Fender

de métal et d'agate. Lorsque mes doigts caressent à loisirTa tête et ton dos élastique,Et que ma main s'enivre du plaisirDe palper ton corps électrique, Je vois ma femme en esprit. Son regard,Comme le tien, aimable bête,Profond et froid, coupe et fend comme un dard, Et, des pieds jusques à la tête,Un air subtil, un dangereux parfum,Nagent autour de son corps brun. J'ai choisi ce poème car il est particulier. Il est rédigé sous la forme d'un sonnet, et alterne les vers composés de décasyllabes

farouche ; Ses bras pendants semblaient demander des appuis. Il avait dans sa poche une toupie en buis. On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies. Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies ? Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend. L'aïeule regarda déshabiller l'enfant, Disant : "Comme il est blanc! approchez donc la lampe ! Dieu ! ses pauvres cheveux sont collés sur sa tempe !" Les figures sémantiques ou images. Dans toute image on distingue: le comparé (l’élément que

adieu la lumière et le vent Marie-toi sois heureuse et pense à moi souvent Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses Quand tout sera fini plus tard en Erivan1 Un grand soleil d'hiver éclaire la colline Que la nature est belle et que le cœur me fend La justice viendra sur nos pas triomphants Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline Et je te dis de vivre et d'avoir un enfant Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent Vingt et trois qui donnaient le cœur avant le temps Vingt et trois étrangers

Burroughs dépeint la drogue comme une maladie. Tout au long du texte, il nous décrit des corps qui sont ravagés par la drogue comme ils le seraient d’une maladie. Il évoque des images telles que  « La figure verte et ravagée de l’Acheteur » qui « se fend en un sourire abject. [6]» ou encore « Les aiguilles » qui « ont fini par rouiller sous sa peau desséchée qui, çà et là, a complètement remblayé l’outil et formé une sorte de kyste tout lisse d’une teinte brun-vert. [7]» Les « vétérans de la drogue »

inversement : si tu ne réussis pas ta vie, tu brûleras dans les flammes éternelles. Cette doctrine, peu humaniste, a un terrible le potentiel motivateur. Tous les parents ont eu, un jour ou un autre, des soucis concernant l’avenir de leur progéniture. On se fend d’ un petit discours, plus ou moins adroit, sur le thème « tu vas voir où tu vas arriver si tu continues comme ça ». Imaginez maintenant des parents calvinistes dans la même situation… Leur enfant non seulement ne sera pas banquier, avocat ou médecin

royaume a été que sa décadence a coïncidé, dans le temps, avec l’émergence d’une nouvelle idéologie : le colonialisme. C’est la tendance lourde de l’époque. Au point que même un intellectuel au-dessus de tout soupçon, comme le poète Victor Hugo, se fend d’une phrase restée célèbre : “Dieu offre l’Afrique à l’Europe. Prenez-la. Résolvez vos questions sociales, changez vos prolétaires en propriétaires”. . Les frères Tharaud, qui ont longtemps figuré parmi les conseillers du maréchal Lyautey, ne font

marche du navire [qui est] ralentie, attendu l’état de la mer, dont les longues lames brisaient contre son étrave.[19] » Un autre exemple est celui de « la prairie, que le traîneau coupait en ligne droite[20] », et qui fait également écho au train qui « fend la nature, saute les obstacles […] et figure en même temps la forme du voyage, - ce sillage -, et la parfaite réalisation de l'industrie humaine.[21] » On peut évidemment voir ici, par les objets « masculins » qui viennent fendre, couper la nature

Allen Hendrix, fut l'un d'entre eux. Cet compositeur-interprète, chanteur et guitariste, révolutionna l'utilisation de la guitare électrique et fut à l'origine du Heavy Metal. Il avait la particularité d'être gaucher et de jouer sur une Stratocoaster Fender pour droitier. Grâce à sa popularité il rendit la marque extrêmement connue et c'est pour cela que cette marque est aujourd'hui l'une des deux plus grandes marques de guitares électriques au monde. Il véhiculait, à travers ses premiers textes, les

fait lentement le tour. Son eau fraîche a fui goutte à goutte, Le suc des fleurs s'est épuisé ; Personne encore ne s'en doute ; N'y touchez pas, il est brisé. Souvent aussi la main qu'on aime, Effleurant le coeur, le meurtrit ; Puis le coeur se fend de lui-même, La fleur de son amour périt ; Toujours intact aux yeux du monde, Il sent croître et pleurer tout bas Sa blessure fine et profonde ; Il est brisé, n'y touchez pas. Sully PRUDHOMME(1839 1907) Complainte amoureuse Oui, dès

adieu la lumière et le vent Marie-toi sois heureuse et pense à moi souvent Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses Quand tout sera fini plus tard en Erivan Un grand soleil d’hiver éclaire la colline Que la nature est belle et que le cœur me fend La justice viendra sur nos pas triomphants Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline Et je te dis de vivre et d’avoir un enfant Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent Vingt et trois qui donnaient leur cœur avant le temps Vingt et trois