Fidel Castro Et Che Guevara

ravivent la tension: 1) La construction du mur de Berlin en août 1961 est destinée à enrayer l'exode des allemands de l'Est vers la RFA. 2) La crise des missiles de Cuba en octobre 1962 met le monde au bord de la guerre. Cuba, après la révolution de Fidel Castro, a rompu ses liens avec les Etats-Unis et s'est tourné vers le Communisme et l'URSS. Cette dernière profite de la situation stratégique de l'île au large des Etats-Unis pour installer des missiles en échange de son aide financière. La résisitance

radicales. Pour défendre leurs idéaux ou renverser le pouvoir en place, certains mouvements d’extrême gauche recourent à la violence. C’est ce que l’on voit en 1959, à Cuba, avec le renversement du dictateur Batista par les guérilleros de Fidel Castro et Che Guevara. Aux Etats-Unis, après l’assassinat de Martin Luther King, des groupes comme les Black Panthers sèment la panique parmi la population blanche pour défendre les droits des noirs. En Italie, se sont les Brigades rouges qui débutent leur campagne

provoque, après l’échec de négociations, l’édification d’un mur au cœur de Berlin qui isole hermétiquement la RDA pour plus de vingt ans. Pour Cuba, dirigée depuis 1959 par Fidel Castro, que l’hostilité américaine conduit à se rapprocher de l’URSS, la crise comporte deux phases. Les E.U échouent en 1961 à renverser le régime de Castro, avec une tentative de débarquement d’exilés anticastristes qu’ils soutenaient (Baie des cochons). L’URSS apporte une assistance sur divers plans à Cuba, mais surtout entreprend

certain succès dans les années 60 mais les trois leaders sont morts et les successeurs de ces personnages historiques ont eu tendance à radicaliser l’idéologie du mouvement et souvent à inféoder leur position à celle de l’URSS. Ces successeurs étaient Castro, Kadhafi ( chef d’Etat de la Lybie depuis 1969). Cela entraîne un déclin du non alignement : alignement sur URSS et par ailleurs, chute du communisme. Le pôle de référence de ces pays va s’effondrer. En 1954, Tito fit les premiers pas pour former

propagande pacifiste et marxiste en Frce et All (agitation à l’arrière : grèves, révoltes) -depuis 1916, opinion de plus en plus partagée entre les « jusqu’au-boutistes » (ceux qui continuent la guerre) et pacifistes (plus grande partie socialistes fidèles à l’Union sacrée). - Influence marxiste depuis le début de la guerre : (nombreuses conférences et réunions depuis le début de la guerre qui réclame la fin des combats ou une transformation de la guerre européenne en guerre des ouvriers contre les

le document, on fera observer le titre et on demandera aux élèves ce qu’ils savent de la situation actuelle à Cuba. On pourra ainsi rappeler que Fidel Castro, 106 algo mÁs qui prit le pouvoir en janvier 1959 après avoir renversé le dictateur Fulgencio Batista, dirigea Cuba jusqu’en juillet 2006. à cette date, il remit le pouvoir à son frère Raúl Castro qui est encore actuellement chef de l’état cubain. Ce changement ne permet pas pour autant aux cubains de disposer d’une liberté d’information beaucoup

les années 30 et les années 50, et on le retrouve dans tous les cas de figure (dictateur militaire comme le général Juan Domingo PERÓN. Le caudillisme est la forme latino-américaine du césarisme. Il se présente ni de gauche, ni de droite, mais Fidel CASTRO (Cuba) est un caudillo de gauche, tout comme Hugo CHAVEZ (Venezuela)… C’est donc un pouvoir personnel qui prétend représenter le peuple. C’est un signe que les institutions n’arrivent pas à fonctionner. Le rôle de l’armée Elle est moins nombreuse

à une quasi parité de l'armement nucléaire (A et H, air, terre, mer). Les Soviétiques n'ont cependant pas de base de missiles proche des USA. La "révolution Cubaine" va leur fourni un allié inattendu. A Cuba un mouvement de guérilla conduit par Fidel Castro a renversé en 59 un dictateur pro américain. Les USA vont être si méfiants puis hostiles vis à vis du nouveau, jusqu'à assurer la logistique d'un débarquement de cubains anti-castristes en 61, que celui-ci va se tourner vers l'URSS et prêter son

discours sans cesse récurrent d’insister sur le refus de la propagande. Au Québec aussi, le même message est répété : à plusieurs reprises dans les colloques des R.I.T.I. et dans plusieurs articles du dossier de Jeu de 2004 sur le TIV (Vaïs ; Lepage ; Castro ; Lamoureux ; Berthelet). Il faut questionner, critiquer, provoquer une réflexion, mais ne pas tenter de défendre une thèse unique, encore moins une solution toute faite. L’idéal théorique est davantage celui de la philosophie éthique et politique

ainsi selon un système pyramidal jusqu’au sommet de l’organisation. Le sommet de l’organisation comporte trois structures : le comité central du parti (200-300 membres triés sur le volet qui sont des cadres ayant mérité par leur travail et surtout fidèle à la direction. Ils sont repérés dans les structures de base) qui figure le Parlement du parti et en même temps celui de l’état. La deuxième structure est le bureau politique qui l’exécutif du parti. Il y a 15 à 20 membres désignés par le comité central