Fil de fer

(généralement adjectivaux, mais parfois utilisés comme participes passés). b. Certains adjectifs en –ed sont formés à partir d’un nom, et ce ne sont évidemment pas des participes passés : the moneyed classes / the landed gentry / barbed wire (fil de fer barbelé). Ce procédé de formation est utilisé dans de nombreux adjectifs composés (cf. 16.11) : a two-storied house. c. Quelques adjectifs ont une terminaison en –ed qui est prononcée /id/ ou /əd/, dans des cas où la prononciation serait /t/ ou

même être qualifié de pitoyable par rapport au Allemand : Les 1ère lignes ne sont qu'une suite de tranchées en grandes parties éboulées et ne formant pas une ligne continue. Leurs parapets sont étroits et leurs créneaux trop espacés. Le réseau de fil de fer barbelé est peu dense et en très mauvais état. En certains endroits, il est remplacé par de simples haies en bois, à d'autres, il n'y a rien du tout. Les postes d'observation sont trop peu nombreux, mal placés, ils n'offrent pas une vision suffisante

1900-1902 par les Anglais lors de la guerre des Boers, en Afrique du Sud. Les britannique voulaient chasser les Boers qui étaient les colons d'origine néerlandaise. Kitchener qui était le général anglais, utilisa le fil de fer barbelé, qui était une invention toute récente, il utilisa ce fil pour se débarrasser de la résistance de ces Boers. Avec cette nouvelle invention il créa les camps de concentration, où les 200.000 Boers fut enfermés sont jugements, en tout il ya eu 30.000 morts. Dans les années

Juif employé comme maître d'hôtel par son père, et le lieutenant Kotler, un soldat antipathique dont Gretel est amoureuse. Sa seule distraction est de regarder par la fenêtre de sa chambre d'où il aperçoit un drôle de paysage : des rouleaux de fil de fer barbelé, des baraquements, des gens en pyjama rayé et des soldats. Un jour, il décide de partir en exploration, alors qu'il suit la barrière qui borde sa nouvelle maison, Bruno rencontre Shmuel, un Juif du même âge que lui, enfermé dans le camp

les conditions de détention dans les camps de concentration peuvent mener à des niveaux de morbidité et de mortalité extrêmement élevés. L'expression « camp de concentration » fut créée à la fin du XIXe siècle. En effet, l'innovation technique du fil de fer barbelé permit de clore de vastes espaces à peu de frais. La première utilisation de ce terme se fit à propos de la Seconde Guerre des Boers, comme innovation britannique. Il était inspiré du terme espagnol « reconcentración », utilisé par les Espagnols

Boers en 1900-1902, en Afrique du Sud. Les Boers étaient des colons d'origine néerlandaise que les Britanniques voulaient chasser. Pour se débarrasser de la résistance de ces Boers, le général anglais Kitchener utilisa une invention récente, le fil de fer barbelé, pour créer des camps où il enfermait, sans jugement, les Boers. 200.000 seront ainsi internés. On estime qu'il y eut 30.000 morts dans ces camps. L'U.R.S.S. de Staline a, dans les années 1930, multiplié les camps de concentration sous

Le bilan matériel ; des régions entières sont dévastées telle que la Russie, la Pologne le Nord-est de la France et de nombreux bâtiments et usines ont été détruits. doc3,Des régions entières dévastées, « ils consistaient à enlever les réseaux de fil de fer barbelé, à boucher les trous d’obus, à combler les tranchées et les galeries souterraines […] » (doc 3 l.2). Le plan humain ; la première guerre mondiale a connu une hécatombe humaine et sanglante. 9 millions de morts et disparus dans le monde et

largeur et d’une allée dans le sens de la longueur. Sachant que la largeur d’une allée est de 2 m : 1) Calculez la surface cultivable du champ. 2) Pour protéger ce champ contre les animaux, le propriétaire l’entoure d’un fil de fer barbelé soutenu par des piquets en fer. S’il laisse une grande porte de 5 m, calculez le nombre de piquets à planter si l’intervalle entre les piquets est de 5 m. 3) Le rendement du champ à la récolte est de 15 q de maïs à l’hectare. Calculez le prix de la récolte

où ils ont une vie très agréable, pour Hoche-Vite où leur père a été nommé. Bruno a du mal à se faire à cette nouvelle vie. Sa seule distraction est de regarder par la fenêtre de sa chambre d'où il aperçoit un drôle de paysage : des rouleaux de fil de fer barbelé, des baraquements, des gens en pyjama rayé et des soldats. . . Un jour, il décide de partir en exploration. Il fait alors la connaissance d'un garçon de son âge. Très rapidement, malgré le grillage qui les sépare, une amitié s'instaure entre

ici de véritables problèmes. Quand les ongles poussent, il faut les couper, et nous ne pouvons le faire qu'avec les dents (pour les ongles des pieds, le frottement des souliers suffit) ; si on perd un bouton, il faut savoir le faire tenir avec un fil de fer ; si on va aux latrines ou aux lavabos, il faut emporter avec soi tout son attirail sans le lâcher un seul instant, quitte à tenir ses habits roulés en boule et serrés entre les genoux pendant qu'on se lave la figure : sinon, ils disparaissent à