Filles du Roi

plus fière qu'on eût jamais vue. Elle avait deux filles de son humeur, et qui lui ressemblaient en toutes choses. Le Mari avait de son côté une jeune fille, mais d'une douceur et d'une bonté sans exemple ; elle tenait cela de sa Mère, qui était la meilleure personne du monde. Les noces ne furent pas plus tôt faites, que la Belle-mère fit éclater sa mauvaise humeur; elle ne put souffrir les bonnes qualités de cette jeune enfant, qui rendaient ses filles encore plus haïssables. Elle la chargea des plus

Dans certains mythes et légendes, Thésée est le fils d’Égée, roi d’Athènes, et d’Aethra, la fille de roi de Trézène. Cependant, d’autres affirment que ce serait plutôt Poséidon, le dieu des mers, qui seraient le père de Thésée. De ce fait, on peut considérer notre héros soit comme un mortel, soit comme un demi-dieu. En effet, après l’union d’Égée et d’Aethra, on raconte que Poséidon s’est unit à la fille du roi. À la même époque, en Crète, naissait le Minautore… Fils de Zeus et d’Europe, Minos

Le conte commence par la formule «  Il était un fois » propre aux contes. La situation initiale est décrite dans les premières lignes. Un roi est voué à devenir veuf d’une femme « d’une telle beauté qu’on en reverra plus jamais sa pareille sur terre ». Nous devons ici préciser que cette fatalité sera contredite plus tard dans le texte, lorsque la fille du roi, ressemblant fortement à sa mère, aura grandi et sera perçue par son père comme ayant «  toute la beauté de ma reine défunte », et encore après

La dévolution de la couronne est un sujet absolument fondamental en ce qu’il détermine la succession des rois français au trône de France. Cette dévolution au fil des ans, des successions s’est forgée intrinsèquement des coutumes, non-écrites, qui ont fait office de règles. Jean de Venette ou Jean le Bel né à Venette vers 1307 et mort vers 1370 est un chroniqueur français du XIVe siècle. Ses Chroniques écrites dans un latin de mauvaise qualité couvre une période de presque trente ans, de 1340 à

royale assurée par des filles mises en valeurs par l’adj. « Belles » à côté de « grands officié ». Idée d’égalité entre les hommes et femmes au sein de l’armée. Nécessité d’être « présentable » pour aborder le roi. Passage obligatoire aux « bains » et changement de vêtement (hygiène irréprochable et douceur des vêtements) Caractère grandiose de la réception réservée à deux simples voyageurs (voir la description du palais ext. Et int.) Familiarité de la manière d’aborder le roi Par ailleurs institution

Dieu Tout Puissant (Josué 2/9-11), mais elle savait aussi ce qu’elle risquait en les cachant . Elle choisit la meilleure solution ; elle fit ce que les espions lui ont demandé. En quelque sorte, elle mit sa foi en action en attachant le cordon de fil cramoisi à la fenêtre et en faisant entrer toute sa famille dans la maison (Josué 2/18) . Lorsque les murailles de Jéricho se sont écroulées, sa maison resta intacte, toute la famille fut sauvée . Elle intégra la communauté israëlite, épousa

fois, dans un royaume au-delà des mers, un roi, tyran et injuste, qui régnait sur le monarque d’un pays. Ce dernier avait une fille d’une beauté immense, que les princes et les nobles des quatre coins du monde tentaient de l’épouser. Mais pour cela, le roi avait mis une condition : Chaque personne qui voudrait demander la main de sa fille, devrait se cacher, quelque part dans le monde sans qu’on le retrouve... Mais cela était impossible ! Puisque le roi avait en possession un miroir qui avait le

à la chartreuse de Londres, puis épouse Jane Colt en 1505, dont il a trois filles et un fils. Au décès de sa femme en 1511, il se remarie avec Alice Middleton, veuve et mère de deux enfants. Il sera réputé pour l'éducation de haut niveau qu'il faisait donner à ses enfants, filles comme garçons. Membre du Parlement à partir de 1504, il s'élève contre les taxes demandées par le roi Henri VII pour la guerre d'Écosse. Le roi fait emprisonner John More ; Thomas More se retire en France (1508) mais l'avènement

Jean-Baptiste Moreau, homme de mélodie savant et maître de musique à l’institut de Saint-Cyr. Parue en 1689, sa première représentation est jouée le 26 janvier 1969 à Saint-Cyr. Voici en quelques mots le résumé de cette pièce : lors de son exil à Babylone, le roi perse Assuérus, mal conseillé par un ministre, veut massacrer tous les juifs de son royaume mais sa favorite Esther, qui est secrètement juive, réussit à l'en dissuader. 1.1 Sa genèse Depuis 1677, Racine n’écrit plus de théâtre : il se consacre

des contes de fées par sa magnificence. Leur arrivée est accueillie par « vingt belles filles de la garde » (ligne1) et après la cérémonie du  « bain » (l.2), en musique, nos voyageurs sont conduits aux appartements royaux : « les menèrent à l’appartement…milles musiciens » (ligne 3-4), ce qui dénote une recherche dans le plaisir des yeux et de l’ouïe, dans un monde aux allures de paradis. Les belles filles renvoyent aux contes des Milles et une Nuits qui venaient d’être traduits en français par