Félon

Panurge enfonce le clou: "ce portrait ne ressemble pas a nos derniers papes, car je les ai vu porter (...) un armet surmonte d'une tiare persique; et alors que tout l'Empire chrétien était en paix et en silence,  eux seuls faisaient une guerre félonne et très cruelle". Cela permet de rappeler que le pape, chef spirituel est aussi un souverain temporel et que certains jouent aux chefs de guerre (cf Jules II, pape casque tant loue par Machiavel...) Mais ici Rabelais pense à d'autres guerres:

C'est en 1962, qu'il avait réalisé The Manchurian Candidat (Un crime dans la tête). Deux ans plus tard, il a tourné un autre suspens politique qui lui a valu les louanges de la critique, Seven Days in May (Sept jours en mai), dans lequel un général félon, interprété par Burt Lancaster, planifiait un coup d'État. Il a aussi réalisé Birdman of Alcatraz (Le prisonnier d'Alcatraz), inspiré d'une histoire vrai. Et aussi Le train, French Connection II et, dernièrement, Ronin. Au cours de sa carrière, il

puis le fetes cuire a petit feu, e puis charpez la char bien menu eschevelee e la metez cuire ovec un poi de chucre._ » Au XVe siècle, François Villon écrit le Lais ou le Petit Testament vers 1456 : « _Le regart de celle m’a prins / Qui m’a esté felonne et dure / Sans ce qu’en riens j’aye mesprins, / Veult et ordonne que j’endure / La mort, et que plus je ne dure._ » Du XVIe au XVIIIe siècle : français classique Néologisme foisonnant La Renaissance se produit en France avec un siècle de

qui a le droit et la juste querelle, Elle veut le sauver, l'autre, qui n'est pas las, Viole en poursuivant, l'asile de ses bras. Adonc se perd le lait, le suc de sa poitrine ; Puis, aux derniers abois de sa proche ruine, Elle dit : " Vous avez, félons, ensanglanté Le sein qui vous nourrit et qui vous a porté ; Or, vivez de venin, sanglante géniture, Je n'ai plus que du sang pour votre nourriture ! " Victor HUGO, Ultima Verba (1852) … Je ne fléchirai pas ! Sans plainte dans la bouche,

à tentation d’opprimer -héros cornéliens : stoique ou cornéliens Stoiques : Cinna, Nicomède, Surréna Clément : Auguste, César, Agésilas, Nicomède -Corneille voit la grdeur d’âme ds ce qui peut condamner l’abus de pvoir - absence de chevaliers félons ds l’œuvre de C - Attention ! la causse du vassal pas tjs représentée de façon aussi avantageuse que ds théâtre de C La police de l’opinion - Normal que Richelieu soit préoccupé de l’état d’esprit des lecteurs et d sentim du publuc

je t'aime plus que moi-même, car c'est contre moi-même que je viens ici armé. Ne reste pas, va-t'en ; vis, et dis plus tard que la pitié d'un furieux t'a forcé de fuir. Pâris, l'épée à la main. - Je brave ta commisération, et je t'arrête ici comme félon. ROMÉO. - Tu veux donc me provoquer ? Eh bien, à toi, enfant. (Ils se battent.) LE PAGE. - ô ciel ! ils se battent : je vais appeler le guet. (Il sort en courant. ) Pâris, tombant. - Oh ! je suis tué !... Si tu es généreux, ouvre le tombeau et dépose-moi

permettent d'accroître le domaine royal. Ils utilisent également la force, c'est à dire les guerres. Philippe Auguste (1180-1223) entame le processus : l'étendue du domaine royal triple pendant son règne. Il confisque au roi d'Angleterre (Jean, déclaré félon dans une question matrimoniale) une partie de ses terres (Normandie, Anjou, Acquitaine) et étend son autorité par sa victoire à Bouvines (1214) contre, entre autres, le comte de Flandres. Pendant le règne de Saint Louis (ou Louis IX, 1226-1270)

être lue à voix haute : dans Ma Bohème, Rimbaud communique sa joie aux lecteurs (« Oh là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! »). Dans Les Tragiques (Livre premier, Misère), A. D’Aubigné dénonce les cruautés des guerres civiles : « Vous avez, félons, ensanglanté / Le sein qui vous nourrit et qui vous a porté ; (…) / Je n’ai plus que du sang pour votre nourriture. ». Très souvent, la poésie a délivré un message univoque et engagé : par exemple Chanson dans les Châtiments (« Mangez, moi je préfère

Roland fait l'éloge de la france et rabaisse les espagnols. On en a un apercu dans la premiere laisse du passage « Mais je frapperai tant et plus de Durendal, ma bonne épée que j'ai ceinte de coté. Vous en verrez la lame tout ensanglantée. Les paiens félons ont eu tort de se rassembler ; je vous le jur, tous sont livrés à la mort » Dans la seconde laisse on a : ; « Quand je serai au fort de la bataille et que je frapperai des coups par milliers, de Durendal vous verrez l'acier sanglant. Les francais

mandâtes deux comtes ; « L'un fut Basan et le second Basile : « Il leur coupa la tête auprès d'Haltile. « Faites la guerre entreprise par vous ; « Vers Saragosse amenez votre armée, « Assiégez-la plutôt toute la vie, « Et vengez ceux que le félon occit. » AOI. Notre empereur tient la tête baissée, Flatte sa barbe et tire sa moustache, A son neveu ne répond bien ni mal. Tous les Français se taisent, hormis Gane. Il saute en pieds ; il vient devant le roi, Et fièrement commence ses raisons