Femme Fatale

est-il du mythe de la femme créée non en même temps que l'homme, mais à partir de l'homme... Sur ce mythe repose l'essentiel du comportement des hommes à l'égard des femmes : la femme doit tout à l'homme, elle lui est soumise... Sans oublier que la femme est le symbole du malheur du genre humain : en effet, n'est-ce pas, Eve qui, dans la mythologie judéo-chrétienne, incita Adam à manger le fruit interdit ? Femme faible de par sa constitution, femme tentatrice, femme fatale, les femmes, depuis des

marginalisées, elles n’ont ni droit politique, puisqu’elles ne votent pas, ne possèdent aucune autorité familiale et aucun droits social, la société française fonctionnais de sorte à ce que les femmes dépendent le plus possible de leurs maris .. La femme sont considérées comme des être faible, inférieure, incapable de réflexion, de logique, elles vont être marginalisées, Ces inégalités sont dus aux siècles précédents, « Le Code de Napoléon »  dans lequel les femmes sont réprimées, dépourvues de droits

MASARYKOVA UNIVERZITA V BRNĚ FILOZOFICKÁ FAKULTA Ústav románských jazyků a literatur L’Image de la femme dans l’oeuvre de Baudelaire Diplomová práce Autor práce : Vedoucí diplomové práce : Vendula Sochorcová prof. PhDr. Petr Kyloušek, CSc. Brno 2006 Tímto prohlašuji, že jsem diplomovou práci vypracovala sama a že jsem

homme a terre – référence à la mort , inquiétude drogue alcool ? logo Kookaï électrocardiogramme – visuel qui incarne la puissance de la marque – visage dans l’ombre – rouge ( sang ) sous lui * la femme : elle est sereine , calme froide et rassurante, visage de la madone , inflexible femme fatale mais qui est sauveuse à la fois pouvoir PROBLEMATIQUE : * Comment faire évoluer l’image de Kookaï tout en concevant les valeurs acquises et défendus ? ou * Comment s’adresser à des femmes

d’« amour » qui, bien que né depuis seulement quelques secondes, le rend « déjà si éclairé » et parle de ses « sentiments » un peu plus loin, puis de son « amour naissant » et enfin de « l’ascendant de (s)a destinée » : des Grieux est possédé par la jeune femme au point de bouleverser sa vie pour elle. - Ce bouleversement est d’ailleurs immédiat : il lui propose « d’employer sa vie pour la délivrer de la tyrannie de ses parents et pour la rendre heureuse ».       b. Un coup de foudre unilatéral Pourtant

certaines désirent. Cette identification de la femme à la communauté familiale dépouille la femme de son individualité. La femme est le principe spirituel (l'âme) du foyer, l'homme en est le principe juridique. Les mentalités sont forgées de croyances anciennes, sur les femmes notamment. Au 18ème siècle, même si la société chrétienne européenne a quelque peu évolué depuis le Moyen-Age, il est des mythes qui perdurent. Ainsi en est-il du mythe de la femme créée non en même temps que l'homme, mais à partir

femmes et de susciter des envies. Le pouvoir de la lingerie est de rendre la femme toujours plus belle. L’avantage qui est ici proposé à la cible est de plaire. Si une femme revêt un ensemble de sous-vêtements Aubade, elle deviendra alors une femme fatale, à qui personne ne pourra résister. Il y a un avantage pour les hommes et un pour les femmes, que l’on peut tous deux résumer par ces phrases : « Si vous voulez que votre femme soit aussi belle que les femmes sur les affiches, achetez des dessous Aubade»

écrit la 3ème nouvelle du tome II des "Scènes de la vie parisienne", "Sarrasine" (1) - une trentaine de feuillets glissés comme un signet (ou un signal) entre les mastodontes de la "Comédie humaine", (Rien de plus "réduit", dans l'oeuvre - même "La femme abandonnée, qui ravissait Marcel Proust). Le récit est rédigé en première personne, ce qui en souligne le ton personnel et confidentiel. Il comporte un prologue, un récit et un épilogue. Son caractère onirique frapperait le moins averti; il ne tient

Oui, dit-elle, blessé, mais blessé tout de bon ; Et c'est l'homme qu'hier vous vîtes du balcon. - Hélas ! qui pourrait, dis-je, en avoir été cause ? Sur lui, sans y penser, fis-je choir quelque chose ? - Non, dit-elle, vos yeux ont fait ce coup fatal, Et c'est de leurs regards qu'est venu tout son mal. - Hé ! Mon Dieu ! Ma surprise est, fis-je, sans seconde : Mes yeux ont-ils du mal, pour en donner au monde ? - Oui, fit-elle, vos yeux, pour causer le trépas, Ma fille, ont un venin que vous

l'itinéraire de l'amant mal-aimé et angoissé, à travers les souvenirs. Les cinq premières strophes de ce poème sont très caractéristiques de ce mal amoureux et de la fausseté de l'amour donné: les deux êtres ressemblant à la femme aimée que poursuit le poète, le voyou et la femme saoule incarnent "la fausseté de l'amour en personne". « L'Emigrant de Landor Road » : poème inspiré par la fuite d'Annie vers L'Amérique pour échapper à l'amour envahissant de Guillaume. "Landor Road" était l'adresse d'Annie