Figure De Style Le Cageot

revanche Il faut deux noires pour une blanche Ça fait un sacré distinguo Elle aimait tant la liberté Lily Elle rêvait de fraternité Lily Un hôtelier rue Secrétan Lui a précisé en arrivant Qu'on ne recevait que des Blancs Elle a déchargé des cageots Lily Elle s'est tapé les sales boulots Lily Elle crie pour vendre des choux-fleurs Dans la rue ses frères de couleur L'accompagnent au marteau-piqueur Et quand on l'appelait Blanche-Neige Lily Elle se laissait plus prendre au piège Lily Elle

large, c'est-à-dire des animaux (crevette, papillon, escargot), des minéraux (le galet), des objets (le cageot, la bougie), des comestibles (le pain, l'orange). Ponge définissait ses textes comme des « proèmes », un terme qu'il avait inventé lui-même, réunissant l'idée de prose et de poème. « L'huître » fait partie de ses textes les plus célèbres et Francis Ponge l'a souvent commenté lui-même. Le style frappe tout d'abord par sa dimension descriptive et objective très marquée, à l'opposé d'une conception

triste , qui s’est lentement amassée là, au fond d’une âme ». « Prenez-donc ce miroir et regardez-vous-y. » Hugo préface contemplations Le poète est ancré dans le monde des choses qui nous entourent : Le Buffet Rimbaud, l’Horloge, Baudelaire , Le cageot, l’huître F.Ponge « quand je vous parle de moi, je vous parle de vous »dit d’ailleurs Hugo « hyprocrite lecteur, mon semblable,mon frere » Baudelaire II) Le poète est différent de l’homme A) UN talent propre Une inspiration inée/des

l'impuissance, l'insuffisance des mots. Pour lui, le poète doit modifier le langage, donc le maîtriser, et commencer par dire le plus simple. Il s'attache donc à écrire des « définitions descriptions » des objets les plus simples qui nous entourent (le cageot, l'huître, le pain...).Selon lui, un poème essaie d'établir des liens entre l'objet d'un côté et le mot de l'autre - ce que Ponge appelle « fonder (le mot) en réalité » : il décrit par exemple la forme donnée au mot par les lettres qui le composent

objectifs sont les suivants : imposer la langue française comme langue littéraire et la nourrir de termes régionaux tout en faisant de la langue poétique une langue différente de celle qu’on parle dans la vie quotidienne, une langue nourrie de figures de style s’inspirer des Italiens et surtout Pétrarque : ses sonnets sont imités, et cette forme poétique devient un modèle d’écriture s’inspirer de l’Antiquité grecque et latine pour les thèmes la poésie devient surtout lyrique, amoureuse, mélancolique

aussi expérience individuelle : "souviens-toi". L'utilisation de l'impératif "souviens-toi" montre que ce n'est pas un choix, mais une obligation : on ne peut pas se soustraire au temps. Ensuite, le poème devient une prosopopée (figure de style qui consiste à faire parler et agir une personne que l'on évoque) , comme le montre l'ouverture des guillemets au vers 2 (c'est donc l'horloge qui parle), guillemets qui seront refermés à la fin du poème. Cela rend le poème plus vivant

la prose. Le mot « poésie » vient du grec « poiein », qui signifie « faire, créer ». Elle est un genre unique dans la mesure où c’est presque uniquement par la forme du poème, c’est-à-dire avec le jeu des sonorités, le rythme, la musicalité et les figures, le travail sur les mots, en fait toutes les ressources du langage, que le poète se donne un pouvoir d’invention, dans l’objectif d’exprimer ou de suggérer quelque chose. A l’origine, la poésie était chantée accompagnée d’une lyre, l’instrument de

retient surtout son recueil poétique Le parti pris des choses, publié en 1942. Francis Ponge traite des « objets » de manière originale, se livrant à un « objeu » qui doit mener à l’« objoie ». Des thèmes du quotidien comme l’huître, le pain ou le cageot sont ainsi abordés à travers des textes en prose mais selon une démarche à la fois poétique et savante au point de vue de la langue. Ce qui caractérise son écriture Francis Ponge est un poète moderne qui n’utilise pas de vers rimés. • La force

l’inscrit doublement, de par son origine latine (clamare : crier) et son écho biblique, dans le sillage de la parole de Jean le Baptiste : « Je suis la voix qui crie à travers le désert ». Le cri, dans le roman, est élevé progressivement au rang de figure : point de rupture pour le narrateur et personnage, il est d’abord un cri réel, celle d’une noyée qu’il n’a pas secourue par peur ou par lâcheté et qui ne cessera dès lors de le hanter. Il prend ensuite la forme d’un appel qu’il lance à ses frères

maîtresse à qui l’on a d’abord confié la tâche, il accepte malgré tout). L’amiral Suffici est simplement très « suffisant » dans son attitude etc. On comprend ses jeux de mots tout comme la lecture de son texte en est accessible. Barker utilise un style simple, facile à lire, un vocabulaire tranchant et sans complexe des mots crus. Exemple : La première phrase d’ouverture de la pièce prononcée par Galactia est « Les morts flottent le cul à l’air ». On en retrouvera bien d’autres sortant de la bouche