Félix Faure

produit ses premières chroniques de presse. Il devient ensuite chroniqueur à l'Evènement en 1866. Il publie des articles sur la peinture. Il prend parti pour le capitaine Dreyfus en 1897. Il écrit dans l'Aurore une lettre au président Félix Faure intitulée « J'accuse » le 13 janvier 1897. Cet article a une énorme résonance. La France est divisée en deux camps : les Dreyfusards et les Antidreyfusards. Le ministère de la guerre intente un procès à Emile Zola. Il est condamné à 3000 francs

: " Le Docteur Pascal ". 


Sa candidature à l'Académie française est repoussée, certains de ses livres ont provoqué des scandales, mais son talent est unanimement reconnu. En 1898, à l'âge de 57 ans, Zola écrit au président de la République Félix Faure, son " J'accuse " sur l'affaire Dreyfus, publié dans le journal l'Aurore. Il dénonce les lacunes d'un procès où un juif est injustement accusé d'espionnage. Il est condamné à un an de prison par l'État-Major et il s'exile onze mois à Londres. Il

de la période contemporaine. En face de ces courants, de ces interprétations, il y a une autre tendance qui nie le courant de l'affaire c'est la tendance marxiste. 1) La France juste avant l'affaire Dreyfus Le président de la république Félix Faure est mort en 1899. Le président du conseil de 1896 à 1898 est Jules Méline, incarnant la France d'avant l'affaire. La république « des dynasties bourgeoises » a alors atteint un point d'équilibre relatif après un certain nombre de secousses (Boulangiste

carré s'acheva ; le supplice était terminé, je le croyais du moins. » cette méme année Dreyfus est déporté sur lille du diable ou il y passera 5 année. 13 janvier 1898 : Émile Zola relance l’affaire en publiant dans L’Aurore une lettre à M. Félix Faure, Président de la république : « J’accuse !... ». 9 juin 1899 : Dreyfus quitte l'île du Diable où il est détenu depuis quatre ans. 1899 : procès de Rennes, Dreyfus est gracié par le président de la République. 11 juillet 1935 : mort d’Alfred

Persuadé de l’innocence de Dreyfus et qu’il se trame là une injustice, il publie l’une des lettres politiques les plus fameuses de tous les temps. Fruit d’années d’enquêtes, cette lettre est directement adressée au Président de la République, Félix Faure. Elle lui vaudra procès et exil, mais sera un pièce maîtresse dans la résolution de l’Affaire. En effet, Dreyfus est innocenté puis réhabilité en 1906. Aux Etats-Unis, le journalisme d’investigation franchit un cap avec l’affaire du Watergate

• La faute de l’abbé Mouret (1875) • Son Excellence Eugène Rougon (1876) • L’Assomoir (1877) • Nana (1890) • Au Bonheur des Dames (1883) • Germinal (1885) • … C’est un écrivain engagé. Il publie dans « L’aurore » une lettre au président Félix Faure « J’accuse ». Convaincu de l’innocence de Dreyfus, il prend position. Il a été condamné pour diffamation. Zola n’a d’autre choix que de s’exiler onze mois en Angleterre. Il n’est gracié et réhabilité lorsque l’innocence de Dreyfus est enfin démontrée

modestes et le travail très dur. Il invente un style, le naturalisme. L’un de ses évènements très connus est la défense du capitaine Dreyfus, condamné au bagne en 1898, il écrit dans l’Aurore « J’accuse : Monsieur le président de la République, Félix Faure et le ministère des Armées.». Zola est condamné pour diffamation. B. Germinal est publié en 1885. C’est le treizième roman de la collection des Rougon-Macquart Etienne Lantier s’est fait renvoyer. Il part travailler aux mines de Montsou, dans

famille française sur 5 générations : les vingt romans en sont écrits et publiés au rythme d'environ un par un an. -1876: L'assommoir -1880: Nana -1885: Germinal * Engagement politique : -Le 13 janvier 1898, la lettre ouverte au président Félix Faure publiée dans l'Aurore sous le titre J'accuse…! Donne le signal de la campagne publique en faveur de la révision du procès du capitaine Dreyfus. Mais les chefs de l'armée le poursuivent en diffamation et Zola est condamné, en juillet 1898, à un an

lettre marque par ailleurs l’utilisation de quelques hyperboles telles que :« explosion de la vérité » au lieu de la révélation de la vérité, pour dramatiser la situation afin de confirmer cette injustice. Néanmoins, Zola adresse à Félix Faure son profond respect (dernière ligne) malgré la dénonciation d’une erreur judiciaire commise. En conclusion, l’auteur a utilité différents arguments pour susciter l’émotion du lecteur ainsi que de le persuader sur l’acte extraordinaire qu’a constitué

période est ainsi marquée par la révolution industrielle et l’augmentation massive du nombre d’ouvriers.  La fin du siècle voit l’avènement de la IIIème République après la défaite de la France face à l’Allemagne. Les présidents s’y succèdent dont Félix Faure. Les courants littéraires et culturels Le romantisme : courant littéraire et pictural de la fin du XVIIIe – début XIXe siècle qui encourage l’expression d’une sensibilité et met en avant l’intimité du « moi ». Le réalisme : courant littéraire