Fiodor Dostoïevski

aberrantes pour se venger des femmes." [ Roland Barthes ] "La vraie république : aux hommes leurs droits et rien de plus, aux femmes leurs droits et rien de moins." [ Susan Anthony ] "Une erreur originale vaut mieux qu'une vérité banale." [ Fiodor Dostoïevski ] "Il n'est rien de si absent que la présence d'esprit." [ Rivarol ] "Un poète est un monde enfermé dans un homme." [ Victor Hugo ] "Les gens heureux n'ont pas besoin de beaucoup pour être heureux." [ Phil Bosmans ] "La vérité est une ligne

plus grands drames de l'Histoire) et reconnu comme le plus grand roman de Dostoïevski, Les frères Karamazov est difficilement résumable. Autour d'une intrigue hamletienne absolument tragique, la narration principale se double d'anecdotes puissantes en symboles (par ex., le fils mort né de Grigori Vassiliévitch ; la vie du Starets Zossima ; la mort d'Illioucha Snéguiriov dont le père, certes alcoolique, est l'envers de Fiodor Pavlovitch Karamazov en ce sens qu'il aime son fils...), de nombreuses histoires

journées de Lope de Vega, traduction et adaptation d'Albert Camus, éditions Gallimard, adaptation et mise en scène Albert Camus, Festival d'Angers * 1959 : Les Possédés, pièce en 3 parties adaptée et mise en scène par Albert Camus du roman de Fiodor Dostoïevski, Théâtre Antoine, éditions Le Manteau d'Arlequin, réédition février 2010 chez Gallimard/Folio, 274 pages, (ISBN 2070399257) En 1975, le régisseur et acteur Nicou Nitai, a traduit et adapté pour one man show La Chute qui a été joué sur les scènes

*, on arrive à la maison * Jamais * Avoir des idées , c’est comme ramasser des fleurs . Prendre le temps de penser, c’est comme tresser des couronnes Si vous vous demandez : «Suis-je responsable de mes actes?» , c’est que vous l’êtes - Fiodor Dostoìevski Que celui qui se plaint de n’être pas compris se demande d’abord comment il s’exprime La patience, c’est l’art de se mettre en colère lentement À force de lire l'on finit par comprendre qu’à force de lire l'on finit par comprendre

revue par M.-I. Brudny-de Launay, rééd. Gallimard– Folio Histoire, 1990. Aron Raymond, Démocratie et totalitarisme (1957-58), rééd. Folio-Essais, 1996. Boétie Étienne de La, Discours de la servitude volontaire (ca. 1548), rééd. G.F., 1983. Dostoievski  Fiodor: Crimes et Châtiments Le Goff Jean-Pierre, La démocratie post-totalitaire, La découverte 2002 Merleau-Ponty Maurice, Phénoménologie de la perception (1945), rééd. Tel-Gallimard, 1990. Orwell Georges: 1984 trad. J.-L. Bourget, R. Davreu et

quelconque croyance, et en particulier des systèmes, et une insatisfaction de la philosophie traditionnelle considérée comme superficielle, académique et éloignée de la vie1. » Bien que des auteurs tels que Søren Kierkegaard, Friedrich Nietzsche, Fiodor Dostoïevski, Franz Kafka et Léon Chestov aient largement évoqué ces thèmes dans leurs œuvres dès le XIXe siècle, l'existentialisme a pris sa forme explicite de courant philosophique au XXe siècle dans la philosophie continentale, d'abord dans les travaux

Alexandre Pouchkine, qui est considéré comme l’un des fondateurs de la littérature moderne russe et est parfois surnommé le « Shakespeare russe ». Parmi les poètes et écrivains russes les plus célèbres figurent Nicolas Gogol, Mikhaïl Lermontov, Fiodor Dostoïevski, Léon Tolstoï et Anton Tchekhov. Les écrivains les plus marquants de la période soviétique sont Boris Pasternak, Alexandre Soljenitsyne, Vladimir Maïakovski, Mikhaïl Cholokhov et les poètes Evgueni Evtouchenko et Andreï Voznessenski.

Grigorievitch BELINSKI (1811-1848) dans une lettre le traite de «prédicateur du knout, apôtre de l'ignorance, défenseur de l'obscurantisme et des ténèbres de l'esprit, panégyriste de mœurs tartare». En 1864, peu après son retour du bagne, Fiodor Mikhaïlovitch DOSTOIEVSKI (1821-1881) règle son compte aux utopies de sa jeunesse, notamment l’influence fouriériste. Son livre Carnets du Sous-sol (connu aussi comme Notes d'un souterrain) s’en prend surtout au livre mythique des révolutionnaires de l’époque

seront une source d’inspiration pour lui. Seule l’Italie lui inspire une passion qu’il exprime dans de très nombreux écrits, notamment les contes et nouvelles philosophiques. En Russie, c’est plutôt Balzac qui laissera ses traces en inspirant Dostoïevski. L’Italie[modifier] L’Arsenal de Venise. La Fenice à Venise. Salle d’origine en 1837. Il aime l’Italie, cette « mère de tous les arts », pour sa beauté naturelle, pour la générosité de ses habitants, pour la simplicité et l’élégance

DESCARTES, René. Discours de la méthode. Librairie philosophique J. Vrin ; Paris ; 1999. DIDEROT, Denis. « Humanité », in Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, vol. 8. Verlag, 1967, Stuttgart. DOSTOIEVSKI, Fiodor. Les frères Karamazov ; Bibliothèque électronique du Québec ; Collection « A tous les vents ». DURAND, Guy. Introduction générale à la bioéthique ; Histoire, concepts et outils. Fides ; Québec ; 2005. ELIADE, Mircea. Le sacré et le profane ;