Fille

foudre Expression du doute : rejette son fantasme sur la jeune fille - terme encadré v11 + conditionnel- Conditionnel traduit la possibilité. Le poète fait ici des suppositions (modalisateur « peut-être »). Le rêve surgit : le JE rêve de bonheur. - Idée d’une réciprocité « dont le cœur au mien répondrait »/ motif de l’âme sœur Rencontre impossible : femme idéale - « la seule au monde » : hyperbole qui contribue à faire de cette jeune fille une femme d’exception. Même chose avec l’adjectif « seul » au

politiquement. La mort tragique de sa fille Léopoldine agée de 19 ans le 4 septembre 1843 est un évènement très marquant pour le poète. Il fait son deuil en écrivant « Pauca Meae » (« la mienne » en latin). Ce poème de vingt-six alexandrins, dont les vers sont des rimes suivies, est daté du « Jour des Morts » 1846, soit plus de 3 ans après la mort de Léopoldine. Ici le lien entre le poète et sa fille est mis en évidence dans un premier temps par le portrait de sa fille suivi de son autoportrait. Il décrit

La bibliothécaire Guillaume : M Pennac : Professeur de Français. Naïma : Fille dans la classe de Guillaume. Laurence : Fille dans la classe de Guillaume. Doudou : Garçon qui est black dans la classe de Guillaume. C’est son meilleur ami. Cédric : Un cancre dans la classe de Guillaume. Mélanie : Fille dans la classe de Guillaume. Mathieu : Garçon dans la classe de Guillaume. Ida : C’est la fille qui sort uniquement le soir en bas de l’immeuble en face de la maison de Guillaume. Ancienne

sonnet est un poème de deuil qui cherche à transfigurer la jeune fille morte en rose, transcender l'horreur de la mort par la beauté et retrouver, au delà de l'horreur de la mort, la beauté perdue.  REGISTRES Lyrique (expression poétique des sentiments intimes) et élégiaque (registre lyrique dans l'évocation d'un passé perdu) I. L'éloge de la jeune fille vivante à travers l'image de la rose. a) La rose représente la jeune fille--> la comparaison et ses 2 points communs : jeunesse et beauté. b)

''Mignonne, allons voir si la rose'' Pierre de Ronsard Problématique : Comment Ronsard parvient il à séduire Cassandre avec la comparaison de la Rose ? I – La Beauté de la rose et de la juene fille : *v1 ''Mignonne'' → affectueux, apostrophe familière, il montre qu'il veut se rapprocher de la femme, il y a un rythme irrégulier (2/6) ce qui met en valeur l'apostrophe, il associe dès le vers 1 Cassandre à la rose. Le poème débute par une apostrophe adressée à une dédicataire, Cassandre Salviati

à toutes ces petites filles dont les mères vivent de la prostitution. Hommage à toi petite fille dont le chemin est tracé comme un funeste destin. Hommage à toi petite fille qui un jour, à la question « c’est quoi un monde de paix pour toi ? » a répondu avec une spontanéité déconcertante « c’est quand il n’y aura plus de mères maquerelles ». Petite fille des profondeurs de la nuit Petite fille des saveurs de minuit Née du monnayage du corps de ta mère Née du marchandage du sexe de ton

sur les relations qui les relient, plus particulièrement entre Salomé et sa mère. - Dans la citadelle de Machaerous, Hérode-Antipas le Tétrarque, est pris d’une inquiétude à l’égard des Arabes, craignant une attaque due à la répudiation de la fille du roi des Arabes remplacée par Hérodias, nièce d’Antipas mais aussi belle-sœur car elle fut mariée, avant de séduire et d’épouser celui-ci, à Hérode Philippe un de ses oncles. Ainsi, le Tétrarque attendait, afin de prévoir cette attaque imminente

était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. Il fallait entre autres choses que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l'eau à une grande demi lieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche. Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. Oui-dà, ma bonne mère, dit cette belle fille ; et rinçant aussitôt

prononcées donc entendues. Ce qui prouve encore que le narrateur est bien externe et qu'il nous décrit ce qu'il voit en dehors de lui et des personnages. 2) Relevez et analyser les caractères physiques ( les interprêter!!!), ceux de la mère et de la fille. Tout d'abord, dans le texte, on nous parle de Mme Dufour : c'est une femme plutôt grosse « envahissement de graisse tombant des cuisses » elle a trente-six ans environ, donc forte en chair, épanouie et réjouissante à voir. Elle respire avec peine

En Chine, une fille, ce n’est pas grand-chose » Lundi 8 mars, journée internationale des femmes. Dans les campagnes, le destin des petites Chinoises repose encore sur une longue tradition dominée par les hommes. Mais leur statut évolue Maternité à Pékin. En Asie, les familles ont tendance à privilégier les naissances de garçons(BROWN/AFP). «Lorsque ma mère était enceinte de moi en 1988, elle est allée voir le médecin de l’hôpital, mais, en l’absence d’échographie à l’époque, il s’est basé sur mon