Fezzan

Commencée durant le premier trimestre 1915, elle était encadrée par des officiers turcs. Leur but consistait à franchir la frontière pour semer ensuite le désordre dans la Régence. Si elle parvint à évincer les troupes italiennes dans la région du Fezzan en les obligeant à gagner les postes riverains français où elles étaient recueillies, ce mouvement terroriste ne put se maintenir sur le territoire tunisien malgré le soutien de certaines tribus comme les Merazigues ou les Oudernas. Les goumiers et

notons que ce n'est qu'en 1934, après la fusion de la Cyrénaïque, de la Tripolitaine et du Fezzan que le territoire a pris officiellement le nom de Libye. Le nouvel État demeure cependant une colonie italienne pour laquelle le 23 octobre 1942 sera un date « noire ». En effet, à cette date correspond à une nouvelle division territoriale: les Britanniques occupent la Cyrénaïque et prennent Tripoli alors que le Fezzan passe sous le contrôle des Français. Neuf années plus tard, le 24 décembre 1951, eut lieu

19 mercenaires Sud-Africains dans ce qui semble être une opération d'exfiltration266. Combats dans le Fezzan[modifier | modifier le code] Article détaillé : Campagne du Fezzan. Le 17 juillet, les troupes rebelles toubous prennent le contrôle d'Al Qatrun mais la quittent rapidement le 23 juillet suite à plusieurs attaques loyalistes267. Le 18 août, la rébellion prend le contrôle de la ville de Mourzouq, deuxième localité du Fezzan qui constitue un nœud de communication important. Les troupes rebelles s'emparent de

de Tamanrasset 1998 Rapport sur le Développement dans le monde 1994. Banque mondiale TANGER ALGER   TUNIS Tlemcen Tahert    Kairouan  Fes TRIPOLI   Biskra Marakech  Ouargla   Sijilmasa El Goléa   Fezzan Ghato   HOGGAR  Taoudeni Koufra Tibesti Awdaghost   Tadamaka Agadès Tombouctou  Gao  Kamo NIGER ----- Pistes chamelières transsahariennes pré-coloniales S1 ESPAGNE ALGER ORAN    TUNIS Oujda 

6 millions d’individus). Et parmi ces 30 tribus principales, 4 grandes tribus les Kadhafa, les Megarha, les Warfalla et les Touaregs - dirigent presque à elles seules 1.200 tribus libyennes secondaires. La première est basée dans la région de Fezzan, très riche en hydrocarbures. Ainsi, cette tribu est logiquement la plus riche et donc la plus armée. Comme son nom l’indique, la tribu des Kadhafa est la tribu à laquelle appartenait Kadhafi et ce dernier s’est donc largement appuyé sur cette

tonnes en 2006, 2M de voyageurs dans le bassin de la Joliette), Trieste en Italie, Algésiras en Espagne et Arzew en Algérie. Beaucoup des routes maritimes ont été renforcées par l’acheminement de matières premières et surtout d’hydrocarbures, venant du Fezzan libyen ou du Sahara algérien (chaque année l’Algérie vend pour 8MM d’euros d’hydrocarbures à la France. Ces ports sont, grâce à la conteneurisation, les points de départ de grandes routes terrestres vers l’Europe rhénane et anglo-saxonne. II-LE

est révélatrice de cet emprunt. Le narrateur-conteur annonce au lecteur que « la véritable histoire des Nègres commence beaucoup, beaucoup plus tôt, avec les Saïfs, en l’an 1202 de notre ère, dans l’Empire africain de Nakem, au sud de Fezzan »[footnoteRef:1] et introduit le récit en le faisant remonter au temps de la fondation de l’Empire. La répétition de l’adverbe « beaucoup » rattache également le récit à une formulation orale, amplifiant la signification du mot utilisé par sa répétition

encore imprécise bien que les études en cours montrent que la connaissance est en train d’évoluer et que le mégalithisme maghrébin apparaît comme plus ancien qu’on ne le pensait ; les datations obtenues dans le sahara central (Hoggar, Tassili, Aïr, Fezzan) permettent d’ores et déjà de situer ses débuts au Néolithique. L’analyse spatiale des monuments funéraires traduit des distributions territoriales certainement non aléatoires ; on peut même aujourd’hui proposer 10 une géographie protohistorique

syro-libano-mésopotamiens; – dialectes égyptiens avec les parlers de haute ةgypte, de basse ةgypte et des tribus nomades du Nord-Ouest; – dialectes soudanais et tchadiens; – dialectes libyens avec des sous-groupes pour la Tripolitaine, la Cyrénaïque et le Fezzan; – dialectes tunisiens avec les parlers des villes (Tunis, Kairouan, Sousse, Sfax), du Sahel, des bédouins du Nord-Est (proches de ceux des bédouins de l’Est algérien), des bédouins du Sud (proches de ceux des nomades de Tripolitaine); – dialectes

activités de chasse de l’aristocratie égyptienne. Il faut passer par ces oasis lorsqu’on veut se diriger, par le sud, vers le Tchad ou, par le nord, vers le Fezzan, puis le Niger. L’archéologie prouvera peut-être un jour si ces grands axes de circulation africaine ont été utilisés par les Egyptiens pour parvenir au Tibesti, au Darfour, au Tchad, au Fezzan ... Ce que l’on sait, c’est qu’à partir de la XIXème dynastie, les Libyens constituent pour les Egyptiens une réserve de main d’oeuvre et de soldats