Féminité

B) Portrait de Julien par Mme de Rênal - progression dans la détermination de Mme de Rênal -> d’abord une voix (« voix douce ») -> un regard (frappé… étonné ») donc progression : la voix devient une femme - double image de la femme -> féminité éblouissante -> mère (sublimation de l’image de la mère) - « grâce » => perfection physique et morale => sens religieux (religiosité romantique) Conclusion : effets de la focalisation interne : - économie du récit (peu de discours) - récit

condition féminine en Nouvelle-France (p.3). Brun affirme que « la réalité est infiniment plus complexe » (p.4). Deux grandes questions orientent sont propos : « Les pratiques sociales diffèrent-elles de l’esprit des lois et des autres discours sur la féminité et la masculinité? Les stratégies des hommes et des femmes se conforment-elles à une conception large ou étroite des rôles sociaux masculins et féminins en Nouvelle-France? » (p.4) Pour cette étude d’histoire sociale, Brun s’appuie sur des sources

termes : les termes « mince et joli », « la race s’affinait » et « devenait délicate » suggèrent la délicatesse, la finesse féminine. L’image de son regard (« douceur du regard ») et la longueur de ses cheveux (« cheveux bouclés ») affirment cette féminité. L’expression « créature frêle » montre sa fragilité et indique qu’il n’est ni homme ni femme : il n’a pas une image humaine. La coupe de ses vêtements le montre aussi : « pincé à la taille comme une femme ». Enfin, il danse « légèrement sur la selle » :

ira même plus loin en interprétant le rôle en 1945. Contrairement aux précédentes, Marguerite Jamois se démarquera en mettant en valeur sa féminité et apparaitra les cheveux longs et la silhouette gracile. Si le personnage de Lorenzo permet une interprétation féminine c’est parce que plusieurs éléments du texte de Musset font référence à la féminité du personnage. D’abord dans le texte on peut voir que les gens qui l’aiment le comparent ou le qualifient de femme pour excuser sa lâcheté. Sa

comme sa détentrice d’un carré de soie à pois très parisiens nouée au cou et une peau nude d’une couleur similaire à la couleur du verre et de son contenue. Il y a une profusion de formes et lignes courbes, fleurs… qui ne peut que faire ressortir la féminité, sensualité, érotisme mis en exergue par le triangle pointé vers le haut formé par les cuisses de la femme –emblème du sexe masculin- jusqu’au parfum à l’aspect de trèfle à quatre cœurs, symbolique de l’amour et du bonheur, et le bouquet d’anémone

politique institutionnelle, existence de structures étatiques défendant les droits des femmes. Catherine Achin a proposé un bilan mitigé de la parité : d’un côté la règle paritaire marque une rupture car pour la première fois, les attributs de la féminité ne sont plus affectées de valeur négative dans le champ politique. On a une banalisation de la figure des femmes politiques. L’identité féminine peut aussi devenir une ressource authentique dans les stratégies de présentation de soi. Ttefois Achin

Introduction:. Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe (1949) : «  Les femmes d’aujourd’hui sont en train de détrôner le mythe de la féminité ; elles commencent à affirmer concrètement leur indépendance ; mais ce n’est pas sans peine qu’elles réussissent à vivre intégralement leur condition d’être humain. Elevé par des femmes au sein d’un monde féminin, leur destinée normale est le mariage qui les subordonne encore pratiquement à l’homme ; le prestige viril est encore loin d’être effacé : il repose

la jeune fille vit une reviviscence de ce complexe. La mère considérée comme une rivale, est aussi l’objet d’une identification. Par cette identification, la jeune fille va avoir accès à sa féminité. Ceci implique que la mère ait accepté la féminité de sa fille en renonçant à sa propre féminité, c'est-à-dire d’accepter que sa fille puisse un jour être mère et donc devenir grand-mère. Pour la mère, c’est finalement accepter de vieillir mais aussi de mourir et pour la fille c’est

développement de l’interprétation féminine et masculine. Les stéréotypes et les croyances sont encore véhiculer dans les médias, peu importe la culture. Selon l’auteure, ces images construisent la réalité et envoyés aux femmes la définition de la féminité perçu et produit par les hommes comme un objet de marchandise. Plusieurs féministes tentent de confronter les médias patriarcaux par l’art visuel. Elles dénoncent le fantasme masculin qui a été trop longtemps l’objectivité et la norme de qualité

d'enfant » mais le poème décrit une sensualité de femme. Cette idée est renforcée par les antithèses : « doux » et « amer » , « fer » et « or ». Dans le Léthé, la femme est désignée par « tigre adoré » et « monstre aux airs indolants », symbole d'une féminité très attirante mais terrible et qui a le pouvoir de faire souffrir : « âme cruelle et sourde » . La femme a la capacité de lui faire oublier ses malheurs, et l'homme est donc comme addict à celle-ci : « l'oubli puissant habite sur ta bouche », « le