Ferrare

éduque les chevaux pour en faire prioritairement des montures performantes aux combats. De plus cela faisait partie de l'éducation du gentilhomme que de savoir monter à cheval. Avec Cesare Fiaschi et son traité Trattato dell' imbrigliare, maneggiare e ferrare cavalli ( Traité de la manière de bien embrider, manier et ferrer les chevaux ),Frederico Grisone, le général Pignatelli Cerchiara... les règles de bases de l'équitation prennent formes. Puis elles se transmettent en Allemagne avec le capitaine Georg

l'éclat de leur cité. Titien, Véronèse et surtout Le Tintoret marquent le XVIe siècle vénitien.  Enfin l'Italie du Nord développe également une intense activité artistique. Les artistes sont sollicités par les cours princières, comme à Milan ou à Ferrare. L'essentiel L'Italie du XVIe siècle est le berceau d'une révolution artistique capitale : la Renaissance. Protégés par les papes et les princes, les artistes innovent et multiplient les chefs-d'œuvre. Après Florence, Rome et Venise sont à la tête

l'éclat de leur cité. Titien, Véronèse et surtout Le Tintoret marquent le XVIe siècle vénitien. Enfin l'Italie du Nord développe également une intense activité artistique. Les artistes sont sollicités par les cours princières, comme à Milan ou à Ferrare. VII. La diffusion de la Renaissance artistique en Europe A. Les progrès de l'influence Italienne Durant l'âge d'or de la Renaissance italienne, les influences artistiques italiennes pénètrent lentement en Europe. Boudier Aurélien - 2e B

triomphant 1542 Dédié à la mémoire de GUSTAVE FLAUBERT Wage Du zu irren und zu träumen ! SCHILLER. Voici ce que j'ai lu dans un vieux manuscrit italien : Le chant de l'amour triomphant 88 I Vers le milieu du XVIe siècle, à l'époque où Ferrare s'épanouissait sous le sceptre de ses ducs, protecteurs magnifiques des arts et des poètes, il y avait dans cette cité deux jeunes gens : Fabius et Mucius. Unis par des liens étroits de parenté, de même âge, les deux jeunes hommes ne s'étaient presque

trône, à moins qu'une force irrésistible et hors de toute prévoyance ne l'en renverse ; mais alors même qu'il l'aura perdu, le moindre revers éprouvé par l'usurpateur le lui fera aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve

trône, à moins qu'une force irrésistible et hors de toute prévoyance ne l'en renverse ; mais alors même qu'il l'aura perdu, le moindre revers éprouvé par l'usurpateur le lui fera aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se

trône, à moins qu'une force irrésistible et hors de toute prévoyance ne l'en renverse ; mais alors même qu'il l'aura perdu, le moindre revers éprouvé par l'usurpateur le lui fera aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve

trône, à moins qu'une force irrésistible et hors de toute prévoyance ne l'en renverse ; mais alors même qu'il l'aura perdu, le moindre revers éprouvé par l'usurpateur le lui fera aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve

à moins qu'une force irrésistible et hors de toute prévoyance ne l'en renverse ; mais alors même qu'il l'aura perdu, le moindre revers éprouvé par l'usurpateur le lui fera aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se

trône, à moins qu’une force irrésistible et hors de toute prévoyance ne l’en renverse ; mais alors même qu’il l’aura perdu, le moindre revers éprouvé par l’usurpateur le lui fera aisément recouvrer. L’Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s’il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c’est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve