Fièvre

Démarche de soin Mr S Motif d’hospitalisation : Mr S 67 ans (26.11.47) entrée le 6.05.15 pour prise en charge d’une suspicion de Syndrome malin à la suite d’une augmentation du ttt neuroleptique dans le contexte d’un trouble bipolaire. Antécédents : M -> Trouble bipolaire ttt par neuroleptique et thymoregulateur Diabète de type 2 Crise d’épilepsie AC / FA Mode de vie : Marié avec une femme très présente pendant l’hospitalisation Histoire de la maladie : Patient

Complications de l’immobilité et du décubitus : prévention et prise en charge L’immobilité et la position couchée sont des situations qui, si elles sont prolongées entraînent des complications qui peuvent être graves. Ne concerne pas uniquement les personnes ayant subi une intervention, mais aussi les personnes au « repos strict » au lit plusieurs jours, les personnes âgées à mobilité réduite, les personnes handicapées en fauteuil roulant… 1) Thrombose veineuse profonde : Causes :

U.E 5.3 TD sur situation clinique emblématique de chirurgie digestive Mr M Gérard 51ans est hospitalisé le 3 avril dans un service de médecine à 1h 30, pour soins et surveillance post opératoire, suite a une cure chirurgicale d’une péritonite sur sigmoïdite diverticulaire effectuer en urgence le 2 avril a 22h15. Mr M , 58 ans mesure 1m80 et pèse 95 kg, il a donc une IMC de 29,3 il présente un surpoids car son IMC n’est pas compris entre 18,5 et 25,5 mai y est supérieur. Il est divorcé et n’a

Contexte : - R, 4ans est un garçon atteint d’encéphalopathie. Il a été hospitalisé au service de pédiatrie le 25/10/10 en provenance des Urgences Pédiatriques pour un tableau d’altération de l’état général, dénutrition et insuffisance respiratoire) Trajectoire de vie : - R est né le 26/06/06 et est arrivé le jour de son hospitalisation avec ses parents et ses frères. Le voyage a été réalisé en camion et a duré 5jours. R n’avait aucune couverture sociale à son arrivée mais

Affections neurologiques I Les convulsions Crise d'origine cérébrale et se caractérise par des secousses, des contractions musculaires involontaires passagères d'un ou plusieurs muscles suivi de décontractions. Elles sont localisées ou généralisées à l’ensemble du corps. Beaucoup de ces crises sont simples ou bénignes elles peuvent être grave quand elles surviennent chez un enfant de –12 mois. Elle constitue une urgence thérapeutique car au delà de 20 minutes peut mettre en jeu le pronostic

LA FIEVRE APHTEUSE La fièvre aphteuse est la maladie la plus contagieuse du bétail. L'introduction de son agent au Royaume Uni en février 2001 a causé en quelques semaines seulement, une épizootie* majeure comportant plus de 2000 foyers. Due à un virus affectant à la fois les bovins, ovins, caprins, porcins, la fièvre aphteuse se caractérise par une forte morbidité et une mortalitée faible. Elle engendre cependant d'importante pertes de production et constitue une entrave très importante au commerce

lors des atteintes infectieuses de l'organisme. Il est à différencier de la réaction inflammatoire. Syndrome infectieux clinique La fièvre Elle est sans signes cliniques contrôlables. Elle sert d'orientation diagnostique. Surveillance clinique. Elle se définit par une température supérieure à 37.5°. Elle est surveillée par une courbe. Hyperthermie ≠ fièvre Physiopathologie Phase d'accès Phase d'état Phase de défervescence Retour à la normale Les signes cardiaques Le système nerveux

dirige l'une des deux cliniques de la Maternité de Vienne. C'est dans cette clinique où travaillent les étudiants en médecine, plutôt que dans celle, dirigée par Bartch, où ce sont des sages-femmes qui accouchent, qu'il y a le plus de victimes de la fièvre puerpérale. Semmelweis en vient à dénoncer les étudiants puis, plus spécifiquement, les particules cadavériques qu'ils apportent à la salle de dissection et finalement toute substance organique en voie de décomposition, pouvant provenir d'un cadavre

Fausses couches par hyperthermie Risque de Fausses couches risque de malformation. dans 30% des cas mais pas de Hépatite B inactivé fraction du virus Méningocoque A et C Rubéole VACCINS A NE PAS FAIRE PENDANT LA GROSSESSE Rougeole. Oreillons Fièvre Jaune vaccin vivant Polio (Voie orale, vaccin vivant) BCG Diphtérie VACCINS DÉCONSEILLE OU OCCASIONNELS PENDANT LA GROSSESSE Thyphoide. Hépatite A Rage Pneumocoque Hémophilus influenzae B Coqueluche Déconseillé par le Center disease control

|Arrêt de la multiplication de Salmonella |Les Salmonella sont aussi responsables d’intoxications | | | |alimentaires. Ils causent la fièvre typhoïde, certaines | | | |gastro-entérites et des salmonelloses. | |+4 |