Fée Morgane

Jacques Prévert est né le 4 février 1900 à Neuilly sur Seine. Il est le deuxième fils de la famille. Il a un grand frère (deux ans d’écart) et aura un petit frère (six ans d’écart). Jacques Prévert est un enfant plein de vie; il aime les fêtes, le cirque et le théâtre. Il rejette toute forme d’autorité et de manque de liberté. Sa maman lui lisait déjà des contes de fées, dès son plus jeune âge, elle lui apprend à lire et à rêver. Prévert n’aimant aucune forme d’autorité, déteste l’école ( Le Cancre

elles ont des pouvoirs grâce à leurs baguettes magiques appelées parfois baguette des fées. On retrouve ces baguettes dans trois contes: Peau d'Ane, la Belle au bois dormant et Cendrillon. Dans les trois cas, la baguette est l'épanage de la marraine fée, qui en use bénéfice exclusif de sa filleule et protégée. Dans la magie, la baguette représente Volonté, Pouvoir et Force, elle devient l'accessoire indispensable des fées, c'est l'objet qui canalise l'énergie magique et par lequel passe la magie. Ces

méchantes avec elle. Cette situation est typique du conte car le héros connaît un problème qu'il va devoir résoudre. • élément perturbateur : la fée, la rencontre de la cadette avec la pauvre femme. On sait tout de suite qu'il s'agit d'un conte merveilleux. • péripéties : • 1ère : puisque la cadette lui a donné de l'eau avec gentillesse, la fée lui donne un don. • 2e : quand la mère s'aperçoit du don de sa fille cadette, elle décide d'envoyer l'aînée à la fontaine. • 3e : l'aînée, elle, reçoit

J'ai toujours étais sensible à la profondeur que donne un poète à son poème, à la musicalité qu'il donne à ses rimes et à l'invitation qu'il nous offre de partager ses sentiments, au creux de ses vers. A sa façon de transfigurer son expérience intime jusqu'à la rendre universelle. Car c'est celà ; la poésie : la magie dont use le poète, celle de nous faire rire et pleurer d'un malheur ou d'une joie qui n'est pas la notre, mais vis-à-vis de laquelle nous ne pouvons rester de marbre. C'est ce légitime

80. Un tout petit : bébé  (Jean-Claude Brinette) 81. Un enfant...  (Jean-Claude Brinette) « Y faut qu'on ferme le robinet de la pluie. » Marina 6 ans, 20/11/2010 - météo « En passant devant le groupe scolaire du garçonnet: - Alors Thomas, c'est ton école ça ? Il répond goguenard : - Ben non !! C'est mon boulot ! » Thomas 3 ans, 21/11/2010 - école « "Maman, maman, j'ai cueilli le linge!" » Célia 4 ans, 23/11/2010 - quotidien « C'est l automne, toutes les feuilles sont

tentative de pardon n’a guère fonctionné. Phrase bilan : (En définitive) la femme incarne le stéréotype de la faiblesse car elle se met a genou pour qu’il ait pitié de elle et car elle est trop curieuse. Conclusion : En conclusion, dans ce conte de fée on dénote bien les stéréotypes mis en vigueur. Celui de la puissance pour l’homme et celui de la faiblesse pour la femme. De plus, cette histoire se rapporte un peu à l’histoire d’Adam et Ève. Ève décide de gouter au fruit de la connaissance, convaincu

Venons-en maintenant à la passion amoureuse. On serait tenté de dire que c'est la même chose que d'être amoureux. Dans sa définition élargie, oui. Mais le mot, pris dans son sens premier, obéit à une définition assez précise. En effet la passion amoureuse a quelque chose de très schématique : Elle résulte toujours d'un coup de foudre. Elle a toujours pour objet un but idéalisé non encore atteint, ce but pouvant souvent être inatteignable. C'est un sentiment extraordinairement fort et puissant,

ligne 31 « le plus beau des châteaux, ligne 32 « la meilleure des baronnes » impliquent un univers d'exceptions propre aux contes de fées. Le cadre spatiotemporel de la première phase est ambiguë; en effet, si le château est constitutif du conte de fée, la Westphalie elle, est bien réelle (registre réaliste) . Nous notons également l'allusion à l'Allemagne, souvenir malheureux pour Voltaire lié à son séjour. A l'image des contes de fées, Voltaire nous présente des personnages ayant une seule qualité

: la beauté, un « paradis artificiel »  Comparaison avec le vin vers 4  La métaphore « bouche » assimilée à une « amphore » au vers 7. Argument 2 : la beauté, une magicienne  Champ lexical de la magie : « philtre, charmé, charmant, sirène, fée » Argument 3 : la beauté, une médiatrice  La beauté ouvre « la porte/D’un Infini que j’aime et n’ai jamais connu » : à noter la première apparition du poète.  Chute du poème fait de la beauté un remède contre la laideur et l’ennui. Argument 4

l’enfer, qu’importe, Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! Si ton œil, ton souris, ton pied, m’ouvrent la porte D’un Infini que j’aime et n’ai jamais connu ? De Satan ou de Dieu, qu’importe ? Ange ou Sirène, Qu’importe, si tu rends, — fée aux yeux de velours, Rhythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! — L’univers moins hideux et les instants moins lourds ? Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, XXI