Félix Gaillard

national ) crée par les indépendantiste algérien e ne novembre 1954 ce FLN et entré en lutte conte l'armé française . La guerre d'Algérie a eu des conséquence sur la vie politique française le 15 avril 1958 le gouvernement qui été présidé par Félix Gaillard a due démissionné car il a été mis en cause pour la mauvaise gestion de la crise algérienne. C'est a partir de la a commencé la fin de la 4éme république le gouvernement a due démissionné il fait que le président propose un nom pour le président

décolonisation. Suite à ces attentats la police, la gendarmerie et ensuite l’armée interviennent. En 1958 le pouvoir politique en place est incapable de résoudre cette crise et l’armée échappe au contrôle du gouvernement. En Avril 1958 le gouvernement Félix Gaillard est contraint à la démission car l’aviation française a bombardé un camp du FLN et plusieurs civils ont été tué et l’armée n’avait pas prévenu le gouvernement. Et pendant 5 semaines il y a une vacance du pouvoir politique et c’est justement cette

mais son choix de l’autodétermination pour régler le conflit se trouve confronté à des difficultés. La guerre d’achève ainsi dans la violence. Le retour au pouvoir du général de Gaulle est un évènement décisif. A la suite de la démission de Félix Gaillard le 15 avril 1958 en raison du scandale de l’affaire Sakiet, le président du MRP Pierre Pflimlin s’apprête à être investi chef du gouvernement, et annonce son intention de régler la question algérienne par la négociation. Le 13 mai 1958, un groupe

revenir au premier vice-président Hubert Maga. Cet échec est vite relégué au second plan quand, le 18 novembre 1957, Hubert Maga devient Sous-secrétaire d’État auprès du Ministre du Travail et de la Sécurité sociale Paul Bacon dans le Cabinet de Félix Gaillard, scellant ainsi la participation des IOM à une majorité fragile. Soucieux de tirer les bénéfices politiques de sa nomination ministérielle, Hubert Maga entreprend une tournée au Dahomey au début du mois de décembre 1957. Mais prémices de nouvelles

alternent le pouvoir et n’ont en commun que la défense de leurs propres intérêts, c'est-à-dire la défense de la IVème République, mais ne s’entendent pas sur un accord clair pour régler la question algérienne. Le 15 avril 1958, le Gouvernement Félix Gaillard qui appartient au parti radical (centre-gauche) démissionne. La raison de sa chute est due à l’absence de majorité à l’Assemblée Nationale, aussi bien pour la poursuite de la guerre d’Algérie que pour la négociation du Front National de Libération

pouvoirs publics français ne sont plus en mesure de maitriser l'affaire algérienne. B) Les conséquences de cet échec: 1° La vacance du pouvoir exécutif en plein cœur de la guerre d'Algérie Le 15 avril 1958, le gouvernement de Felix Gaillard est mis en minorité à l'Assemblée Nationale et renversé, mais, la majorité qui a renversé le gouvernement ne peut être une majorité gouvernementale car elle résulte de l'association des 2 extrêmes de l'assemblée. C'est un retour au centre qui

Laniel reçoit-il les pouvoirs spéciaux qui ont été refusés à son prédécesseur René Mayer ; le gouvernement Edgar Faure peut poursuivre en Afrique du Nord la politique sur laquelle le gouvernement Mendès France a été renversé ; le gouvernement Gaillard peut faire adopter la loi-cadre sur l’Algérie à propos de laquelle son prédécesseur, Bourgès-Maunoury, a été mis en minorité. La quatrième manifestation de l’absence de majorité vient du très mauvais fonctionnement de la dissolution et de l’impossibilité

tels que le Siècle (« journal politique, littéraire et d’économie sociale »), qui compte lui plus de 20000 abonnés. Cela s'explique probablement par la nature de ses publications. Il compte dans ses principaux contributeurs le photographe Gaspard-Félix Tournachon (« Nadar »), qui y publia aussi quelques caricatures, et Honoré Daumier, qui y représenta son personnage de Robert Macaire. Le Charivari apparaît être un journal républicain, donc un journal politique ; pourtant, par sa présentation,

(« par réalisme, opérant comme il le dit un « mariage de raison »), puis plusieurs fois ministre sous la Quatrième République, en particulier sous Pierre Mendes France, il est également un éphémère ministre de la Défense nationale du gouvernement Félix Gaillard. En ce 16 septembre 1969, alors qu’il est premier ministre de Georges Pompidou depuis juin, Chaban Delmas prononce un discours de politique générale devant une chambre à majorité UDR (Union des démocrates pour la république, ancêtre du RPR). La

thème de la paix[2]. Le 8 février 1871, l'Assemblée nouvellement élue est majoritairement monarchiste : sur 675 élus, environ 400 monarchistes (dont 182 légitimistes et 214 orléanistes), et 250 républicains avec une minorité de socialistes, comme Félix Pyat et Benoît Malon, et quelques bonapartistes issus de la Corse et de la Charente[3].. Les départements de l'Est, envahis, se sont largement prononcés pour les républicains et la guerre, tout comme le Midi de la France et Paris. Les Français, lassés