Femme à barbe

l’homme ou la femme , C’est une pilosité envahissante sur une partie du corps ou sa totalité. Les Alopécies : Chute anormales de cheveux. Plusieurs types : progressive, diffuse, aigüe. Le Calvitie La Pelade Alopécie progressive, familiale et sous dépendance hormonale (endrogénogénétique). La chute de cheveux débute dès 18 ans , elle aboutit à une couronne basse de cheveux sur les tempes et la nuque. Alopécie circonscrite, ce sont des plaques dépourvues de cheveux. Elle se limite à une ou plusieurs

(Acte II Scène III), on observe une image du mariage ou l’on représente la femme comme le sexe faible, « Votre sexe n’est la que pour la dépendance, Du coté de la barbe toute puissante », « L’une moitié suprême et l’autre subalterne », «Lorsque qu’il jette sur elle un regard sérieux, Elle doit aussitôt baisser les yeux » Cela montre une image de femme soumise, bonne aux tâches simple et ou l’éducation de celle-ci doit se limité a servir son mari. Du coté de George Brassens « La non demande en mariage

Qui est Godot? Beckett a toujours refusé les interprétations de ses œuvres. Et pourtant, s’il est une œuvre qui a subi les analyses de toutes sortes, parfois abusives, c’est bien En attendant Godot. On a prêté bien des visages à Godot, personnage absent mais central. Toute l’action dramatique est construite autour de lui. Quelques indices dans le texte nous le présentent comme un homme d’affaires, qui a une famille, un cheval, un compte en banque, une barbe blanche. Il crie et semble brutal : il

catholique en Normandie, très attaché à la monarchie. Il s'inscrit dans les mouvements du romantisme, du surréalisme ou bien encore du fantastique. Ayant plus d'expérience dans le dandysme (art de vivre et de penser), de son surnom « le Connétable des lettres » se verra faire preuve de réalisme lorsqu'il publiera Le Chevalier ds Touches en 1864, sous le second empire. D'un discours narratif et d'un registre épique, cet ouvrage est un compte rendu journalistique à tendances romanesques qui présente un

------------------------------------------------- Georges Lafenestre  A quoi bon prolonger la lutte et la révolte A quoi bon prolonger la lutte et la révolte ? Transmettre, sans scrupule, à d'autres combattants Un mot d'ordre menteur qui mène aux guet-apens ? Les laboureurs sont las de semer sans récolte. Ce monde peut mourir ! je suis prêt et j'attends... J'attends, j'attends encore... Ah ! suprême ironie ! Le rêve du néant, même, est un faux espoir ! Car voici que, soudain, là-bas

1) Chiourme : ensemble des rameurs d’une galère/ ensemble de comdamné au bagne. 2) Camard : qui a le nez plat et écrasé . 3) Dogue : chien de garde à grosse tête avec le museau aplati. 4) Aversion : répugnance, répulsion. 5) Incorruptible : qu’on ne peut pas dénaturer. 6) Champêtre : qui se rapporte a la campagne et aux champs. 7) Conjecture : hypothèse fondée sur les apparences. 8) Asturiens : du nord de l’Espagne. 9) Irrémissiblement : sans rémission, sans miséricorde

par Céline Paringaux. p. 27-30 [une photocopie du texte a été donnée en cours] - Pour clarifier, je précise le nom du personnage qui parle et les lignes, j’indique les étapes de l’introduction et de la conclusion, j’indique « conclusion partielle », mais il ne faut pas l’écrire dans un devoir rédigé. - Lisez aussi mes notes de bas de page. ! Intr° : (1) situation du texte) Une scène d’exposition sert à informer ou instruire le public, à exposer les informations essentielles : le lieu, le

FRANCAIS : LES CONTES DE PERRAULT. LE PETIT CHAPERON ROUGE 1. Quelle menace la morale contient-elle ? A qui s'adresse-t-elle précisément ? La moralité ici signifie qu'il ne faut pas se fier aux bons parleurs, aux flatteurs comme nous le montre ce vers : « […] ces Loups doucereux, de tous les Loups sont les plus dangereux. ». Elle ne semble pas s’adresser aux enfants. En effet la moralité dans « Le Petit Chaperon rouge » met en garde les jeunes filles naïves ou peut-être même avec des fausses

pseudonyme Currer Bell, a clairement voulu donner à son personnage éponyme une présence et une force peu commune et dont on trouve peu d’antécédents dans la littérature contemporaine, même chez Jane Austen et son Emma, avec laquelle Jane (Eyre) est parfois comparée. C’est un truisme que de dire que le personnage de Jane est central au roman, d’autant que ce dernier est sous-titré « an autobiography ». A ce titre, le lecteur se retrouve directement confronté au personnage avec une narration à la première personne

faisaient chaque jour, ils s'arrêtèrent à quelques pas, se réunirent par groupes et se mirent à chuchoter. C'est que ce matin-là, Simon, le fils de la Blanchotte, était venu à la classe pour la première fois. Tous avaient entendu parler de la Blanchotte dans leurs familles ; et quoiqu'on lui fît bon accueil en public, les mères la traitaient entre elles avec une sorte de compassion un peu méprisante qui avait gagné les enfants sans qu'ils sussent du tout pourquoi. Quant à Simon, ils ne le connaissaient pas