Fin De Partie Bourreau Victime

Eugène de Rastignac est initié au succès par deux  « mentors » : la vicomtesse de Beauséant et l’ancien forçat Vautrin ; avec chacune des deux leçons présentées jouant un rôle crucial dans la formation du jeune « loup ». Une question se pose : à la fin des deux extraits étudiés, lequel des deux discours Eugène choisira-t-il d’appliquer ? Par conséquent, nous comparerons ces deux discours en deux principaux axes ; dégageant à la fois les différences et les similitudes des deux textes. Les deux

peut-elle être «splendide» et «magnifique»? Ou est-ce que la vengeance de la Reine sera «splendide» et «magnifique», tandis que l'exécution elle même sera la partie «effroyable» de la chose. L'utilisation de «qu'on trouve cela [...]» indique que ce n'est pas seulement la Reine qui pensera comme ça, mais aussi la foule et les Nobles. Donc la partie «splendide» ne sera pas seulement la vengeance de la Reine, mais la vengeance de tout un chacun, il sera «magnifique» pour tous de voir Fabiani, responsables

Le cadre du début et celui de la fin du roman sont identiques et pourtant, au cœur de cette similitude, les correspondances ne sont qu’apparentes et sonnent faux. Certes, il s’agit bien, dans les deux cas, de ce havre de paix, refuge naturel idéal en ce sens que, protégé par les monts Gabilan, il offre verdure ombragée d’arbres formant voûte et fraîcheur de l’eau de la Salinas. Ce décor est présenté, dès l’abord, comme une sorte de condensé de paradis peuplé d'un héron, d'un serpent, d'une carpe

un procès à Don Juan pour le forcer à épouser sa dernière victime, Angélique de Chiffreville. En quoi cette scène est un procès, et quels sont les réactions de Don Juan ? Dans un premier temps, nous allons étudier la ressemblance de cette scène avec un procès. Puis nous allons voir les sentiments de Don Juan     Tout d’abord, cette scène s'apparente à un procès, car on peut y constater certaines similitudes. En effet, les 4 femmes, victimes de Don Juan, font office de témoins, la Duchesse de Vaubricourt

at the level of interpersonal and intergroup relationships» (494). Nous avons déjà discuté la perception de la femme au dix-huitième siècle et les raisons pour lesquelles les Encyclopédistes la considéraient comme plus faible que l’homme. Mais la fin du dix-huitième siècle était aussi marquée par la Révolution de 1789, qui avait pour but d’établir un nouveau gouvernement ainsi qu’une nouvelle morale. C’est en considérant cette remise en question intégrale de la société que doit être étudiée la

effet, les 4 femmes, victimes de Don Juan, font office de témoins, la Duchesse de Vaubricourt joue le rôle du juge, Angélique, la victime et Don Juan est le coupable. L'impression de procès s'amplifie quand les femmes menaçent d'envoyer Don Juan en prison s'il ne répond pas de ses actes. Comparez le registre dominant des répliques des personnages féminins , et le registre perceptible dans les réactions de Don Juan. Les répliques des personnages féminins font partie du registre polémique

perversion narcissique, à travers ses conduites et les modalités relationnelles particulières qu'il va mettre en place avec les autres, cherche à devenir le « maître » de la relation et à assujettir l'autre, ce qui a de graves conséquences pour ses victimes. Cette expression fait appel à deux concepts psychanalytiques : • Le narcissisme, qui est l'amour de soi, est une composante normale de la personnalité. Cependant dans certains cas, le sujet peut se fixer affectivement sur lui-même : on parle

I / Une fin extraordinaire et angoissante 1 ) Le messager surnaturel. Tout d’abord l’apparition d’un spectre constitue un premier élément irréel de la pièce . Il s’agit d’  « une femme voilée » . Qui symbolise alors toutes les femmes déshonorées et trompées par le séducteur , ainsi que la mort et le deuil . On cherche ainsi a rappeler le pêché principal à Dom Juan ; sa quête perpétuelle du plaisir , et le malheur qu’il a rependu autour de lui , afin qu’il culpabilise et veuille se repentir

FIN DE PARTIE ,Beckett LE TITRE: Il impose immédiatement 2 thèmes : le temps et le jeu. Mais les suggestions et ambivalences sont nombreuses : si la « fin » désigne le point d’arrêt d’un phénomène dans le temps, elle peut être à la fois le terme et le but. Quant à la « partie », le mot venant du verbe « partager », elle suppose l’idée d’un rapport entre plusieurs personnes, ou actants*, établi plus spécifiquement autour d’un divertissement, ou d’un combat ou d’une lutte. On peut imaginer

la défense, voyant la médiatisation de l’affaire ne fit plus rien pour sanctionner les militaires coupables et rendre justice à la victime (ABBY ZAMB FRNK). Cependant la victime serait l’objet de menace de la part de certaines autorités militaires, et se serait enfuit et mis en lieu sûr, car son bourreau est toujours en liberté et constitue une menace pour la victime et sa famille. B) Réponses aux questions 1-les actes constitutifs de violation des droits de l’homme : *violences physiques