Figure De Style Les Regrets Du Bellay

d’application : G. Sand ; H. de Balzac L’orthographe ◗ Exercices d’application : P. Loti ; G. de Maupassant L’énonciation, la communication et la modalisation ◗ Exercices d’application : J. Racine ; Hergé ; P. Modiano ; J.-J. Rousseau ; V. Hugo ; É. Zola Les figures de rhétorique ◗ Exercices d’application : V. Hugo ; G. de Maupassant ; Voltaire ; É. Zola FICHE 7 201 Chapitre 2 Les types de texte Le texte narratif ◗ Exercices d’application : Voltaire ; J. Verne ; P. Corneille FICHE 1 FICHE 2 FICHE

plusieurs appartements royaux. La galerie supérieure livrait passage à des canalisations pour l'eau, montée du fleuve (l'Euphrate) par des machines que personne ne pouvait deviner de l'extérieur ». Figure 1 - Découpage actuel du moyen orient et position de la mésopotamie. Figure 2 - Représentation imaginaire d'une partie des jardins suspendus de Babylone L'époque de construction est très incertaine, probablement dans la première partie du 1er Millénaire avant J.C., et la surface

Orientales par la Mer Noire et la Colchide. Cet ouvrage est fort l'érudiestimé le style en est simple et précis : ; ; tion de l'auteur lui a permis de contrôler sur les lieux mêmes les passages des historiens et des parut en 1615, se distingue de la plupart des relations qui l'exactitude des descrip- qui ont paru vers cette époque par la concision et la netteté du récit, le style clair et simple, tions et surtout l'excellence de la méthode du voyageur,

état originel. Les lois naturelles, fort peu abâtardies par les nôtres, sont encore leurs commandements ; c'est même dans une telle pureté que je me prends parfois à regretter vivement que la connaissance n'en soit pas venue plus tôt [dans nos pays], du temps où il y avait des hommes qui auraient mieux su en juger que nous. Je regrette que Lycurgue et Platon5 ne l'aient pas eue ; il me semble, en efet, que ce que nous voyons par expérience dans ces nations-là surpasse non seulement toutes les peintures

de] ces nuées de moustiques, ces murs moisis, ces effluves d’eau stagnante. » 43 « Je me sens affaibli, je me sens épuisé, étourdi. J’ai les yeux embués en permanence et tous les membres endoloris. Je souffre à chaque pas et ce voyage me pèse. Je regrette de l’avoir entrepris. (…) J’étais à deux doigts de mourir. » 44 Ce dernier motif de la maladie du voyageur est un canon de la littérature de voyage qui puise sa sève dans la mémoire collective : de la mort de Saint-Louis sur la route des Croisades

facilité ne serait pas toujours de bon aloi). Comment présenter une citation, à l’écrit ou à l’oral ? D’abord, un rappel élémentaire : à l’écrit, il faut en principe employer des guillemets. On utilise aussi les virgules anglaises, ou encore le style indirect. Diverses expressions permettent de nuancer l’emploi des citations. Le terme de base est la préposition selon, ou son synonyme d’après. Vous pouvez vous constituer un recueil personnel de formules, afin d’en varier l’usage au cours de vos rédactions

vérité : sa préférence personnelle aurait été de continuer à vivre en Utopie – où il est resté cinq ans – mais le sentiment du devoir d’en parler au monde lui a fait braver les dangers du retour en Europe 18. Il ne se distingue pas non plus par un style brillant, mais par la vérité et la simplicité de son discours. 15. Prévost 1978, 37. 16. République, VIII, 552 b (trad. Baccou 1966 qui sera utilisée pour toutes les autres citations de la République). 17. Pour une analyse approfondie du parallèle

Desqueyroux, Deux femmes:Deux destins : mémoire de Magistère, Université al-Mustansiriya, Bagdad, 1995. 14 littérature française, en étudiant l’une de ces célèbres figures : François Mauriac. Notre désir est également de présenter aux Français -qui m’ont tant apportaient de connaissances et de bonheur- l’une des célèbres figures de la littérature arabo- irakienne peu connue en France : Fouad al-Takarli. Le thème de la ville natale se dégage clairement chez deux romanciers irakiens: Ghâ’ib Tu‘ma

éperdu, fait de la passion amoureuse une épreuve bouleversante mais douloureuse, souvent vouée à l’échec. Ce courant trouve un nouvel élan à la fin du siècle, auprès de Desportes, d’Aubigné, de Sponde, mais il a suscité très vite, dès 1553 pour du Bellay, un contre-courant qui a pris au début du siècle la forme de poésies gaillardes ou burlesques qui désacralisaient sans façon la femme et l’amour. Si la poésie amoureuse de Malherbe recourt parfois à quelque formules pétrarquistes, on y entend souvent

«faire la noce avec eux», ce qu’il refuse. Dans sa péniche, où «la clotûre a encore été souillée par des graffiti infamants» qu’il recouvre, il se contente d’une boîte de thon. Ses trois gendres arrivant chez le duc constatent qu’il est meublé en «pur style Louis le treizième», qu’il dispose de cette nouveauté que sont les fourchettes. Le duc est en compagnie de Biroton qui est devenu évêque in partibus de Sarcellopolis. On compare le duc à Don Quichotte. Il annonce qu’il se remarie avec Russule Péquet