Femme Peinture 17ème

Le roman au 17ème Introduction : Effort constant de la production romanesque d’un point de vue matériel Spéculation des libraires, les romans coûtent de plus en plus cher Public d’élite, noblesse, bourgeoisie, lectorat de femmes (elle sont considérées comme des dédicataires et ont une place de choix) La littérature populaire est méprisée des élites, colportage oral comme les romans de chevalerie Bibliothèque Bleue de Troyes[1] Divorce entre le goût mondain et le goût savant, les détracteurs

Commentaire d’œuvre L’Enlèvement des filles de Leucippe, est une œuvre de Pierre Paul Rubens. Il s’agit d’une peinture en huile sur toile exécutée en 1618-1620 et mesurant 224 X 210 cm, actuellement conservée en Allemagne, à la Alte Pinakothek de Munich. Rubens est un des plus représentant du baroque septentrional. Il est engagé en tant que peintre dans la famille du duc de Montou. On l’envoie en Espagne afin de peindre les plus belles femmes du pays. Il fait alors la rencontre de Velasquez

« La Laitière » [pic] Biographie de l’auteur : Johannes ou Jan Vermeer[] (1632-1675) est un peintre baroque néerlandais parmi les plus célèbres du siècle d’or. Il réalisa surtout, dans un style raffiné, des peintures de genre. Principalement des intérieurs montrant des scènes de la vie domestique. Il travaillait lentement et avec méticulosité. Ses œuvres se distinguaient par une combinaison de couleurs inimitable, comme le jaune ou le blanc. Il maîtrisait parfaitement le traitement

Sa mère, la protège de la passion amoureuse, car la femme doit mener un combat, indiqué par la structure en parallèle (l-19-20), qui montre que pour elle, la vertu est un combat, qui conduit au bonheur, qui se cristallise autour d’une relation de réciprocité qui est d’aimer son mari et d’en être aimer (excellence). b) Il insiste sur le discours qu’elle a toujours entendu lors de son éducation * Rapport au modèle de l’honnête femme, son éducation est exceptionnelle car sa mère est une

* la peinture sur parois, dite rupestre ou pariétale * la gravure sur bois de renne, os, pierre ou argile * la sculpture (de petite taille) en bois de renne, pierre, argile, ivoire de mammouth On suppose également la présence de musique, de chants, de danses, de peintures sur corps,… Il est intéressant de constater que l’apparition de l’art se produit en même temps que la prise de conscience d’un au-delà qui le dépasse, matérialisée par les rites funéraires. A. Peinture et gravure

trou qui reçoit la lumière. Lorsqu’elle y pénètre, on trouve sur la paroi d’en face, l’image inversée du monde. On a essayé de perfectionner ce système avec des lentilles optiques qui produisent des images plus précises mais toujours inversées. Au 17ème siècle, ceci devient la boîte noire. Au 18ème siècle, on produit une image bien précise, inversée dans la camera obscura, mais on ne sait pas la garder. C’est la chimie (qui se développe au 18ème siècle) qui va permettre de garder l’image. On comprend

allons …… Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie’’. Il aime la nature et en apprécie la beauté : ‘‘Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin était éclose N’a point perdu cette vesprée Qui faisait croire à sa beauté.’’ Quelque peu oublié au 17ème et au 18 siècle, Ronsard a été célébré par les Romantiques du 19ème siècle. On a même dit qu’il était le ‘‘père du Romantisme’’. C’est un grand poète lyrique, c’està-dire qui exprime des sentiments personnels. Il a abordé tous les thèmes : amour, jeunesse

certaines pages, une esthétique proche des peintures de Georges de la Tour sur lequel l'auteur a aussi écrit un essai. Tous les matins du monde sont sans retour. Cette phrase traduit une réflexion sur le temps qui passe et ne revient pas. Le matin est d’ordinaire associé au renouveau. Ici, une nouvelle journée marque une nouvelle étape de la marche inéluctable du temps, qui conduit à la vieillesse et à la mort. Ce titre rappelle également un motif de la peinture baroque : les vanités symbolisant à travers

Pas de peinture à huile avant le 15ème siècle. Les peintres peignaient avant sur des fresques. C’est un enduit frais que l’on pose sur le mur et le peintre va devoir peindre avant que l’enduit sèche donc de façon très rapide. Il fallait une grande habilité. Il fallait extraire du cobalt pour obtenir du bleu, il est très rare et très cher. Les gens commençaient à travailler dès leur plus jeune âge. Les fresques étaient utilisées de l’antiquité à la renaissance. L’inventeur de la peinture à l’huile

est centré sur le personnage du jeune homme (l.50-fin) : texte centré sur un second personnage en focalisation interne Le cadre spatio-temporel du récit est précisé dès le début : (l.1) : « Vers la fin de l’année 1612 ». L’action est située au 17ème siècle, donc pas à l’époque de Balzac, il ne prime donc pas le réalisme comme il l’a fait dans « La Comédie Humaine » : son ambition est donc autre que dans La Comédie Humaine (l.7) : « […] rue des Grands Augustins, à Paris ». Paris, à cette époque