Film noir

tant que réalisateur, tels ceux de Honkytonk Man et de Bronco Billy, sont aussi de cette veine du héros « sans qualités ». Le deuxième cas domine dans la littérature et le cinéma « noirs » centrés sur la figure du gangster. Dans le roman ou le film, les « héros », qui obéissent à des principes dépréciés ou dénigrés par la société, sont le plus souvent sans envergure et, par souci moral (le code Hays aux États-Unis, par exemple) ou par la trajectoire de vie même de ces personnages, tendent à un

Panique dans la rue (Elia Kazan, 1950) : science et cinéma au service de la guerre froide Au confluent du néoréalisme (tournage en décors naturels) et du film noir (enquête policière, noir et blanc contrasté), Panique dans la rue fait accéder Elia Kazan à « l’âge d’homme » en tant que metteur en scène de cinéma. Le film est également fortement imprégné de l’idéologie de la guerre froide naissante, apparemment à l’insu de son auteur (1). La structure de Panique dans la rue, articulée autour de

retrouver plus d'endroits ombragés que clairs. Cela a pour effet d'accentuer la dramaturgie. On parle aussi de décors qui surpasse le réel. Prenons exemple dans le film Le cabinet du docteur Caligari dans lequel le village semble complètement déformé et exagéré. On ne peut s'imaginer que ce genre de village ai pu exister. Sans surprise, le film fut tourné dans un énorme studio. On remarque assez rapidement que l'expressionnisme tente par tout les moyens de s'éloigner de la réalité. Un peu comme le cinéma

fonctionne comme un baisser de rideau sur le macabre du début. La rupture est clairement marquée par le changement géographique, les palmiers du chapitre 14 contrastant avec les extérieurs enneigés de Chicago au chapitre 5. Les dégradés de gris du film noir sont remplacés par les tenues claires, le sable et les intérieurs blancs de l’hôtel. Les bathing beauties courent vers la mer comme les danseuses d'une comédie musicale de Busby Berkeley2 : le décor est planté pour la comédie romantique.Ce nouveau

Le surréalisme c’est un mouvement artistique par lequel on se propose d’exprimer le fonctionnement réel de la pensée Mulholand Drive présente de nombreuses caractéristiques surréalistes. Premièrement, la structure de ce film échappe à toute logique narrative, l’intérêt du film ne repose pas sur l’histoire mais sur l’émotion qui est transmise au spectateur. De plus, Lynch fait appel au rêve, pour représenter le fonctionnement de la pensée de Betty. En effet le rêve de Betty est en quelque sorte

On joue avec le contraste ombre et lumière et le jeu des acteurs est théâtrale. • 1926 Les mystères d’une âme de Georg Wilhelm Pabst (film muet) L’histoire prend place dans les rêves et cauchemars de Martin Fellman un chimiste issu de la bourgeoisie qui fantasme le meurtre de sa femme et lutte avec son sentiment de culpabilité. Basé sur un cas de Sigmund Freud le film illustre l’inconscient et le sentiment de refoulement. CINEMA EN RUSSIE (URSS) DES ANNEES 1920 AUX ANNES 1940 Les sujets sont politique

l’histoire heureux et fier d’avoir enfin trouver une vraie famille. Critiques : Dans sa forme comme dans son fond, authentique petit joyau hollywoodien, au sens artisanal et esthétique du terme. Un film dont l’alchimie rappelle celle des fables sociales transposées en western ou film noir à l’époque du meilleur Hollywood. De olivier Seguret , critique cinéma du journal « Libération » Les Dardenne filment l’émotion à l’état brut

"qu'ils n'engageront plus de personnes qui préconisent le renversement du gouvernement des Etats- Unis ".En d'autres termes, toutes les personnes suspectes d'être des "libéraux" (au sens américain, c'est à dire de gauche ) se retrouvent sur des "listes noires" et sont interdits d'embauche dans les grands studios d'Hollywood.Cette exclusion devient rapidement réalité, et de nombreux scénaristes se retrouvent au chômage ou sont obligés de travailler sous des noms d'emprunt ,comme Dalton Trumbo.La carrière

La Nuit du chasseur (Charles Laughton, 1955) Introduction Mêlant film noir et notions fantastiques, La Nuit du chasseur, de Charles Laughton, nous présente l’histoire de deux enfants persécutés par un prêcheur diabolique. A travers une opposition entre deux entités clairement distinguées – le bien, représenté par les figures enfantines, et le mal, dont le prêcheur est l’incarnation -, le film choisit pour thème l’évocation d’une enfance innocente face au monde cruel des adultes. La féerie

la presse adore parler dans ses gros titres... Cole Phelps. Enquêteur de renom mais ancien soldat torturé. Au sens figuré. L.A. Noire ne fait pas que s'inspirer des films noirs, un courant justement né dans les années 40. Il est lui-même un film noir interactif et n'omet rien des conventions du genre. Les thèmes abordés renvoient eux aussi à ces longs métrages pessimistes où les pires vices de la nature humaine sont exhibés : le crime, l'infidélité, la trahison, la conspiration... Bref, lorsque