Figures De Style Notre Dame De Paris

éléments que nous venons de citer Merteuil crée une oralité et une spontanéité du passage, l’impression qu’elle entretient avec Valmont une conversation et non pas une correspondance. Prenons également comme témoin de sa maitrise de l’écriture les figures de style qu’elle emploie et qui témoigne de sa finesse d’esprit, comme par exemple le chiasme « et, dans l’alternative d’une haine éternelle ou d’une excessive indulgence » (l. 8-9) mais aussi l’antithèse : « qu’il évitera le sort inévitable » (l. 27)

1 Paris Haussmann La plus grande transformation de Paris Gigantesque entreprise totalitaire de modernisation de la capitale - Paris Haussmannien habille Paris Participe à son atmosphère, lui donne une empreinte comme les canaux de Venise, les bossages de Florence, les volutes de Prague…. Par la même, les quartiers qui sont exsangues de la bêche Haussmannienne deviennent pittoresques : Montmartre, Le Marais… La ville avant Haussmann Le chantier haussmannien n’est qu’une continuité Paris en

architecture Regardez : de ses terrasses, de ses fenêtres, sont suspendus des colliers dont la matière est façonnée par une lune de sagesse, un soleil de désir et une terre d'amitié. Sont suspendues aussi les grappes de la connaissance... ADONIS, Paris 1997, traduit par Anne Wade Minkowski, extrait de Commune maison écrit pour les 10 ans de l'IMA. 2 ANDRÉ MIQUEL Professeur au Collège de France S'il ne s'agissait que d'un bâtiment, si beau, si merveilleusement placé fût-il, on l'ajouterait

pour Les Honneurs perdus (1996). L’œuvre que nous étudions, Seul le Diable le savait, troisième roman de sa bibliographie, est le récit de la vie d’une jeune femme nommée Mégrita (Mégri) vivant dans le village de Wuel avec sa mère, Bertha Andela (Dame Maman) en ménage avec deux hommes : Kwokwomandengué (Papa Pygmée), un riche parti, et Yanish (Papa Bon Blanc). Autour de ces personnages gravitent d’autres non moins importants dont les histoires viennent s’imbriquer dans celles des premiers :

langue vulgaire - le roman - est vite utilisée par la littérature narrative. Le terme se met à désigner progressivement un genre littéraire à part entière. Ainsi, dans Lancelot ou le Chevalier de la charrette, Chrétien de Troyes écrit-il : « puisque ma dame de Champagne veut que j'entreprenne un roman, je l'entreprendrai très volontiers ». Le terme commence alors à se rapprocher de son sens moderne, celui de récit fictif à épisodes centré autour d'un ou de plusieurs personnages. Le roman a tout d'abord

récit des aventures du protagoniste et rien de plus. Dispositif principal de Voltaire comme un satiriste, c'est que de l'ironie, en l'appliquant non seulement à déclaration, mais aussi à l'événement, la situation et la structure. L'ironie est une figure de rhétorique par laquelle l'écrivain ou l'intention réelle du locuteur s'exprime d'une manière portant le sens opposé. Très souvent, comme dans l'œuvre de Voltaire, il se caractérise par un humour sombre. Habituellement, l'auteur définit des mots

le théâtre de la Monnaie à Bruxelles où elle connait le comédien Prosper Valmore qu’elle va épouser. Elle est enceinte et met au monde une petite fille qui meurt après quelques jours. Elle aura trois enfants, Hippolyte, Ondine et Inès. En 1819, à Paris, elle rencontre Henri de Latouche, en qui elle voit son frère d’âme et de poésie et la personne dont elle tombe amoureuse. Lorsqu’elle doit suivre son époux à Lyon, elle vit la séparation comme une mutilation. En tant qu’impossible et interdit, leur

13 mars 10 Le style de Yannick Alleno Plumes d’automne : les oiseaux de légende Le foie gras, objet de tous les raffinements Le pot-au-feu de Dodin Bouffant Ajouté le 30 avril 2010 Une recette parisienne : le homard à l’américaine Au Potager du Roy Le condiment nécessaire de la cuisine transcendante Pied de mouton sauce poulette La baguette parisienne Paris, entre abondance et frugalité Les vins de l’Ile de France Il n’est bon bec que de Paris Paris et les produits

Pendant sa vie à Paris, entre 1710 et 1717, Marivaux se passionne pour la vie de la capitale. Il aime observer la foule et surtout son langage dont il s’inspire pour ses pièces et ses romans. En 1717, il envoie au journal Le Mercure de France, les Lettres sur les habitants de Paris, où il esquisse la vie quotidienne des Parisiens. Marivaux fait un grand succès avec ces chroniques et ainsi, il devient « spectateur ». Il adapte un style ironique et populaire. Dès 1720, son activité journalistique

vert, que le couchant jaunit, 9. Puis un château de brique à coins de pierre, 10. Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs, 11. Ceint de grands parcs, avec une rivière 12. Baignant ses pieds, qui coule entre des fleurs ; 13. Puis une dame, à sa haute fenêtre, 14. Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens, 15. Que, dans une autre existence peut-être, 16. J'ai déjà vue... et dont je me souviens !