Festival d'automne à Paris

I / Sebald / (ouverture musique spectacle carton kaiitheater carton 14/11/2011 carton Austerlitz) - à l'occasion des 10 ans de la mort de Sebald, l'adaptation de son livre austerlitz est donné au kaiitheater à Bruxelles pour la 1ere fois. La première représentation eut lieu le 19 janvier 2011 au festival d'aix en Provence. Cette pièce mise en scène par jérome combier et pierre nouvel est accompagnée de 6 musiciens qui forment une partie de l'ensemble Ictus. Le livret musical fut pour sa

Valère Novarina est né en 1947 à Chêne-Bougeries, de Manon Trolliet, comédienne, et de Maurice Novarina, architecte. Il passe son enfance et son adolescence à Thonon, sur la rive française du Léman. A Paris, il étudie à la Sorbonne, la philosophie et la philologie. Il lit Dante pendant une année et rédige un mémoire sur Antonin Artaud théoricien du théâtre. Il rend souvent visite à Roger Blin  qui projette de mettre en scène l’un de ses textes. En compagnie de Jean Chappuis, il fait l’ascension

Conception graphique : Atelier ter Bekke & Behage / Licence n° Licence n°1-1067344. 2-1066617. 3-1066618 www.colline.fr 01 44 62 52 52 15 rue Malte-Brun, Paris 20e d’après le roman de Thomas Bernhard mise en scène, adaptation, scénographie, lumières Krystian Lupa Grand Théâtre du 27 septembre au 25 octobre 2013 d’après le roman de Thomas Bernhard mise en scène, adaptation, scénographie, lumières Krystian Lupa Łukasz Twarkowski collaborateur artistique costumes interprète Piotr Skiba

CHANSON D’AUTOMNE Nature : poème Titre de l’œuvre: Chanson d’automne Nom de l’artiste : Paul Marie Verlaine Date et lieux de vie : né à Metz le 30 mars 1844 / mort à Paris le 8 janvier 1896 Lieux de vie : Essentiellement à Paris Chanson d’automne fait partie du recueil de poèmes Saturniens

la firme Maggi à Zurich, tout en étant en rapport avec l’avant-garde naturaliste dont il se distinguera bientôt par un esprit de satire nourri de rébellion et d’anarchie. En 1889, il s’installe à Berlin puis à Munich et commence à écrire L’Éveil du printemps (1890-1891). Montrant un groupe d’adolescents affrontés, dans leur éveil sexuel, au monde bien-pensant des adultes, la pièce sera longtemps perçue comme scandaleuse. Tout comme l’amour libre de Lulu, jeune prostituée opposée à un univers masculin

Paris pendant la Belle époque : Ville-lumière. Fin XIX° Siècle → 1914 La Belle Époque est une période historique de progrès social, économique, technologique et politique en Europe, s'étendant de la fin du XIXème siècle au début de la Première Guerre mondiale, en 1914. C'est aussi un grand moment de rayonnement de la culture et de la science française. En quoi Paris peut-elle être qualifiée de ville-lumière pendant cette époque? Dans un premier temps, nous verrons comment le rayonnement de Paris

Pendant soixante minutes, j'ai été immergé dans un fascinant brouhaha sonore composé par Cage à partir d'enregistrements réalisés en évoquant James Joyce dans Finnegans Wake, couvrant la voix du compositeur lisant des passages du livre. On entend les sons de la vie au loin une cornemuse ou un violon, une voiture, les pleurs d'un bébé, des tourbillons d'eau. Dans le bruit de la vie, la musique n'est qu'un son parmi tant d'autres, idée maîtresse dans l'œuvre de Cage, qui est en lien avec celle de

Constantin Brancusi, sculpteur roumain, naît en février 1876 à Hobitza. Il décède le 16 mars 1957 à Paris. Précurseur de l'art abstrait, Brancusi est soucieux de réduire les formes à leur plus simple expression, privilégiant l'ovoïde et utilise des matières brutes, non retravaillées. En 1884, Brancusi travaille comme apprenti chez un tonnelier. Dans les années qui suivent, il reprend ses études, tout en travaillant chez un teinturier, puis comme garçon de café et dans une épicerie-restaurant

MASTER 234 « Management des Organisations Culturelles » Université Paris Dauphine 2006-2007 La coopération théâtrale franco-russe : enjeux et perspectives Par Tatiana KARMANOVA Sous la direction de M. Patrick OLIVIER Remerciements Je tiens à remercier tous ceux qui m’ont aidé à réaliser ce travail : Monsieur Patrick OLIVIER, mon directeur de mémoire, pour sa présence, ses conseils et ses encouragements ; Eva BECOUARN et François PERRIN, pour leur amitié et leur dévouement ;

page 19 page 22 « Un homme tente de retenir par tous les mots qu'il peut trouver un inconnu qu'il a abordé au coin d'une rue, un soir où il est seul. Il lui parle de son univers. Une banlieue où il pleut, où l'on est étranger, où l'on ne travaille plus ; un monde nocturne qu'il traverse, pour fuir, sans se retourner ; il lui parle de tout et de l'amour comme on ne peut jamais en parler, sauf à un inconnu comme celui-là, un enfant peut-être, silencieux, immobile. » Bernard-Marie Koltès 3