Finances Publiques Classiques Et Moderne

Finances publiques : Introduction Chapitre 1 Section 1 : La question de la dette et du déficit : nos finances publiques face à la crise I - Quelle est la situation de nos finances publiques avant la crise (en 2008) ? A) Le déficit public En 2008, notre situation est relativement dégradée. Notre déficit (solde budgétaire = recettes – dépenses, qui peut être positif, égal à zéro ou négatif) est d’environ 66 milliards, soit 3,4 % du PIB. Il est causé par deux facteurs : Les dépenses

administratif français s’est construit dans la durée, de façon progressive. L’organisation administrative de la France est très complexe car l’Etat français est l’un des rares états au monde à avoir plusieurs institutions administratives. Tous les Etats modernes disposent d’un système administratif, cela est nécessaire et indispensable. En effet, aucun état au monde ne peut fonctionner sans un système administratif. Même les anciens pays de l’Europe de l’Est disposent également d’un système administratif

d’actions décidées par les pouvoirs publiques, pour agir sur l’activité économique et faire face aux difficultés économiques généralement à court terme. La macroéconomie s’intéresse aux comportements des agents économiques nationaux (secteurs institutionnels en comptabilité nationale) et, à l’influence des relations du pays avec le reste du monde. Les agents nationaux sont les ménages, les e/ses (industrielles, commerciales, agricoles) et les administrations publiques (Etat). Rappelons que l’Etat n’est

artisans et ouvriers, ils ne font que transformer des produits qui proviennent de la nature et forment donc une « classe stérile » ! Les classiques * * * * * Pour bien monter sa rupture totale avec les économistes qui l’avaient précédé, Karl Marx dans Le capital a, le premier, qualifié ces auteurs de « classiques ». Ce sont essentiellement des économistes anglais et français du XVIIIe siècle et du XIXe siècle : Adam Smith, Thomas Malthus, David Ricardo

DE L'ETAT PROVIDENCE 1) La loi de Wagner DOCUMENT 1 : Evolution des dépenses publiques en France (en % du PIB) Dépenses de l'Etat et des collectivités locales 1872 1909 1920 1930 1938 1947 1971 1987 1999 11,0 15,0 32,8 21,9 26,5 40,9 49,8 51,7 53,9 dont Sécurité sociale 0 0 0 0,2 0,9 8,1 14,4 22,5 24,0 Source : R. Delorme, C. André, L'Etat et l'économie. Un essai d'explication de l'évolution des dépenses publiques en France 1870-1980, Seuil 1983 / INSEE Comptes de la nation Depuis le 19e

mais se définit par son mode de raisonnement, sa méthode, elle est donc un instrument. Gary Becker a appliqué l’analyse économique au centre de la théorie des choix à des problèmes relevant de la sociologie voire politique. « La science économique moderne est avant tout une façon de raisonner à propos des comportements sociaux. Quand une personne décide de s’engager dans une activité l’économiste cherche instinctivement les bénéfices qui excèdent les coûts. Inversement si elle décide de ne pas s’y

productives, garantis par un système de caution solidaire, ces nouveaux systèmes ont ensuite développé tous types de services financiers, dont la collecte de l’épargne, tout en maintenant la priorité du crédit productif sur la thésaurisation. Les concepts modernes de « microcrédit » et de « microfinance » étaient nés, de même que celui d’ « Institution de microfinance », ou IMF. 2. Aujourd’hui, la frontière de la microfinance est variable car elle dépend de l’état de développement du système financier dans

Chapitre II : les institutions de l’audit public Il’audit légal : A- l’audit public exercé par les organes du contrôle relevant du ministère des Finances : 1- Le contrôle des engagements des dépenses : 2- Le comptable public ; 3- L’inspection générale des finances. B- l’audit public exercé par les organes du contrôle externe au ministère des Finances : 1- la Cour des comptes ; 2- la cour régionale des comptes ; 3- le parlement II- l’audit contractuel : Cas de KPMG Chapitre III : les

désintermédiation, décloisonnement). En effet, la déréglementation consistait à abolir les réglementations entravant la liberté dans les opérations financières internationales. La désintermédiation traduisait le développement de la finance directe par rapport à la finance indirecte, c’est-à-dire le recours de plus en plus important, pour toute opération de placement ou d’emprunt, aux marchés financiers internationaux, sans passer par les intermédiaires financiers et bancaires. Enfin, le décloisonnement

sur les droits et les obligations conférés aux fonctionnaires et donc sur la nature même d’une modernisation à son égard. Les deux processus les plus significatifs qui ont bouleversé le fonctionnement de l’appareil public dans l’histoire de l’Etat moderne ont appliqué deux vision opposée : on a eu d’abord la modernisation commencé par les révolutions du XVIII siècle et ensuite l’ « hypermodernisation » des années soixante – dix, qui a posé la bureaucratie sous l’égide de l’idéologie néolibérale et