Fiche De Lecture La Société De Consommation Jean Baudrillard

Walter, université Paul Verlaine-Metz (directeur) 1 Remerciements Pour commencer, j’aimerai remercier Jacques Walter pour son ouverture face à ce sujet. Permettez-moi aussi de vous remercier, mesdames et messieurs les membres du jury, pour votre lecture, votre attention et vos remarques. Merci aux responsables des magasins H&M et ZARA et surtout aux employés qui ont parfois pris des risques considérables en me révélant certaines informations classées confidentielles. Merci également à tous les jeunes

André-Yves, Directeur de l'Observatoire de la Révolution de l'Intelligence à Futuribles REDSLOB Alain, Professeur d'économie, ancien doyen de la faculté des Sciences Economiques de Paris II ZEFFERI Bruno, Directeur Cegos Dirigeants 2 Comité de lecture Liste des membres : AGARWAL Aman, Professor of Finance and Director of Indian Institute of Finance, Editor of Finance India CHEN Kevin C., California State University, Editor, International Journal of Business CLARK Ephraïm, University of Middlesex

(Laios) Marc Augé, directeur d’études, Ehess Jean Davallon, professeur, Université d’Avignon et des Pays du Vaucluse Henri-Pierre Jeudy, chargé de recherche, Cnrs (Laios) Jean-Didier Urbain, professeur, Université de Versailles-Saint Quentin en Yvelines tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 2 tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 3 4 Remerciements tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 Je remercie pour nos discussions, leurs lectures, leurs conseils, et leurs critiques et / ou

ses études lui permet de se rendre à l’étranger. Il s’installe alors définitivement en France en 1984. Il entreprend des études de cinéma à l’IDHEC 1 . Cinq ans plus tard, il réalise son premier long métrage, Chine, ma douleur 2 qui remporte le prix Jean Vigo. Il filme ensuite Le Temple de la montagne, Le Mangeur de lune et Tang le onzième. En 2000, son premier roman, Balzac et la Petite Tailleuse chinoise, est salué par la critique et séduit le grand public. Le succès l’encourage à porter lui-même

ne mangent toujours pas à leur faim. Les écarts se creusent et les classes moyennes se paupérisent. » « Le centre de gravité de l’économie mondiale se déplace. Tensions et réflexes protectionnistes s’intensifient tandis que les aspirations de la société civile vers une résurgence de « valeurs » se manifestent. » dF C o l l e c t i o n d e s r a p p o r t s o f f i c i e l s Rapport intermédiaire au Président de la République De la mondialisation à l’universalisation : une ambition sociale

Motte pour leur aide précieuse et Antoine Barbier-Bouvet pour sa bienveillance et sa bonne humeur. Je remercie ensuite toutes les personnes qui ont accepté de me recevoir et de me consacrer une partie de leur temps : Antoine Vaccaro, Laurent Terrisse, Jean-Pierre Rousset, Isabelle Karastamatis et Nicolas Narcisse de TBWA/Corporate, Catherine Ferrant de Total, Gilles Carbonnier du Comité International de la Croix Rouge, JeanPierre Piotet de Hill & Knowlton, Caroline Fourest de PlayBeCite, Fred Bardeau

des propositions 163 Lettre de mission du président de la République 167 Annexes 169 Annexe 1 Documents complémentaires 171 Extrait du rapport au Premier ministre Pour sortir de l’isolement, un nouveau projet de société, par Christine 175 Boutin, La Documentation française, 2003 Annexe 2 Contributions Contribution de Muhammad Yunus, économiste, prix Nobel de la paix 190 Contribution de Pierre Bellanger, président-directeur général de Skyrock

les dirigeants d’entreprise qui ne comprennent pas forcément la distinction entre le parrainage et le mécénat. A cet effet, Michel Serres « propose qu’on garde l’appellation de mécénat aux aides culturelles pures, aux dons accordés à ceux que la société actuelle, ni moins ni plus que les précédentes, prive toujours de tout bien, jusqu’à en mourir, et de nommer parrainage ou, pis, sponsoring, les dons qui reviennent, par l’échange rapide en publicité, en nom propre sur les banderoles, pour le sport

idées reçues étant indubitablement abondantes dans toutes sortes de domaines, le monde du management n’échappe pas à cette règle. Plus encore, la vitesse de propagation des discours managériaux et des méthodes de gestion dans toutes les sphères de la société, les entreprises, bien sûr, mais aussi les administrations ou les associations, rend urgente la nécessité de se pencher sur ces vérités non discutées, véhiculées tant par les dirigeants que par les politiques, les responsables associatifs ou encore

freudienne1, qui signifie la recherche active de l’échec et de la souffrance afin d’assouvir un besoin de châtiment. En langage usuel, le mot « moral » a deux significations, celle qui concerne les mœurs, les règles de conduite en usage dans une société, le bien, le devoir, les valeurs qui doivent régir notre comportement, et celle qui est relative à l’esprit, au mental, au psychique. Le qualificatif « moral » désigne donc essentiellement un phénomène d’ordre psychologique. tel-00343544, version