervient à la fin du récit.

La fonction de déplacement dans les contes de Perreault et de Grimm Dans les deux contes, le déplacement initial est volontaire dans le sens où les héros suivent leurs parents de bon gré, malgré le fait qu'ils soient au courant de leurs projets funestes. Comme bien des enfants, il ne leur viendrait pas à l'esprit de désobéir. Bien sûr, le déplacement est aussi involontaire car ils ne désirent pas être abandonnés et c'est pourquoi ils inventent un moyen de retrouver leur chemin. D'ailleurs, lorsque

Nuit Rhénane, Apollinaire : Apollinaire est un auteur cosmopolite du XIX° siècle. Son recueil, Alcools, paraîtra en 1913. On est dans la partie Rhénane du recueil. Le thème du voyage est très présent, ainsi que celui de l’ivresse. Le poète parle de femmes mythologiques aux cheveux verts, qui s’opposent à des filles blondes. Il y a un parallèle avec les Rhénanes : ce poème traite de thèmes importants, tels que la mythologie, les femmes, le Rhin… Il y a la volonté d’inscrire cette partie dans

l´amour entre un être humain et un fée. À cette histoire le chevalier tombe amoureux d´une fée mais il ne doit jamais découvrir son amour. S´il le fait, elle disparaîtra « Ami dit-elle, je vous mets en garde et je vous adresse un ordre et une prière : ne vous confiez à personne !». La femme du roi Arthur (on voit à ce texte la présence de la matière bretonne) essaie de seduire au jeune chevalier mais il refuse l´amour de la reine et il raconte son histoire avec la fée « J´aime et je suis aimé d´une femme

Two common mistakes when reading Charles Perrault’s Contes is first to think that he only wrote them for children and second, that he adapted without any modification popular tales that were orally transmitted. His work however is more complex; he invented a genre that could suit children as much as cultivated adults, a genre depending on its ambiguity. Literary fairy tales borrow heavily from the oral folk tales of the peasant tradition (as well from myth, Romance, and literary sources like Apuleius’s

merveilleuse celtique: de splendides pavillons abritent des fées, une biche blessée parle à un chevalier dans Guigemar (Marie de France); un oiseau se transforme en chevalier dans Yonec (MdF); une rivière sépare le royaume d'Arthur du domaine de la fée dans Graelent (lais anonymes); dans Guigamor (MdF), un chevalier revenant du monde féerique, où il croit n'avoir passé que quelques jours,découvre que cela fait plus de trois ans qu'il est parti. Dans l'une des versions du Tristan, le château-faé de

moment où la situation semble désemparée, comme par exemple dans La Belle au bois dormant, « Ce terrible don fit frémir toute la compagnie, et il n’y eut personne qui ne pleurât. Dans ce moment la jeune Fée sorti de derrière la tapisserie… » p. 10. Ici nous voyons bien que l’intervention de la fée sert à atténuer la situation critique. Ou encore les bottes de sept lieues dans Le Petit Poucet, « le petit poucet s’était approché de l’Ogre […]mais comme elles étaient Fées, elle avaient le don […] fates

Mélusine. L’origine de Mélusine est royale. En effet, sa mère, la fée Présine, avait charmé le roi d’Ecosse, Elinas, en lui faisant promettre de ne pas la voir pendant qu’elle accoucherait. Mais il enfreint cette promesse et Présine alla se réfugier avec ses trois filles sur l’île perdue. Une fois grande, elles enfermèrent (avec leurs pouvoirs) leur père. Alors, pour les punir, Présine jeta un sort à ses trois filles. Mélusine se transformait, tous les samedis, en serpent. Mais si elle