Feu de forêt

uni la créature ;Et marchant sur la terre elle était dans les cieux. Les pauvres bien mieux qu'elle ont senti sa richesseL'humilité, la peine, étaient son allégresse ;Et son dernier soupir fut un soupir d'amour. Passant, qu'à son exemple un beau feu te transporte ;Et, loin de la pleurer d'avoir perdu le jour,Crois qu'on ne meurt jamais quand on meurt de la sorte. Epitaphe sur la mort de damoiselle Elisabeth RanquetCe poème a été écrit par Pierre Corneille au 17ème siècle.J'ai choisit ce texte

D’arbres étalés. Au fil du courant, Les canotiers se défilent Hamonieusement, Pour atteindre leur rendez-vous. La cohésion de cette nature Relève d’un autre âge Non révolu. -Hélène Roy, poésies givrées Nuit en forêt À mesure que la nuit approche, La forêt se garnit peu à peu De bruits éparses et variés, Entraînant avec elle Tout être vivant En mal de méditation. Les écureuils se hâtent De récolter la nourriture Et les hiboux se précipitent Pour retrouver leur domaine.

c’était le feu-père, continuait-il tout en se grattant. Les arbres étaient fils et filles, mais chacun d’eux ensuite, quand les branches d’un autre arbre l’approchaient d’assez près, pouvait devenir un feu-père. L’application de cette découverte m’apparut sans délai : tout ce que j’avais à faire, c’était de ramasser quelque branche tombée, de l’approcher d’un arbre et de l’emporter. Plus facile à dire qu’à faire ! car la chaleur, bien entendu, était infernale, et je crus bien prendre feu moi-même.

un nid de branches aromatiques et d’encens, y mettait le feu et se consumait dans les flammes. Des cendres de ce bûcher, surgissait un nouveau phénix, qui contrôlait le feu de mieux en mieux à chaque résurrection ; c'est aussi pour cela qu'on le nomme oiseau de feu (ses ailes se teintaient d'un rouge flamme et se réchauffaient jusqu'à ce qu'un feu ardent en sorte, tandis que son bec pouvait, s'il le voulait, embraser une forêt avec un feu presque aussi puissant que les flammes du Soleil).

la forêt amazonienne je choisis de me meler à eux pour obtenir leurs conseils. Les indigènes ressemblaient à une grande famille unie et soudée ; ils étaient accueillants. Une femme me servit un plat traditionnel composé de riz, de poulet et d'olives, le tout enroulé dans une feuille de bananiers : le Juane. Je me plaisais dans cet endroit : l'air était doux, les parfums boisés et les odeurs du festin créaient en moi un sentiment de tranquillité et d'apaisement. La flamme rouge braise du feu dansait

Les enfants font du feu grâce aux lunettes de Porcinet, sur le somment de la montagne pour attirer l’attention d’un bateau qui passerait. Mais il n’y a pas de fumée. Le feu mal maîtrisé se transforme en incendie et un petit disparaît. Pendant que les autres s’amusent Jack chasse et Simon et Ralph construisent des cabanes sur la plage. Jack et Ralph se dispute. Simon donne aux petits des fruits et s’aventure dans la forêt. Camouflé, Jack part chasser avec les chasseurs, mais je feu s’est éteint. Ils

île. Chapitre 2 Les enfants font du feu grâce aux lunettes de Porcinet, sur le sommet de la montagne pour attirer l’attention d’un bateau qui passerait. Mais il n’y a pas de fumée. Le feu mal maîtrisé se transforme en incendie et un petit disparaît. Chapitre 3 Pendant que les autres s’amuse Jack chasse et Simon et Ralph construisent des cabanes sur la plage. Jack et Ralph se dispute. Simon donne aux petits des fruits et s’aventure dans la forêt. Chapitre 4 Camouflé, Jack part chasser

dit-il en m’aidant à me lever » Nous nous dirigâmes chez lui. Sur le chemin vers sa maison, je décrouvris un monde fantastique. Un monde magique. Je ne savais plus où donner de la tête. Devant moi, je vis un cracheur de feu. Il soufflait très fort et chaque fois un petit oiseau de feu s’envolait pour disapraître dans des éclats de braises. Mais ce n’était pas tout. A droite un jeune garçon chantait une comptine qui animait un pot de terre devant lui. Une petite pousse d’arbre en sortit. Celle-ci devint

Carew "in a great flame of anger". Stevenson utilise ici un langage métaphorique comparant l'attaque soudaine de Hyde au feu. Cette métaphore montre à quel point Hyde est dangereux, car comme nous le savons, le feu est aussi une force dangereuse et destructrice de la nature, qui peut devenir incontrôlable. Cette métaphore reflète aussi le puissance physique de Hyde. Le feu est une force très puissante qui peut brûler de grands bâtiments et détruire des paysages entiers. Cela veut dire que la

créature L’arbre semble contenir à lui seul tout l'univers Référence aux quatre éléments  l'eau, la terre, l'air et au feu. Pour marquer le mouvement qui anime l’arbre : • L’air : "il soufflait des faucons et des taons", • la terre: "pétri d'oiseaux", "charrue (...) de corneilles", • l'eau « jaillissements d'embruns", "il éclaboussait (...) des essaims" • le feu : "il fumait de bergeronnettes et d'insectes", "il crépitait comme un brasier". Référence aux 4 règnes de la nature :