Féerie

 SYSTHESE DE DOCUMENT DOCUMENTS Doc 1 - JC Guillebaud "La féerie publicitaire" Doc 2 - J.Lendrevie et B.Brochand / "Publicitor" Doc3 - F. Beigbeder "99 Francs" Doc 4 - "Enquêtes Sofres" La publicité est une représentation idyllique du monde Contes de fées où règne sans partage amour, beauté, convialité, santé, richesse et bonheur La publicité fait rêver -Qu'elle fasse rêver - Qu'elle étonne - Qu'elle soit belle

LAURENT GUYÉNOTBibliothèque des histoiresG A L L I M A R D LAURENT GUYÉNOT L A M O R T F É E R I Q U E A N T H R O P O L O G I E D U M E R V E I L L E U X XII e - XV e siècle© Éditions Gallimard, 2011.À Camille et ÉrikaI N T R O D U C T I O N FÉERIES DE BRETAGNEÞ: ORIGINE ET FONCTION Un jeune chevalier vit le parfait bonheur avec une fée qu’il est seul à percevoir, la perd en trahissant leur secret, puis dis- paraît avec elle pour ne plus jamais revenir. Un autre, attiré par un sanglier blanc

Type d’ouvrage : COMEDIE. Principaux personnages Alcmène : Personnage principal de cette pièce de théâtre car elle fait l’objet de la quête de Jupiter, elle reste fidèle à son mari Amphitryon et refuse que Jupiter soit son amant au nom des féeries de la vie humaine c’est-à-dire l’amour conjugal, et l’amitié. Elle refuse l’immortalité, et elle est satisfaite des limites de l’humanité telle que la mort. | Amphitryon : C’est le mari d’Alcmène, c’est un général durant l’acte I scène 4 à l’acte

nous appuierons tout d'abord sur la représentation déformée du monde par la publicité. Tous les documents s'accordent pour dire qu'elle n'est pas un réel reflet du monde. Selon J-C Guillebaudtout le monde conçoit l’existence de ce qu'il nomme « la féerie publicitaire », qui décrit un univers propre, gentil voir enchanté engendrer par l'acte de consommer. Jacques Lendrevie et BernardBrochand l'admettent eux aussi mais parlent, plus modérément, d'une publicité optimiste exclusivement énonciatrice de

(« peint » à sa façon) à travers un rêve aux apparences surréalistes. Il décrit Paris comme un tableau coloré et merveilleux : «  entre des quais roses et verts » (l. 26), «  palais infini » (l.14), « rideaux de cristal » ( l.18), « architecte de mes féeries » (l.37). Tout devient beauté, gaité : «  Et tout, même la couleur noire, / semblait fourbi, clair, irisé » (l.41-42). Cependant, les deux strophes finales forment un violent contraste entre son rêve et son brutal réveil, retour à la réalité, caractérisé

laquelle je fais mes coups droits, revers et services !  Et enfin pire que mon éblouissement pour les rêves, les rêves qui ne sont que beauté, charme et joie ! A bas les Cauchemars ! J’aime les rêves et je l’assume, car ils guident ma vie en toute féérie !  Eh Oui ! Tu es ma drogue, celle qui me défonce rien que d’y penser ! Celle qui ne quitte jamais mon corps ! Celle qui ne fait pas grossir ! Qui ne détruit pas les cellules de mon cerveau, qui ne peut pas me faire faire d’accident ! Celle

débarrasse les frustules de leur contenu cellulaire afin d'avoir accès au dessin des stries sur lequel est basé toute la classification.Pour finir cet exposé un peu scolaire et rébarbatif, je vous citerai un extrait du merveilleux livre de Marcel Roland "féerie du microscope" (A lire absolument...) ".... Des noms latins, ces épingles à cheveux, ces raquettes, ces tubes de macaroni, ces mirlitons enrubannés, ces émaux à cloisons, ces collerettes, ces gaufrettes, ces peignes, ces violons, croissants de lune

tristement humain. Dans un décor saisissant, digne des pièces à machines, costumes et accessoires – :robes longues et lourdes, pourpoints, hautes bottes, lames à la ceinture, bijoux, perruques ,la toison d'or au cou se déploient et contribuent à la féerie d’ensemble. De plus il porte une épée et un chapeau, que seuls les grands d'Espagne avaient le droit de porter en présence du roi. En somme, tout nous indique qu'il fait partie de la noblesse, son costume montre sa richesse et sa puissance, il nous

alors que leur situation est objectivement désespérée : perdus sur île déserte après naufrage. Ex du jeu de mots « Widow Dido », en référence au mythe de Dido et Énée : mythe tragique par excellence détourné par le comique verbal. – mais aussi une féérie Syhamy (Shakespeare, L de P, 1996) la classe dans les « tragi-comédies fabuleuses ». S. intègre les nouveaux moyens techniques des théâtres des années 1610 : Ariel évolue dans les airs, apparitions fabuleuses comme celle du banquet orchestré par Ariel

mousse... ») et l'adverbe d'intensité « follement ». Un cadre enchanteur dans une féerie de couleurs et d'illuminations C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Quatrain. Périphrase. Rejet. Rimes. Assonance. Le premier quatrain dresse un cadre enchanteur dans une féerie de couleurs et d'illuminations. Le vallon parcouru par un cour d'eau est ici présenté