Finance Publique De Madagascar

Soudan du Sud reconnu le 14 juillet par le Conseil de sécurité de l’ONU, qui fait de ce pays le 193ème membre de l'ONU. OCÉAN ETHIOPIE Pays à faible IDH dépendant économiquement de l’Afrique du Sud TANZANIE ATLANTIQUE NAMIBIE AFRIQUE DU SUD MADAGASCAR OCÉAN INDIEN Pays à faible IDH pratiquant une économie extravertie (rente pétrolière et/ou agricole) Pays cumulant les difficultés (faible développement économique et I. l’Afrique, un continent à l’écart du développement du monde ? B. Des freins

pour son élection . Le nouvel élu achève le mandat de son prédécesseur . C – COMMISSAIRE DU GOUVERNEMENT Art. 30 – les pouvoirs publics sont représentés par un Commissaire du Gouvernement désigné par décret sur proposition du Ministre chargé des Finances . Le Commissaire du Gouvernement peut déléguer, sous sa responsabilité, tout ou partie de ses fonctions à l’un de ses collaborateurs (Ordonnance n° 62-104 du 01 octobre 1962, article 48 bis) . D – MEMBRE HONORAIRES Art. 31 – Le titre d’Expert Comptable

L’adoption de la loi 2003/025 du 5 septembre 2003 portant statut des ports fut remarquable par l’idée de la mise en concession des activités à caractère industriel et commercial. D’où la création des trois sociétés dont deux manutentionnaires (Madagascar International Container Terminal Service Ltd et la Société de Manutention des Marchandises Conventionnelles), et une autorité portuaire (la Société du Port à Gestion Autonome de Toamasina) qui constitue comme on a déjà dit le champ d’application

territoire et communication » La communication publique face aux destins croisés de la Départementalisation de l’île de Mayotte et de la Mahorité Mémoire en vue de l’obtention du master 2 CTI Mention Information, communication et société présenté et soutenu par Véronique SAVARANIN Directeur de recherche : Vincent MEYER Année universitaire 2008 – 2009 -1- SOMMAIRE « Mahorité, territoire et communication » La communication publique face aux destins croisés de la Départementalisation

redresser la situation financière extérieure et à créer les conditions d'une reprise de la croissance économique. Il s'agit de réduire le service de la dette extérieure et le déficit du secteur public par une diminution très importante des dépenses publiques. Le budget général de fonctionnement de l’État connait alors une réduction de près de 55 % durant les trois années du programme tandis que le budget spécial d'investissement et d'équipement (BSIE) est réduit de 12 %. L’encadrement du crédit est plus

répression (Cf. différentes conventions internationales) ; - deuxièmement à travers les sources nationales de la législation pénale de l’environnement (codes, normes, etc.) ; - troisièmement à travers la répression des dommages (exercice de l’action publique, sanctions applicables). -« ce qui entoure ou constitue le voisinage ; - l’ensemble des éléments physiques, chimiques ou biologiques, naturels et artificiels qui entourent un être humain, un animal ou un végétal, ou une espèce ; - l’ensemble des

se manifestent. Pour l’instant, à part l’Angola, qui ne s’en cache pas, certains pays comme le Tchad, le Mali et l’Algérie ne souhaitent pas durcir plus le ton vis-à-vis de GBAGBO mais envisagent plutôt une sortie de crise « négociée », comme à Madagascar. GBAGBO dispose toujours en coulisse de solides soutiens financiers et politiques russes, chinois, indiens et israéliens. Enfin, le Vatican, via le Cardinal MADTHA, est favorable aux idées de Laurent GBAGBO. Un allié d’une envergure diplomatique

 des pays d’Afrique, parmi les plus pauvres du  monde (Ouganda, Soudan, Sénégal et Madagascar), mais aussi certains comme  le  Cambodge,  le  Vietnam,  la  Thaïlande,  la  Turquie,  le  Pakistan,  l’Ukraine,  le  Brésil et même l’Argentine et l’Australie sont approchés par des Etat et/ou des  investisseurs privés, pour acquérir des terres agricoles.  Quatre exemples illustrent parfaitement cette situation :  ‐ A  Madagascar,  le  groupe  Coréen  DAEWOO  cherchait  à  acquérir,  début  2009,  1,3  millions 

richesses crées => PIB => il y d’une part PIB marchand => qui est crée par les acteurs éco qui échangent sur le marché => les entreprises civils, agricoles ; PIB non marchand => ne passe pas par le marché => activité de l’ensemble des administrations publiques => rentre dans la partie de PIB de non-marchand. L’Etat => quand évolue ses recettes et dépenses représente 20 % de PIB (marchand et non marchand) Les prélèvements obligatoires => fiscaux et sociaux que tous les acteurs payent (les entreprises

relais et conseils. 1 2 SOMMAIRE Partie A. Performances macroéconomiques et perspectives de l’économie marocaine....1 1- Une économie assainie, mais peu dynamique.................................................................1 1.1. Des finances publiques équilibrées au prix d’arbitrages contestables............................. 1 1.1.1. Une amélioration sensible des recettes ...........................................................................................2 1.1.2. Une croissance des