Ferrare

avec la signification de : discours, conversation, description, explication, propos. Vers la fin du XV ème siècle, c'est aussi une sorte de poésie, qui décrit minutieusement, sur le mode de l'éloge ou de la satire, un être ou un objet. Réfugié à Ferrare à la cour de la duchesse Renée de France, Marot entreprend de traduire les Psaumes et compose, en 1535, une pièce tout à fait profane : le Blason du beau tétin .Quand celui ci parvient en France, la cour de François Ier  l'applaudit, son succès est

formes d’art. On assiste alors à la création de fouilles archéologiques et à des recherches de textes antiques, afin de s’informer sur cette époque. Les principaux centres de la renaissance artistique en Italie furent Florence, Rome, Naples, Venise, Ferrare et Padoue. L’apparition de riches Mécènes, tels les Médicis, favorisèrent le développement artistique. De nouvelles techniques apparaissent en peinture, telles que la proportion, le contrapposto (attitude d'une statue, appelée également «hanchement

patronage laïque de l'enseignement, des arts et de la musique. A cette époque, les villes italiennes sont organisées en citésEtats aux aires d'influence étendues. Placées sous le pouvoir despotique de grandes familles (les Médicis à Florence, les Este à Ferrare, les Sforza à Milan, les Gonzague à Mantoue, les ducs d'Urbino, les doges de Venise et les papes à Rome), elles connurent une stabilité et une prospérité économiques favorables au développement des arts. 15ème siècle(Quattrocento) l’Humanisme

Troisième Internationale, de Vladimir Tatline. 2. La peinture métaphysique : l’opposition au futurisme Le mouvement pictural italien de la peinture métaphysique prit forme en 1916, lors de la rencontre fortuite, dans un hôpital militaire de Ferrare, des peintres De Chirico, Savinio, Carrà et De Pisis. À partir de 1920, Morandi y adhéra aussi quelque temps. Mais le mouvement naquit d'une série de recherches antérieures. Ainsi, les tableaux de la période parisienne de De Chirico peuvent se ranger

1494. Venise est la grande puissance de l’Italie du Nord, et elle possède la plus grande flotte de la Méditerranée. Peu à peu, elle s’aliène ses voisins, qui veulent secouer la prépondérance vénitienne au début des années 1480 : ainsi, le duc de Ferrare s’oppose à Venise ( en 1482 ) à propos de l’exploitation du sel ( denrée indispensable et riche ), alors que celle ci possède le monopole de cette activité en Italie du Nord. Il décide d’ouvrir ses propres salines, à Commachio. Bien que sans réelle

[Celio]. De prime abord, Calvin souhaite se réfugier à Bâle, où la Réforme s’exprime librement grâce à la voix de Jean Oecolampade, prédicateur suisse-allemand. Il n’arrive pas tout de suite à Genève, il passe par l’Italie où il s’arrête Ferrare en compagnie de Louis Du Tillet chanoine d'Angoulême, celui qui l’avait hébergé lors de son séjour à Angoulême entre 1533 et 1534. Il retourne une dernière fois en France au moment de l'édit de Coucy, edit donnant 6 mois aux protestants pour se retourner

présente au Congrès international d'histoire de l'art à Rome un rapport qui fait sensation sur les fresques peintes du palais Schifanoia de Ferrare. Ces fresques, que les critiques et les historiens n'avaient pas réussi à interpréter, sont expliquées par Warburg comme la représentation picturale d'un programme astrologique, conçu par un humaniste de Ferrare, mais fondé sur les traditions arabe, ptoléméenne et indienne. Pour autant, Warburg refuse de constituer ce texte comme source de la représentation

théologique internationale. Jean-Paul II le nomme en janvier 1981 président de l'Institut Jean-Paul II pour le mariage et la famille. Il est également consulteur de 1983 à 1988 à la Congrégation pour la doctrine de la foi. Il est nommé archevêque de Ferrare le 8 septembre 1995 et il est consacré le 21 octobre. Le 16 décembre 2003, il devient archevêque de Bologne. Il a été créé cardinal par Benoît XVI le 24 mars 2006. Carlo Caffara est titulaire d’un doctorat en droit canon de l'Université pontificale

bénédictin, prêtre séculier enfin, étudiant à 36 ans à la Faculté de Médecine de Montpellier, il est médecin de l’Hôtel Notre-Dame de Pitié du Pont-du-Rhône, à Lyon. Il n’a encore publié que des œuvres d’érudition : les Lettres latines d’un médecin de Ferrare, Giovanni Manardi, une édition des Aphorismes d’Hippocrate, enfin le Testament Cuspidius, pastiche latin du XVe siècle. Tout cela lui rapporte fort peu. Aussi, publie-t-il en 1532, un Almanach pour l’an 1533, qu’il signe de son nom suivi de ses titres

trône, à moins qu'une force irrésistible et hors de toute prévoyance ne l'en renverse ; mais alors même qu'il l'aura perdu, le moindre revers éprouvé par l'usurpateur le lui fera aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se