Femmes de réconfort

(Pour l'entretien: le châle est une tenue traditionnelle juive et polonaise) Ce détail nous montre donc que c'est une famille de déportés juifs. Elle tient son petit-fils par la main pour le rassurer, le protéger et le réconforter. Son teint est livide. On peut voir qu'elle observe le soldat SS de manière résignée et méprisante. Elle est aussi le pilier de la famille : malgré le fait qu'elle soit exténuée sa famille s'appuie sur elle. La grand-mère a aussi l'air d'être dans

armées et leurs populations. Les japonais se permettaient des atrocités et des extractions partout où ils passaient, dans le but de semer la terreur au sein des peuples ennemies. De plus, en Corée, des dizaines de milliers de femmes étaient utilisées comme “femmes de réconfort” par les militaires japonais, rabaissant ainsi la dignité des individus. Pire encore, les bombardements fréquents faisaient de nombreux dégâts chez les civils. Les bombardements les plus connus de la seconde guerre mondiale n’ont

qualités de la femme Ce poème est un hymne à la femme noire. Les 4 premières strophes : interpellations, accumulations, appositions à la femme noire et nue : - Protectrice (protège l'enfant, accueille l'homme mûr) - Douceur - Apporte calme et réconfort (métaphore de l’huile = apaisant, renforcé par les monosyllabes et allitération en [L]) - Apporte une lumière spirituelle La femme est source de vie, associée à l’au-delà et à l’ici-bas. Jeux de correspondances horizontales et verticales. La

comme ni la grand-mère ni la mère, mais elle n’est pas troublée par la fait qu’elle ne soit pas partie de la vie de sa fille ou ses petits-enfants. Elle trouve réconfort chez les filles qu’elle aide. «On se retrouve toutes seules, mais on joue à mère pour des enfants qu’on n’a pas eus. Toi pour ma fille, moi pour les filles des femmes qui bougent pas quand on tue leurs enfants…» (p. 66). Quand même quand elle ne pouvait pas être la mère de sa propre fille, elle a trouvé une façon d’être la mère

modernes, on retrouve la même fascination de l'homme pour la femme, la même célébration. De même L.S. Senghor dans "Femmes noires…", tiré du recueil Chants d'Ombre, 1945. (autre idée) Sculpture de J.B. Carpeaux au musée d'Orsay "Les quatre parties du monde soutenant la sphère céleste" réalisée pour les Jardins de l'Observatoire : quatre points cardinaux symbolisés par quatre femmes dont la femme noire… I. Ce poème est un hymne à la "femme noire" 1° § Le poète évoque la "femme noire" à différents

dans le monde Troisième partie : Le déni de grossesse Le statut de mère Depuis le début de l’humanité la femme est considérée, comme étant une femme crée pour donner vie et élever l’enfant. Dans plusieurs discours, l’anatomie du corps des femmes les prédestine à la maternité, les seins les hanches généreuses pour recevoir le fœtus, ne laissent planer aucun doute. La femme est conçue pour être mère. C’est comme si la nature en avait décidé ainsi. D’ailleurs on peut notamment le voir dans les

pour une malade mentale, une « folle » selon l'historien Jules Michelet, une hystérique atteinte de paranoïa reformatoria (folie réformatrice) pour le Dr Guillois, docteur du service de santé des armées, auteur, en 1904, d'une étude consacrée aux femmes de la Révolution. Jusqu'à ce que l'historien Olivier Blanc, en 1981, vienne l'extirper de cet injuste oubli avec une biographie fouillée et fort documentée, Marie-Olympe de Gouges, une humaniste à la fin du XVIIIe siècle. Et qu'Anne Hidalgo, la

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