Fernand Pelloutier

lyonnais, héritiers des canuts de 1831, sont les premiers à inviter les divers syndicats de France à s’unir dans une organisation nationale : la Fédération Nationale des Groupes Corporatifs. Les Bourses du Travail se créent sous l’impulsion de Fernand PELLOUTIER dès 1887. Le monde ouvrier voit donc le jour avec l'arrivée de la Révolution industrielle. L'ouvrier connait tout de suite des problèmes d'adaptation aux nouvelles méthodes, il demeure exploité par le patronat aidé quelque peu par l'État

d'action du 1er mai. Le 1er mai 1891, à Fourmies (Nord) la troupe tire sur des grévistes : neuf morts, 35 blessés. Histoire sociale 1892 : Création de la Fédération des Bourses du travail, marquée par le syndicalisme révolutionnaire de Fernand Pelloutier. 1895 : Congrès constitutif de la Confédération générale du travail CGT à Limoges du 23 au 28 septembre, elle rassemble la Fédération nationale des syndicats et la fédération des bourses du travail. 1900 : Création du journal la Voix du peuple

les réformistes. On dit PC mais leur vrai nom est SFIC. B) Le syndicalisme Ils ont suivit le conseil de Proudhon (séparation entre social et syndical). La loi de 1884 (Waldeck-Rousseau) qui autorise la création de syndicats professionnels. Fernand Pelloutier (Père du syndicalisme) ; sa famille est monarchistes et entre 1885 et 1895 sa vie effectue un virage à gauche. Il est d’abord radical ensuite Guesdiste puis anarchiste en pour finir Blanquiste. Il prône l’unité ouvrière. Toute sa vie va se consacrer

l’unification de la SFIO réalisée sous l’égide de Jean Jaurès, les socialistes se divisent en 6 partis réformistes ou révolutionnaires. Au tournant des XIXe et XXe siècles, la CGT, qui vient de se former grâce à l’apport des libertaires conduits par Fernand Pelloutier, Emile Pouget ou Victor Griffuelhes, aspire elle aussi à représenter les intérêts du prolétariat. Après une phase de concurrence, les uns comme les autres apprennent à travailler ensemble, voire à se respecter. La guerre puis les scissions de

presentation.htm Lycée Jean JAURES IRTS PARISIDF IFRAD des Hts-deSeine 92291 01 40 83 40 00 01 73 79 52 30 01 73 79 52 40 01 40 83 40 40 92240 01 73 79 08 97 RAISON SOCIALE DE ADRESSE L'ETABLISSEMENT Lycée René AUFFRAY 23, rue Fernand PELLOUTIER CODE POSTAL COMMUNE TEL.STANDARD 92 FAX MAIL SITE INTERNET 92210 CLICHY BOULOGNE BILLANCOURT LEVALLOISPERRET CEDEX NANTERRE NEUILLY Sur SEINE VANVES Rueil MALMAISON SAINT CLOUD VILLENEUVE la GARENNE 01 49 68 91 13 01

allemand; les Bourses du Travail animée par Fernand Pelloutier passé du radicalisme au guesdisme, puis au socialisme libertaire → regroupent les employés selon leur lieu de travail. 1892: création de la Fédération des Bourses du Travail → quarantaine d'organisations et 400.000 ouvriers; grève générale considérée comme la meilleure arme de l'action ouvrière. 1895: création de la CGT = fusion partielle des deux fédérations surtt du fait de la réticence de Pelloutier. A sa mort en 1901, Victor Griffuelhes

sociales (L'idée c'est que tout les courants de droite comme de gauche vont essayer de trouver des solutions a la question social. On va voir trois courants d'idée. ) §1 Les idéologies révolutionnaires A) Les buts de la grève générale ( En 1887 Fernand Pelloutier explique l'idée que seul une greve général illimité pour toute les profession peut permettre l'émancipation des travailleurs, il dit que ca ne doit pas etre un mouvement planifié mais un mouvement spontanné et individuel. ) B) L’annonce du Grand

de tyrans »).  Après lui, Aristide Briand et son ami Fernand Pelloutier, tous deux collaborateurs à  La Démocratie de l'Ouest , rédigent un projet,  De la révolution par la grève générale . Depuis 1890, il existait bien une grève générale, le 1er mai, en faveur de la journée de travail des 8 heures. Mais c'était une grève symbolique de 24 heures. Dans l'idée de Pelloutier et de Briand, ce serait une grève illimitée, dont le but est de permettre

ouvrière est aussi forgée par une création originale du mouvement ouvrier. En France par exemple, les Bourses du travail, « services de mutualité, d’enseignement et de propagande » tels que les définit leur animateur puis secrétaire général Fernand Pelloutier. La première est crée à Paris en 1887. Dans ces maisons ouvrières, ces foyers du peuple dont les locaux sont souvent fournis par des municipalités favorables, les ouvriers se rencontrent et s’entraident. Tous ces éléments vont contribuer

l’essor du syndicalisme, on assiste à l’essor du socialisme. Les ouvriers ne font pas confiance aux syndicalistes, ils vont s’organiser par eux même. Ils le peuvent grâce à la loi de l’association en 1884 mais également grâce à l’action d’un homme Fernand PELLOUTIER qui va avoir une évolution fulgurante qui va le mener à gauche, il va devenir radical, puis gédiste, puis anarchiste puis devenir syndicaliste en consacrant sa vie à une idée ouvrière. Son influence est immense et tous els syndicalistes reconnaissent